Re: [E5] Réunion inflammable [Isaac / Alpharius]
Posté: 03 Août 2013, 10:29
Les paroles de son aimé la surprennent un peu, faisant naître une once fragile de culpabilité dans son esprit. Finalement elle réalise que c'est lui qui est l'instigateur de ce jeu et qui la pousse au vice. La jeune femme n'en est pas moins consciente que le centurion a de nombreuses responsabilités qu'il ne peut sans cesse repousser. De son côté bien des travaux l'attendent également, même si parfois elle aimerait avoir le don de suspendre le cours du temps pour rester à jamais auprès de l'homme à qui elle appartient. Cruel dilemme que celui du devoir lorsqu'on lui oppose des sentiments amoureux si forts. A cet instant ils s'incarnent surtout sous les traits d'un désir brûlant auquel il devient terriblement tentant de se laisser consumer. Continuant à onduler au dessus de lui, Isaa débarrasse lentement le colosse de sa tunique avant de se contorsionner un peu pour détacher son ceinturon. Il lui faut ensuite descendre de cette pourtant si agréable position afin de lui retirer ses bottes, offrant par la même occasion une nouvelle vue imprenable à Alpharius sur son corps nu. Avec son aide, elle retire son pantalon sans prononcer un mot, seuls ses regards appuyés parlent pour elle.
Une fois son aimé dévêtu, elle revient se placer à califourchon sur lui. L'excitation qui est la sienne redouble tandis qu'elle sent son membre en contact avec son intimité. Elle se mordille la lèvre pour retenir un petit gémissement impatient, jouant de ses hanches afin de sentir la verge tendue caresser cette petite excroissance de chair si sensible entre ses cuisses. Les mains de la romaine viennent se nouer autour de la nuque du centurion, collant sa poitrine au torse robuste. Son front se pose contre le sien, elle sent son souffle enivrant sur sa bouche mais résiste à l'envie impérieuse de prendre la sienne. La tension en elle se fait de plus en plus intense, dévorante. Elle savoure ce délicieux déchirement entre le désir de céder tout de suite à une étreinte sauvage et celle de prolonger ce moment où l'appel du corps aimé devient presque violent. Bientôt elle ne peut plus l'ignorer, à moins que ce soit le colosse qui cède le premier peu importe. Elle ne sait plus rien d'autre que l'incommensurable plaisir de le sentir à nouveau coulisser au creux d'elle. La moiteur accueillante de ses chairs offre un fourreau parfait à la virilité de l'homme qu'elle aime. Tout son être se met à danser sensuellement sur Alpharius, le guidant en elle encore et encore au rythme de leurs deux souffles accélérant. La romaine adore sentir les mains puissantes l'agripper, la retenir, la soulever pour accompagner les mouvements de son bassin. L'étreinte devient toujours plus fougueuse, presque bestiale, tous ses sens s’enivrant de cet être dont elle est éprise. On dit souvent qu'il n'est rien de tel que le sexe pour évacuer les tensions dans un couple. Sont-ce celles survenues un peu plus tôt qui poussent Isaa à chevaucher ainsi son aimé jusqu'aux portes de la jouissance ou bien simplement la force et la sincérité des sentiments qu'il lui inspire ? Elle ne se pose pas la question, emportée par cet élan, cette délectation qui emplit son ventre et son esprit jusqu'à sentir venir leurs deux orgasmes comme une vive délivrance.
Le souffle court, son bas ventre encore serré autour du membre du centurion, elle enfouit son visage au creux de son épaule. La jeune femme le garde encore en elle, le temps de quitter les sommets vaporeux du plaisir pur et de retrouver une respiration plus régulière. Soupirant, elle se presse tout contre lui jamais rassasiée du contact de sa peau contre la sienne. Puis doucement elle se redresse et vient plonger ses prunelles au cœur de celles incandescentes d'Alpharius. La belle s'y perd un instant, contemplant son propre reflet qui se fond au cœur de l'âme même de son adoré. D'une voix fragile, elle lui murmure :
- Chaque seconde que je passe auprès de toi je la vole à l’éternité. Je ne sais de quoi demain sera fait, les joies et les peines qui nous attendent encore. Cependant je suis plus riche chaque jour de ces secondes volées, c'est la seule fortune que je désire et c'est toi qui me l'offres.
Une agitation venue d'au dehors la tire hors du temps comme s'il venait pour reprendre ses droits. Elle imagine les fils du colosse réunis devant la porte à attendre qu'elle leur rende leur chef. Ils risquent de la maudire bien souvent de le retenir ainsi loin de ses responsabilités et de leur cause. Le cœur lourd, elle regarde vers l'entrée avant de plonger à nouveau ses yeux dans les siens.
- Et chaque jour qui passe il me devient plus difficile de te quitter. Je pars avec une peur nouvelle, mais la force de l'affronter. Je t'aime Alpharius et je voudrais être tienne à jamais, dans cette vie comme dans l'autre.
Ses mains viennent se poser sur les joues de l'homme et sa bouche se scelle à la sienne. Elle se détache ensuite et repasse ses vêtements, s'apprêtant à partir.
Une fois son aimé dévêtu, elle revient se placer à califourchon sur lui. L'excitation qui est la sienne redouble tandis qu'elle sent son membre en contact avec son intimité. Elle se mordille la lèvre pour retenir un petit gémissement impatient, jouant de ses hanches afin de sentir la verge tendue caresser cette petite excroissance de chair si sensible entre ses cuisses. Les mains de la romaine viennent se nouer autour de la nuque du centurion, collant sa poitrine au torse robuste. Son front se pose contre le sien, elle sent son souffle enivrant sur sa bouche mais résiste à l'envie impérieuse de prendre la sienne. La tension en elle se fait de plus en plus intense, dévorante. Elle savoure ce délicieux déchirement entre le désir de céder tout de suite à une étreinte sauvage et celle de prolonger ce moment où l'appel du corps aimé devient presque violent. Bientôt elle ne peut plus l'ignorer, à moins que ce soit le colosse qui cède le premier peu importe. Elle ne sait plus rien d'autre que l'incommensurable plaisir de le sentir à nouveau coulisser au creux d'elle. La moiteur accueillante de ses chairs offre un fourreau parfait à la virilité de l'homme qu'elle aime. Tout son être se met à danser sensuellement sur Alpharius, le guidant en elle encore et encore au rythme de leurs deux souffles accélérant. La romaine adore sentir les mains puissantes l'agripper, la retenir, la soulever pour accompagner les mouvements de son bassin. L'étreinte devient toujours plus fougueuse, presque bestiale, tous ses sens s’enivrant de cet être dont elle est éprise. On dit souvent qu'il n'est rien de tel que le sexe pour évacuer les tensions dans un couple. Sont-ce celles survenues un peu plus tôt qui poussent Isaa à chevaucher ainsi son aimé jusqu'aux portes de la jouissance ou bien simplement la force et la sincérité des sentiments qu'il lui inspire ? Elle ne se pose pas la question, emportée par cet élan, cette délectation qui emplit son ventre et son esprit jusqu'à sentir venir leurs deux orgasmes comme une vive délivrance.
Le souffle court, son bas ventre encore serré autour du membre du centurion, elle enfouit son visage au creux de son épaule. La jeune femme le garde encore en elle, le temps de quitter les sommets vaporeux du plaisir pur et de retrouver une respiration plus régulière. Soupirant, elle se presse tout contre lui jamais rassasiée du contact de sa peau contre la sienne. Puis doucement elle se redresse et vient plonger ses prunelles au cœur de celles incandescentes d'Alpharius. La belle s'y perd un instant, contemplant son propre reflet qui se fond au cœur de l'âme même de son adoré. D'une voix fragile, elle lui murmure :
- Chaque seconde que je passe auprès de toi je la vole à l’éternité. Je ne sais de quoi demain sera fait, les joies et les peines qui nous attendent encore. Cependant je suis plus riche chaque jour de ces secondes volées, c'est la seule fortune que je désire et c'est toi qui me l'offres.
Une agitation venue d'au dehors la tire hors du temps comme s'il venait pour reprendre ses droits. Elle imagine les fils du colosse réunis devant la porte à attendre qu'elle leur rende leur chef. Ils risquent de la maudire bien souvent de le retenir ainsi loin de ses responsabilités et de leur cause. Le cœur lourd, elle regarde vers l'entrée avant de plonger à nouveau ses yeux dans les siens.
- Et chaque jour qui passe il me devient plus difficile de te quitter. Je pars avec une peur nouvelle, mais la force de l'affronter. Je t'aime Alpharius et je voudrais être tienne à jamais, dans cette vie comme dans l'autre.
Ses mains viennent se poser sur les joues de l'homme et sa bouche se scelle à la sienne. Elle se détache ensuite et repasse ses vêtements, s'apprêtant à partir.