par Lara Numicius le 07 Avril 2013, 01:09
Ca allait encore être de ma faute toute cette histoire. Vous allez voir, ça finira par être de ma faute avec tout ce qu'elle raconte. Elle vient chez moi pour me voler, elle m'insulte, me prend de haut et quand dans un élan de génie je la fais prisonnière, c'est de ma faute si elle a été assez stupide pour se laisser prendre par un jeu d'actrice. Quoi qu'il en soit, désormais elle était à moi et ça, ça valait définitivement tout l'or du monde ! J'ignorais encore précisément ce que j'allais faire d'elle, après tout les possibilités sont si nombreuses qu'elles pourraient sembler sans fin. Peut-être que je pourrai continuer de la torturer, ou je pourrai continuer de profiter de son corps, il y avait tant de choses que je pouvais lui faire puisqu'elle était livrée à moi. Mon cerveau était en pleine ébullition, j'ignorais complètement ce que je voulais tant j'avais de pensées qui s'entremêlaient dans mon esprit. Tout, n'importe quoi et que je pouvait-elle faire pour se défendre ? Rien, absolument rien et c'était précisément la partie amusante dans tout ça. Solidement attachée, elle se débat et ne fait que s'écorcher les mains, je peux faire n'importe quoi, tout ce dont j'ai envie et je n'arrive même pas à correctement réfléchir à ce que je vais faire. Il faut dire que tous ses cris qu'elle me fait entendre, sa voix qui s'enflamme tout le temps, ça ne m'aide pas, comment voulez-vous réfléchir quand une femme hurle comme elle le fait dans vos oreilles ? Ca me fatigue sérieusement, je me demande ce que je pourrai mettre dans sa bouche pour la faire taire ? Et si je coulais de la cire sur sa langue ? Ou au fond de sa gorge ? Non c'était horrible, je ne suis pas comme ça, le sang ça ne m'excite pas, son corps en revanche lui me donne des idées et des envies terribles et puis elle sera bientôt intégralement nue ce qui veut dire qu'elle sera mienne tout simplement. Et c'est là que je commencerai à m'amuser, comme je sais le mieux le faire d'ailleurs !
C'est fou ce que c'est amusant d'avoir du pouvoir, non c'est carrément excitant pour tout dire, une vraie excitation sexuelle. Un peu de calme ma petite Lara, elle n'est pas encore totalement tienne, ça ne tardera pas mais il faut prendre son mal en patience, patiente et surtout profiter de chaque seconde avec intensité. Sa peau est chaude et douce, elle réagit si vivement sous mes caresses, je frôle à peine ses seins que sa peau se hérisse d'une façon magnifique, preuve d'une réaction vive mais aussi et surtout plaisante que j'apprécie de constater. En dépit de son courage, de son arrogance et de ses cris, je me rends compte assez aisément qu'elle en demeure une femme qui réagit aux attentions et donc qui pourrait prendre beaucoup de plaisir à ce que je vais faire désormais. Enfin en admettant qu'elle calme un peu sa colère furieuse et aveugle. Il faut vraiment que je trouve un bâillon, si elle braille avec intensité pendant que je la caresse et lui donne du plaisir, ça risque très rapidement de me mettre en pétard. Pour l'heure, il est temps de finir de libérer son corps des vêtements qui cachent encore sa pudeur et pour ça je suis d'une habileté qu'elle n'osera pas mettre en cause. La lame glisse sans écorcher sa peau, découpant le short d'une façon droite, ses collants subissent le même sort avec une précision diabolique. Elle a encore ses bottes alors forcément je me retrouve à devoir m'arranger mais qu'importe, la voilà nue … Non presque nue, il reste quelque chose d'important encore à retirer.
Son masque qu'elle semble si fière de porter. Je m'en approche et m'en saisis, ça va être si simple de l'enlever, un simple geste pour retirer ce qu'elle a de plus chère, son anonymat. Elle ne sera plus inconnue après ça, j'aurais vu son visage, sans doute même ou peut-être la reconnaîtrai-je. Je retire le masque, la perruque vient avec, involontairement d'ailleurs, elle tombe par terre à l'inverse du masque que je garde dans ma main. Le masque enlevé, j'observe son visage, des traits fins, sous la furie bouillante se cache donc une femme absolument magnifique, une femme somptueuse, un visage magnifique, des seins délicieusement tentants et pour le reste de son corps … Je m'imaginerai bien en faire une adepte de Venus priant matin, midi et soir avec moi. Pour les goûters également, il n'y a pas de petits plaisirs après tout.
Je vais toutefois lui laisser un choix. Un choix que je sais qu'elle n'a absolument aucune envie de faire. Elle peut soit choisir de se laisser faire sans hurler et de subir donc mes envies perverses, soit de crier et de subir sans même avoir une chance de s'échapper de toute façon. J'attends sa réponse avec une certaine impatience mais je n'aime pas vraiment ce qui m'arrive soudainement. Ce qu'elle crache à mon visage et puis le fait qu'elle crache littéralement à mon visage. J'essuie son crachat avec son haut tombé au sol, les poings serrés, tout notamment celui qui tient le couteau. Je m'approche à nouveau de son visage, posant la lame entre ses seins alors que je me tiens au-dessus d'elle au niveau de sa tête, la fixant dans les yeux :
« Petite conne ! Très mauvais choix, ton sort sera pire encore ! Je vais te violer en long, en large et en travers toute la nuit durant et puis je te livrerai à la garder pour que tout le monde sache et que tu sois condamnée pour tes crimes. Et je m'arrangerai pour que ma prime pour ta capture soit de t'avoir pour esclave. Mais tu sais ce qui sera le pire ? »
Ma main glisse sur son corps alors que je tourne autour d'elle. Elle descend avec mon déplacement le long de sa joue, évitant sa bouche qui pourrait me mordre, son cou, un sein, son ventre, puis la petite toison soignée de son pubis, je reviens de l'autre côté, remontant jusqu'à me retrouver à nouveau au-dessus d'elle yeux dans les yeux :
« Le pire c'est que tu ne te souviendras d'absolument, strictement rien. »
Un sourire accompagne mes mots alors que mes mains se posent sur ses temps et cette fois la décharge est violente, elle sera hors d'état pour les heures à venir, sans doute jusqu'à ce que le soleil brille demain matin. Quand à moi j'observe son corps avec envie.
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Le soleil est déjà levé et baigne la chambre dans la lumière. Il éclaire son joli petit visage d'une façon magnifique, elle a l'air vraiment très belle ainsi. Elle est assoupie comme un petit ange dans les draps blancs, auréolée de la lumière solaire qui met en avant ses cheveux rougeoyants. Je les ai coiffés, on dirait une vraie princesse, deux tresses de chaque côté se rejoignent à l'arrière de sa tête en une seule, c'est mon petit truc, quand je suis nerveuse je joue avec les cheveux. Les miens, ceux de la personne à côté de moi, je coiffe, me coiffe, coiffe les autres. Elle est nue dans les draps de soie blanc et moi je suis assise à côté du lit dans une petite robe blanche. Le soleil atteint son visage, en rajoutant encore à la vision angélique et si douce qui se dégage d'elle. Ses yeux papillonnent et s'ouvrent doucement, elle a de beaux yeux, ses vrais yeux je veux dire, les lentilles sont tombées dans son sommeil. Elle a l'air perdue, enfin ça doit être normal après ce que Lara a dit … enfin ce que … J'ai dis. Je lui souris, elle semblait si attentive hier quand elle me regardait, a-t-elle compris déjà ? Je ne sais pas trop. Je me lève et fais une révérence un peu maladroite, le rouge aux joues, une expression complètement gênée sur le visage et le cœur s'emballant soudainement je me mets à parler à une vitesse prodigieuse :
« Bonjour-Mademoiselle-Je-suis-désolée-pour-hier-soir-et-ce-qu'a-fait-Lara. Je-promets-que-ce-n'était-pas-moi-votre-secret-est-bien-gardé-et-elle-ne-vous-a-absolument-rien-fait. »
Je m'arrête pour respirer à pleins poumons comme si je venais de courir un marathon au rythme d'un cent mètre :
« Vous-allez-bien ? Cest-idiot-de-le-demander-après-hier-soir-mais-je-suis-vraiment-inquiète-pour-vous. »