[E4]Moment détente [Nox]
Posté: 04 Décembre 2012, 13:36
"Cette espèce de sale petite garce ! Comment a-t-elle osé faire ça ? Elle le paiera ! Et dire que j'ai un jour cru qu'elle pourrait penser comme moi mais quelle idiote j'ai été ! Comment veulent-ils faire de Venus la Déesse de Rome avec des comportements pareils ! Elle me le paiera cette petite conne, oh ça oui, elle me le paiera ! Virée du Temple, je n'ai jamais été aussi humiliée, raccompagnée à la porte par deux adeptes sur ordre de cette crétine de prêtresse, quelle honte. Traitresse de Thalie, tu me paieras cet affront !"
"Maîtresse, vous devriez vous calmer, peut être que si vous alliez aux thermes vous pourriez vous détendre et ..."
"Toi, tu ne me dis pas ce que je dois faire et ce que je ne dois pas faire ! Tu auras déjà l'occasion de t'illustrer ce soir comme une bonne petite androïde mais maintenant silence ! Et tâche de ranger un peu ce bordel, d'ailleurs classe les livres par ordre alphabétique plutôt que par auteur."
Bibliothèque à terre, entièrement de ma faute, pas le meuble entier, juste les livres qui sont dedans. Pourtant quand je suis rentrée, rien ne s'est laissé voir, j'étais calme, presque détendue, en un sens trop choquée pour réagir. Je me suis affalée sur un canapé et j'ai bu, beaucoup plus que mon saoul, un instant j'ai même pensé que peut-être mon père buvait-il lui aussi pour une bonne raison. Et puis j'ai repensé au harem d'androïdes qui l'entouraient et j'ai compris que non, il abusait simplement du luxe dont il pouvait abuser. Ivre, la colère a finis par exploser, elle s'est libérée, balayant la table et la cruche de vin, par chance en étain comme le verre, puis tous les livres de la bibliothèque tandis que j'insultais très copieusement Thalie de tous les noms d'oiseaux, invertébrés, batraciens et autres nuisibles, rongeurs, rampants et insectes qui pouvaient me venir à l'esprit. Même cette petite imbécile d'androïde qui d'habitude ne se gêne pas pour prendre la parole comme pour me protéger ou me défendre de moi-même dans mes colères n'a rien su dire devant la rage qui sévissait dans le salon. Maintenant c'est un véritable capharnaüm, un bordel sans aucun nom, des livres un peu partout, la table renversée, la cruche et le verre, le canapé déplacé de plusieurs mètres par ma colère en me levant. Je bouillonne encore, fermant les yeux, frottant mes temps, le sang et le vin qui coulent dans mes veines arrivent à mon cerveau, ma tête tourne, l'androïde me rattrape et je m'arrache à ses mains quittent à me retrouver à moitié effondrée dans la bibliothèque :
"Toi tu me toucheras le jour où je te l'aurai demandée ! Rends-toi utile, cherche-moi des sandales et un manteau, j'ai besoin de me changer les esprits et prendre l'air."
Sans doute comprenant où se trouve son intérêt, mon androïde ne voit rien à redire sur ma demande, pas comme quand elle a osé me faire des remarques sur ma façon d'agir. Par vengeance je l'ai simplement faite surchauffer, un bon grillage de circuits en règle, elle l'avait cherchée cette andouille, si elle m'appelle Maîtresse c'est parce qu'elle me doit le respect entre autres bien entendu, alors des remarques passent forcément particulièrement mal. Elle a ramené un manteau et des sandales, j'enfile les deux. Les sandales parce que j'ai les pieds sensibles, bien que j'ai toujours aimé marcher pieds nus ils n'en demeurant pas moins horriblement sensibles. Le manteau parce qu'il ne fait pas particulièrement beau aujourd'hui et que je m'attends même à ce qu'il pleuve dans les heures à venir. Je sors, il fait assez frais, le vent est même froid, presque désagréable, temps médiocre, à la hauteur de cette journée où par la volonté d'une arrogante et prétentieuse prêtresse j'ai été mise à la porte du Temple de Venus. Je marche au grand hasard, essayant surtout de ne pas croiser de regard, ne manquerait plus qu'un sombre crétin vienne me faire une remarque ! Je crois que je lui sauterai à la gorge et je le tuerai ! Rabattant la capuche de mon manteau sur mon visage, le visage vers le sol, difficile de savoir qui je suis et c'est tant mieux !
Je déteste l'admettre mais l'androïde a raison, un bon bain brulant aux thermes me ferait du bien. Ca me détend toujours, elle est pas conne l'esclave, elle a déjà compris les trucs qui me mettent de bonne humeur, c'est bien, ça prouve qu'elle s'investit pour sa Maîtresse. Je m'y rends, abandonnant mes vêtements et me décidant pour un bassin dans le fond, un peu isolé mais malheureusement l'idée a déjà été exploitée. Ca c'est quand même le ... Non ça va, c'est Nox. Une amie. Sans doute déjà au courant de ma mésaventure, qu'importe, j'ai besoin de me détendre et elle semble endormie ou en tout cas plongée dans ses pensées. J'ai été silencieuse et c'est dans le même silence que je glisse dans l'eau. Je tiens deux minutes grand maximum avant de venir jusqu'à elle, de lui sourire et avant qu'elle ne parle de m'installer naturellement sur ses jambes tout en m'emparant de ses seins et en me justifiant d'un :
"J'ai besoin de me détendre."
"Maîtresse, vous devriez vous calmer, peut être que si vous alliez aux thermes vous pourriez vous détendre et ..."
"Toi, tu ne me dis pas ce que je dois faire et ce que je ne dois pas faire ! Tu auras déjà l'occasion de t'illustrer ce soir comme une bonne petite androïde mais maintenant silence ! Et tâche de ranger un peu ce bordel, d'ailleurs classe les livres par ordre alphabétique plutôt que par auteur."
Bibliothèque à terre, entièrement de ma faute, pas le meuble entier, juste les livres qui sont dedans. Pourtant quand je suis rentrée, rien ne s'est laissé voir, j'étais calme, presque détendue, en un sens trop choquée pour réagir. Je me suis affalée sur un canapé et j'ai bu, beaucoup plus que mon saoul, un instant j'ai même pensé que peut-être mon père buvait-il lui aussi pour une bonne raison. Et puis j'ai repensé au harem d'androïdes qui l'entouraient et j'ai compris que non, il abusait simplement du luxe dont il pouvait abuser. Ivre, la colère a finis par exploser, elle s'est libérée, balayant la table et la cruche de vin, par chance en étain comme le verre, puis tous les livres de la bibliothèque tandis que j'insultais très copieusement Thalie de tous les noms d'oiseaux, invertébrés, batraciens et autres nuisibles, rongeurs, rampants et insectes qui pouvaient me venir à l'esprit. Même cette petite imbécile d'androïde qui d'habitude ne se gêne pas pour prendre la parole comme pour me protéger ou me défendre de moi-même dans mes colères n'a rien su dire devant la rage qui sévissait dans le salon. Maintenant c'est un véritable capharnaüm, un bordel sans aucun nom, des livres un peu partout, la table renversée, la cruche et le verre, le canapé déplacé de plusieurs mètres par ma colère en me levant. Je bouillonne encore, fermant les yeux, frottant mes temps, le sang et le vin qui coulent dans mes veines arrivent à mon cerveau, ma tête tourne, l'androïde me rattrape et je m'arrache à ses mains quittent à me retrouver à moitié effondrée dans la bibliothèque :
"Toi tu me toucheras le jour où je te l'aurai demandée ! Rends-toi utile, cherche-moi des sandales et un manteau, j'ai besoin de me changer les esprits et prendre l'air."
Sans doute comprenant où se trouve son intérêt, mon androïde ne voit rien à redire sur ma demande, pas comme quand elle a osé me faire des remarques sur ma façon d'agir. Par vengeance je l'ai simplement faite surchauffer, un bon grillage de circuits en règle, elle l'avait cherchée cette andouille, si elle m'appelle Maîtresse c'est parce qu'elle me doit le respect entre autres bien entendu, alors des remarques passent forcément particulièrement mal. Elle a ramené un manteau et des sandales, j'enfile les deux. Les sandales parce que j'ai les pieds sensibles, bien que j'ai toujours aimé marcher pieds nus ils n'en demeurant pas moins horriblement sensibles. Le manteau parce qu'il ne fait pas particulièrement beau aujourd'hui et que je m'attends même à ce qu'il pleuve dans les heures à venir. Je sors, il fait assez frais, le vent est même froid, presque désagréable, temps médiocre, à la hauteur de cette journée où par la volonté d'une arrogante et prétentieuse prêtresse j'ai été mise à la porte du Temple de Venus. Je marche au grand hasard, essayant surtout de ne pas croiser de regard, ne manquerait plus qu'un sombre crétin vienne me faire une remarque ! Je crois que je lui sauterai à la gorge et je le tuerai ! Rabattant la capuche de mon manteau sur mon visage, le visage vers le sol, difficile de savoir qui je suis et c'est tant mieux !
Je déteste l'admettre mais l'androïde a raison, un bon bain brulant aux thermes me ferait du bien. Ca me détend toujours, elle est pas conne l'esclave, elle a déjà compris les trucs qui me mettent de bonne humeur, c'est bien, ça prouve qu'elle s'investit pour sa Maîtresse. Je m'y rends, abandonnant mes vêtements et me décidant pour un bassin dans le fond, un peu isolé mais malheureusement l'idée a déjà été exploitée. Ca c'est quand même le ... Non ça va, c'est Nox. Une amie. Sans doute déjà au courant de ma mésaventure, qu'importe, j'ai besoin de me détendre et elle semble endormie ou en tout cas plongée dans ses pensées. J'ai été silencieuse et c'est dans le même silence que je glisse dans l'eau. Je tiens deux minutes grand maximum avant de venir jusqu'à elle, de lui sourire et avant qu'elle ne parle de m'installer naturellement sur ses jambes tout en m'emparant de ses seins et en me justifiant d'un :
"J'ai besoin de me détendre."