[E3]C'est vraiment trop injuste [Lucretia]

Ce forum contient les archives de tous les RPs ouverts par les personnages durant les préparatifs et le départ du corps expéditionnaire.

Re: [E3]C'est vraiment trop injuste [Lucretia]

Messagepar Justina Helvius le 08 Octobre 2012, 21:21

Est-ce que j’avais fais quelque chose à ma maîtresse pour qu’elle m’envoie chez cette femme complètement folle et qui voulait me faire du mal ? Qui voulait lui faire du mal ? Savait-elle seulement que celle qu’elle considérait comme une amie ne se gênait pas à l’imaginer en train de se faire torturer, battre, violer et finalement tuer ? Je devrai mettre ma maîtresse en garde contre cette femme, mais je n’y arriverai pas si je n’arrive pas à me reprendre. Hélas j’en suis complètement incapable, effondrée par la vision, par la peur qui était même devenue une terreur quand j’avais vu la prêtresse qui m’avait sauvée du marché mourir devant mes yeux. Je n’arrive même pas à m’enfuir de cet endroit, et puis toute nue j’allais me faire arrêter avant même d’être arrivée au Temple de toute façon. Je n’ai pas compris que c’était une illusion, j’ai été conçue comme une gamine sur bien des points, ma naïveté est largement exagérée et je m’attache très rapidement, très émotionnellement. Ca fait très stupide pour une esclave sexuelle, mais apparemment ça plaisait énormément à mon concepteur et mes maîtres précédents. Ce que je ne comprenais pas c’est pourquoi ma maîtresse m’avait envoyée ici, avais-je fais une bêtise si énorme sans le savoir qu’elle voulait me voir détruite par cette femme qui, clairement, ne se ferait pas prier pour le faire ? Ou alors peut-être bien que ma maîtresse ignore en réalité absolument tout des agissements de son « amie ». Prostrée au sol, je pleure encore et encore sans plus arrêter, la scène horrible de la mort de ma maîtresse n’a de cesse de se jouer dans ma tête, je la revois mourir et cela ne fait qu’alimenter mes larmes. Quand la méchante humaine vient me dire que ce n’est pas vrai, que ma maîtresse est en vie, j’ai beaucoup de peine et de mal à la croire. Je l’avais vu mourir de mes propres yeux. J’avais aussi vu que j’étais dans une grotte, battue et violée par des hommes alors que mon corps n’avait pas la moindre trace de coups. Sauf quelques traces rouges et longues, plutôt fines qui devaient avoir été faites avec la baguette que tenait cette femme cruelle que je ne voulais plus jamais revoir.

Je n’ai même pas réalisé que l’humaine m’a déplacée pour m’asseoir sur une chaise, maintenant que j’y pense, si je me souviens m’être relevée et l’avoir suivis. De toute façon je pouvais faire quoi d’autre ? J’étais obligée d’obéir, ma maîtresse la considère en bonne estime, pour une raison que j’ignore et que je ne veux même pas connaître, et elle est une humaine, même si je voulais désobéir ou fuir, je ne pourrai pas. J’ignore ce qu’elle va encore me faire mais je crains le pire. Au moins mes sanglots se sont calmés, savoir que Thalie va bien me rassure, m’apaise, mais la peur que suscite cette femme sans coeur est encore extrêmement présente et terrifiante. Je la regarde, suivant chacun de ses mouvements avec mes yeux embrumés par les larmes, elle me regarde aussi comme si elle avait peur que je lui saute dessus ou que je parte en courant. Elle pose la baguette, ça me rassure un peu, ça ne veut pas dire qu’elle en a fini avec la violence, elle pourrait bien prendre une autre arme ou même y aller de ses mains ! Elle revient vers moi et je deviens complètement raide sur ma chaise, à ma grande surprise, ses mains sont douces, elle me masse avec beaucoup de douceur, c’est très agréable et mon contact exacerbé pour mieux remplir ma tâche sexuelle accentue sa douceur. C’est horrible d’avoir autant peur de cette femme et pourtant de me détendre sous ses mains tout ça parce qu’elle me masse avec douceur ! Je déteste quand les humains font ça ! Il y avait un client qui adorait ça, d’abord il était méchant et humiliant et quand il sentait que j’étais terrifiée, il devenait doux, juste comme elle … En moins pire. Mes larmes apaisées, je l’écoute, je ne retiens qu’une chose :

- Je suis l’esclave de la Grande Prêtresse.

Ca pour une révélation ! Je connaissais une humaine au Temple qui allait sérieusement être pas contente quand elle apprendra ça ! Elle avait voulu me mettre en ventre au marché, Thalie m’achète et maintenant je suis l’esclave de la Grande Prêtresse ! Et ben dites donc, sacrée promotion ! Sauf que je ne sais toujours pas si j’allais sortir entière de cet entretien vraiment terrifiant avec l’humaine qui me relève. Mains sur le bureau à nouveau, que va-t-elle me faire ? Encore me frapper, me faire peur ? Elle ne voulait quand même pas me fouiller, il n’y avait rien à fouiller dans ma tenue ! Elle continue d’être douce et gentille, ça fait presque peur, malheureusement mon corps réagit comme il est prévu qu’il le fasse, beaucoup trop intensément à mon goût. Ses caresses sont douces et agréables, sa phrase me fait ouvrir une bouche en un magnifique « o ». Je comprends ce qu’elle veut mais je ne peux m’y résoudre sans demander d’abord :

- Est-ce que je peux … vous toucher ? Bouger ?

J’attends de l’entendre me dire que oui pour oser me retourner et la regarder. Elle a éveillé quelques envies, maudite programmation sexuelle. Doucement j’approche d’elle pour venir me blottir contre elle. Pas un câlin amical mais plutôt une recherche d’un peu de chaleur, son coeur était si froid que je doutais que son corps puisse être autrement que glacé. Pourtant ce n’était pas le cas, elle était chaude et c’était très agréable. J’essuie rapidement mes joues et mes yeux des dernières larmes à avoir coulé, et mes mains découvrent son corps. Je commence par quelque chose que j’adore, enlever le vêtement de la personne avec qui je suis, c’est idiot je sais, mais j’adore ça ! Je lui retire sa robe, mes mains sur ses hanches, je la guide vers le bureau pour qu’elle s’assoit au bord de celui-ci. Mes mains passent entre nos corps et je la caresse avec douceur et précision sur son ventre, sa poitrine, ses cuisses. Je prends mon temps, de toute façon je crois que je n’ai pas le choix. Je la caresse avec beaucoup de douceur. Lentement je plie mes jambes, mes lèvres se posent dans son cou, le haut de son corps, ses épaules, sa poitrine, s’attardant longuement sur les tétons, l’un puis l’autre, son ventre et je m’agenouille devant elle, embrassant son pubis, je mets une de ses mains dans mes cheveux et je relève le regard vers elle. Apparemment elle aime dominer et autant que je pouvais détester ça, ma programmation était telle que j’aimais me soumettre :

- Montrez-moi ce que vous aimez.
Image
Avatar du romain
Justina Helvius
Joueur absent
 
Messages: 30
Inscription: 26 Septembre 2012, 21:19
Prénom: Justina
Nom de famille: Helvius
Compte principal: Secret
Compte secondaire: Oui

Re: [E3]C'est vraiment trop injuste [Lucretia]

Messagepar Lucretia Albinus le 10 Octobre 2012, 20:18

Adorable petite androïde prête à tout pour éviter les ennuis à sa maîtresse. Je trouve cela touchant pour ma part. Thalie a le chic pour trouver des machines fidèles et entièrement dévouées à son plaisir. Il m’arrive parfois de me demander comment elle fait. Bien que, de mon côté, je n'ai pas à me plaindre. Cassia est un véritable petit joyau que je compte bien faire évoluer sous peu. Mais pour l'heure, je me dois de m'occuper de Justina qui se tortille de plaisir sous mes doigts. Et qui visiblement ne peut pas lutter contre son corps. Je joue avec elle, la torturant tout en douceur. J'ai bien conscience que je lui fais toujours peur mais je passe outre. Je n'ai vraiment aucune envie de m'inquiéter des «états d'âme» d'une machine. Justine me demande la permission de me toucher et de bouger pour accéder à ma requête. Je l'autorise à le faire.

Justina se redresse pour me faire face, approchant avec lenteur. Son corps vient se coller au mien, ce qui n'est pas fait pour me déplaire. Ma tenue ne reste pas longtemps en place, l'androïde la retirant rapidement. Je la laisse, pour l'heure, agir à sa guise. Après tout, autant voir ce qu'elle vaut quand elle agit par elle-même. Je dois tout de même reconnaître qu'elle a un certain talent. Mon corps ne tarde pas à se réveiller sous ses mains. Elle semble suivre un schéma défini à l'avance. J'attends donc de voir la suite. Sa bouche descend lentement sur mon corps, s'attardant un long moment sur ma poitrine, mes pointes durcissant rapidement sous ce traitement. Justina finit par s'agenouiller entre mes jambes avant de guider ma main droite sur ses cheveux. Son créateur a décidément pensé à tout en la modelant. Je l'écoute avant d'assurer ma prise sur sa chevelure.

Fermement, je la fais se relever pour souder nos bouches l'une à l'autre. Ma langue s'invite, venant chercher la sienne, possessive, alors que je colle la douce androïde contre moi. Tellement simple avec une demoiselle aussi docile que celle que j'ai entre les mains. Reste à savoir jusqu’où va sa docilité. Je la sais totalement malléable selon mes envies et mon humeur. Ma main libre emprisonne son sein droit, mes ongles griffant doucement sa peau. J'en arrive à saisir la pointe avec laquelle je joue, entre effleurement et pincement appuyé, soufflant le chaud et le froid en permanence. Je relâche sa bouche, tirant doucement sa tête vers l'arrière. Ainsi, je capte la moindre de ses réactions, son sein gauche devenant finalement le centre de mon attention, au même titre que le droit avant.

Il va falloir te surpasser...

Je me lève avant d'allonger Justina en travers du bureau, sa tête pendant dans le vide. Je la laisse ainsi, l'observant longuement, en silence. D'une voix douce, je la rassure. Elle en a besoin tout de même et je ne suis pas un monstre. Du moins, pas tout le temps. Je sais la position inconfortable mais la souplesse apparente de Justina devrait l'aider. De toute façon, je ne lui donne pas le choix. Je m'approche, mes doigts se posant sur sa gorge, dessinant les courbes de son visage sans se presser. J'aime la sentir réagir sous mes doigts. Nous avons la journée devant nous et je compte bien en profiter. Mes mains se dirigent vers sa poitrine, enveloppant les deux globes de chair.

Je viens me positionner, ma fente se retrouvant au niveau de la bouche de Justina. Je ne pense pas qu'il me soit utile de préciser ce que j'attends d'elle. Je poursuis ma découverte de son corps, mes mains glissant jusqu'à ses cuisses que je lui fait ouvrir franchement. Ma main gauche se pose à plat sur sa vulve, appuyant plus ou moins fermement sur son intimité. L'androïde est déjà à l'ouvrage, sa langue provoquant la montée d'une douce chaleur dans mes reins. Comme toutes les prêtresses, j'ai appris à maîtriser mes émotions. Cela aide lors de l'initiation de novices. Mes doigts finissent par se refermer sur son bouton des plaisirs, le pinçant de plus en plus fort. Je le relâche pour recommencer, imposant mon rythme à Justina dont le corps se tortille sous mes «caresses». Son excitation est réelle et je m'en réjouis.

Applique-toi !

Ma main vient de claquer l'intérieur de sa cuisse droite, la faisant sursauter. Si elle pensait en avoir fini avec la douleur, Justina se trompait lourdement et elle allait vite s'en rendre compte. Je lui réserve quelques surprises de mon crû.
Avatar du romain
Lucretia Albinus
Joueur absent
 
Messages: 253
Inscription: 25 Juillet 2012, 22:24
Prénom: Lucretia
Nom de famille: Albinus
Surnom: L'Enchanteresse
Compte principal: Oui

Re: [E3]C'est vraiment trop injuste [Lucretia]

Messagepar Justina Helvius le 10 Octobre 2012, 20:49

Je semblais tirée d’affaire. Je ne crierai pas victoire trop vite parce que cette femme me faisait peur et qu’elle semblait vraiment folle, mais au moins je semblais tirée d’affaire. Je n’avais aucune envie que nous passions un moment intime, ma peur était réelle, je la ressentais partout en moi, mais j’étais faite pour obéir, j’étais une esclave sexuelle et surtout ses mains éveillaient horriblement mon corps. Je crois que c’était ce que j’aimais le moins chez moi, cette façon dont quelqu’un pouvait me faire complètement ressentir quelque chose et pourtant mon corps va prendre du plaisir à être touché par cette personne, mais comment c’est possible ? Elle, elle s’amuse bien l’humaine à me faire peur et me donner du plaisir quand même mais pour moi c’est beaucoup moins sympa et beaucoup moins agréable ! Je me sens comme une idiote mais de toute façon si je veux sortir avec tous mes boulons et sauver mon petit disque dur, j’avais intérêt à faire ce qu’elle voulait. Alors avant d’agir je demande si j’ai bien le droit de la toucher, je n’avais pas envie qu’elle me reproche de faire ce qu’elle me demande mais elle semblait assez démente pour le faire. Et puis comme disait maîtresse Thalie quand je ramenais le sujet d’avoir une bougie pour la nuit « il vaut mieux prévenir que guérir » ou dans le cas de la bougie évitez un incendie que reconstruire le temple. Son manque de confiance était quand même exagéré, j’étais maladroite mais pas à ce point-là, je n’ai jamais mis le feu à personne et à aucun bâtiment. Jusqu’à aujourd’hui du moins.

Puisque j’ai le droit de faire, je fais et je commence par ce que j’adore le plus faire, déshabiller la personne. C’est totalement stupide je sais bien mais j’adore pouvoir regarder un joli corps nu et même si elle est horrible, cruelle, méchante et vilaine, elle est très belle quand même. Elle fait peur mais elle est jolie. Timidement d’abord, j’ose toucher son corps, découvrir ses formes, sa belle poitrine, j’agis avec beaucoup de douceur pour ne pas lui faire mal parce que je crois qu’elle a peur des androïdes et que si je lui fais mal, je vais avoir mal. Alors je commence doucement à remplacer mes mains par ma bouche, mes lèvres, ma langue et je continue ma lente descente en m’agenouillant devant elle, posant sa main dans mes cheveux pour qu’elle décide ce que je dois, ce qu’elle veut que je fasse. J’aime beaucoup avoir des libertés dans ce que je fais, c’est toujours marrant de voir comment personne ne réagit de la même façon aux mêmes caresses mais avec elle, je préfère me soumettre complètement et la laisser guider. Comme ça je suis sûre et certaine que je ne vais pas faire une bêtise. Elle veut d’abord un baiser et même là elle est capable d’être violente, c’est très agréable de l’embrasser mais la façon de faire de sa langue est agressive et autoritaire, veut-elle me prouver qu’elle est maîtresse en ce moment ? A moi qu’elle tient par les cheveux pour me guider complètement dans la plus grande docilité ?

Elle joue avec mes seins, pince mes tétons qui durcissent rapidement sous ses caresses, elle s’amuse avec mon corps qui réagit très rapidement et très violemment à ses attentions. Je hoche docilement la tête, comme une promesse silencieuse, quand elle dit que je vais devoir me surpasser. Elle m’allonge en travers du bureau et je me demande ce qui va m’arriver maintenant. Elle dit que tout va bien aller, c’est ça et moi je dois gentiment la croire ? Je n’ai pas vraiment le choix ceci étant dit mais j’ai du mal quand même à la croire ! Elle pose ses mains sur mon visage, comme chaque fois qu’elle initie un contact je suis d’abord tendue et puis ma nature me pousse à me détendre, à apprécier, d’ailleurs ce qu’elle fait est agréable, c’est appréciable, mais il y a toujours cette peur que cette même main qui est douce sur ma joue me gifle dans la seconde à venir. Ses mains descendent vers sa poitrine alors que son intimité se présente à mon visage, pas besoin d’être prodigieuse pour savoir ce qu’elle veut. En fait je crois même que je préfère ça, comme ça je serai occupée à son plaisir et j’oublierai un petit peu le fait qu’elle me fasse aussi peur et que je craigne qu’elle ne me frappe et ne me fasse du mal.

Aussi je commence mes caresses, les bras le long de mon corps mais ma langue plongeant en elle autant qu’elle peut le faire. Je la caresse comme je peux, ma position n’est pas forcément agréable, mais je m’applique à son plaisir et son excitation. Ma langue se fait tantôt douce et lente, tantôt plus vive et allant plus loin elle elle. J’alterne les plaisirs, n’oubliant pas de venir jouer avec son bouton de rose. Le traitement qu’elle m’inflige ne m’aide pas vraiment à rester concentrée sur ma tâche, une chance que je sois conçue comme une androïde sexuelle car je crois qu’une humaine aurait été bien à la peine à ma place. Je me tortille sous son traitement, plus encore quand ses doigts pincent mon clitoris avec de plus en plus de force, ça devient bientôt juste douloureux. Un ordre et sa main me fait sursauter en frappant l’intérieur de ma cuisse. Non elle va pas redevenir violente ? Ma langue redouble d’intensité et de précision dans ses caresses, au diable le côté « humain » des caresses qu’on m’a programmée pour savoir faire avec parfois des légères maladresses soi-disant plus excitantes. Je laisse parler les programmes primaires et basiques de ma programmation, autrement dis ma langue devient un jouet purement indécent qui vient caresser chaque zone potentiellement érogène que mon programme connait et lorsqu’une zone est identifiée, elle s’y attarde plusieurs longues secondes avant de passer à la suivante avant que l’humaine n’est le temps de se lasser. Ce n’est peut-être pas ce qu’elle espérait provoquer comme réaction mais la peur et la douleur sont deux choses que je vis terriblement mal, alors puisqu’elle veut jouir, elle va jouir.
Image
Avatar du romain
Justina Helvius
Joueur absent
 
Messages: 30
Inscription: 26 Septembre 2012, 21:19
Prénom: Justina
Nom de famille: Helvius
Compte principal: Secret
Compte secondaire: Oui

Re: [E3]C'est vraiment trop injuste [Lucretia]

Messagepar Lucretia Albinus le 14 Octobre 2012, 15:06

Ne jamais offrir le moindre répit à une androïde si vous voulez être assuré qu'elle est aussi docile qu'elle ne le crie, qu'elle ne l'affiche. C'est bien ce que je compte faire. Certes, à part envoyer mon employée à terre par maladresse, Justina n'a rien fait qui justifie mon attitude mais une part de moi s'en régale et s'en nourrit. J'ai toujours été ainsi même si je me suis appliquée à dissimuler cette facette de ma personne depuis des années. L'arrivée de Cassia m'a permis de la laisser s'exprimer de nouveau mais cela ne me suffit pas. Comme si le fait de l'avoir bridé durant des années a renforcé mon besoin de domination. Je vais devoir trouver un moyen de le canaliser. Pour l'heure, ma claque a eu un effet étonnant. Justina se conduit dorénavant comme une véritable machine, sans aucun semblant d'émotion humaine. J'ignore si je trouve cela plaisant ou non mais je ne peux nier que mon excitation grandit. Sauf que la jolie esclave devrait se méfier parce qu'à ce rythme-là, elle va réveiller certains de mes instincts. Justina l'apprend d'ailleurs rapidement à ses dépends quand mes doigts serrent durement la pointe de ses seins.

Tu appelles ça t’appliquer ?

Je me dégage de sa langue avant de la faire s'allonger à plat ventre. Elle ne s'attendait pas à cela. Je claque ses fesses à plusieurs reprises, histoire de réactiver sa peur. Une fois certaine que c'est le cas, mes doigts s'emparent de son intimité, la caressant durement avant de s'introduire en elle. Justina n'apprécie guère ce traitement mais ne peut empêcher son corps de réagir. Ses reins se cambrent violemment à chacune des pénétrations de mes doigts, la faisant gémir de plaisir. Elle peut bien s'en défendre, son créateur a fait d'elle une esclave sexuelle particulièrement bien réussie. À l'occasion, je demanderai peut-être à Thalie de me la prêter le temps d'une soirée. En bonne petite androïde docile, Justine ne pourra s'y opposer. Ce qui m'arrache un sourire malsain je dois dire.

Allez, je t'écoute. Donne-moi une raison de te ramener chez ta maîtresse plutôt que de te garder ici.

Je la sens se tendre brutalement. Et oui, Thalie n'a aucune raison de mettre ma parole en doute. Justine vient sans doute de le comprendre. Voilà qui devrait achever de la rendre docile à souhait. Mes doigts ne cessent de la fouiller, non pour lui donner du plaisir, mais uniquement pour lui faire sentir qu'elle n'est rien à mes yeux si ce n'est une source de plaisir. Mon don fait que j'aime manipuler les autres. Vu que la bêtise de cette androïde m'a fait perdre une journée de travail, elle va devoir se racheter. Et répondre tout en étant stimulée sexuellement n'a rien d'évident. Mes doigts ont quitté son intimité pour venir stimuler son petit bouton de chair. Je ne cesse de la mettre au supplice, intensifiant son plaisir avant de faire des pauses le temps qu'il baisse d'intensité. Il est clair qu'elle n'apprécie que la douceur. Étonnant quand on sait qu'il s'agit d'une machine fabriquée pour le sexe.

Je ne suis pas certaine que tu conviennes à mon amie...

Je relève Justina en la tenant par les cheveux. Fermement, je la réinstalle sur la chaise sans lâcher sa chevelure. Ordre lui est donné de ne pas bouger d'un iota. Ses poignets se retrouvent liés aux barreaux de la chaîne à l'aide de cordelettes en cuir. Je lis de nouveau la peur dans ses yeux. Je l'embrasse tendrement, contraste évident avec sa situation. Mes mains se referment sur ses seins, les caressant avec douceur pour maintenir leurs pointes en érection. Je les veux réceptifs pour la suite. Je laisse Justina ainsi, le temps d'un rapide aller-retour dans mon atelier. L'androïde me regarde sans vraiment comprendre. Je me contente de lui montrer une bobine de fil. J'en coupe deux morceaux avant de les enrouler autour de chacune de ses pointes, serrant fortement le fil, l'incrustant presque dans la chair tendre.

Bien... Tu as voulu n'en faire qu'à ta tête tout à l'heure, je vais donc te remettre à ta place.

Je la claque à plusieurs reprises, faisant fi de ses protestations, de ses cris. Sa peur grimpe en flèche, surtout quand je reprend ma badine en main. À vouloir jouer et décider de ma jouissance, Justina a juste réussi à m'énerver de nouveau. J'oblige l'androïde à la saisir en bouche avant de lui interdire de la lâcher. Ma main s'abat à plusieurs reprises sur ses seins rendus douloureux. Justina est prévenue, si elle lâche la badine, son sort sera pire.
Avatar du romain
Lucretia Albinus
Joueur absent
 
Messages: 253
Inscription: 25 Juillet 2012, 22:24
Prénom: Lucretia
Nom de famille: Albinus
Surnom: L'Enchanteresse
Compte principal: Oui

Re: [E3]C'est vraiment trop injuste [Lucretia]

Messagepar Justina Helvius le 14 Octobre 2012, 16:20

Mais qu’est-ce que je lui ai fais moi pour mériter ce sort ? Et dire que certains disent que les humains sont des gentils et qu’ils aiment les androïdes et bien cette femme elle ne les aime pas ! Elle ne sait pas ce qu’elle veut, je suis gentille et obéissante mais elle me fait mal, je me fais docile mais elle continue de me faire peur, j’ai vraiment peur, très peur. Elle serait bien capable de me détruire ou pire de me faire réinitialiser et j’oublierai Maîtresse Thalie et la façon dont elle m’a évitée le marché, ça serait … pire que tout ! Alors je dois faire ce qu’elle demande cette vilaine et horrible femme, elle veut prendre du plaisir et bien je lui en donnerai. Plus de sentiments humains, plus de tendresse et de douceur, elle veut un orgasme, je lui en donnerai un, après tout on m’a conçue de la sorte à pouvoir réussir sans me poser de questions, et puisqu’elle est méchante, je vais simplement la faire jouir et c’est tout ! Et le pire dans tout ça, c’est qu’elle aime ce traitement sans douceur parce que je sens bien sur ma langue que son intimité devient très humide et j’aime la sentir aussi excitée, ça réveille mes systèmes d’androïde sexuelle, j’aime ce goût dans ma bouche malgré la honte et soudainement la douleur qui me fait crier quand elle pince mes tétons qui ont été conçues de façon à être si sensible. Je n’ose même pas répondre à sa question, me contentant de déglutir avec peine, principalement sous la peur qu’elle m’inspire en réalité, la peur de la punition qu’elle va vouloir donner à mon comportement.

Elle s’est échappée à mes caresses et je me suis entendue gémir de frustration, comment est-ce que je peux à la fois avoir tellement envie d’elle et être tellement effrayée ?! Essayez d’être androïde sexuelle d’une perverse comme cette dame, vous verrez si ce n’est pas l’enfer ! Allongée à plat ventre désormais, je redoute ce qui va m’être fait, nouveau cri de surprise cette fois quand je sens des doigts qui se lancent en moi sans aucune douceur. Le traitement n’est pas si désagréable si ce n’est un peu douloureux, ridiculement je tente d’onduler pour m’échapper mais elle me maintient en place et je crois de toute façon que ça serait une très mauvaise idée de le faire. Je subis en gémissant, en prenant du plaisir alors que je suis dans un état de terreur total. Elle sourit en plus, et pas un sourire joli, non le genre de sourire qui fait peur, encore plus que terrorisée comme je suis, c’est dire. Sa question a beaucoup de mal à parvenir à mon centre de réflexion, une bonne raison ? Je gémis, cris mon plaisir parfois, et je tremble de frayeur, je réfléchis et finalement entre deux gémissements je parviens enfin à dire d’une petite voix effrayée mais aux sons plein d’excitation :

« Parce que euh … Vous avez vu les dégâts que j’ai fais en entrant ? Ca serait horrible si vous me gardiez ! Je suis une catastrophe ambulante … je fais tout le temps des maladresses et des bêtises … je vous détruirai le magasin … Avec Maîtresse Thalie, j’ai moins de risques de cacher des choses de grande valeur. »

En admettant qu’elle tienne à son magasin, ça pouvait marcher ! Restait à espérer que ça soit assez convaincant pour que ma punition arrête. Ce n’est pas agréable, ça fait mal et du bien en même temps, j’aime ses caresses autant que je les déteste et cette femme est horrible, plus encore quand j’entends ses mots, quand elle dit que je ne conviens pas à son amie. Amie ? C’est ainsi qu’elle traite l’androïde d’une amie ? Maîtresse Thalie si douce et gentille a une amie aussi barbare et violente ? Est-ce qu’elle l’a hypnotisée ? Ou versée une potion d’amour dans son verre ? Jamais ma douce Maîtresse ne peut être amie avec une femme aussi horrible que celle qui me torture sans pitié ! Sans m’en rendre compte, je réplique, signe fort de mon attachement à Thalie :

« C’est faux ! Vous vous trompez j’en suis certaine, Maîtresse Thalie aime être avec moi, elle aime quand nous jouons ensemble, elle m’apprend à prier Venus parce que ça lui fait plaisir de passer du temps avec moi ! »

Je sursaute en me rendant compte que j’ai dis ça, mais quelle idiote, mais quelle idiote, mais quelle idiote. Cela dit je ne dis pas que je n’ai rien dis parce que je l’ai dis et que je le pense vraiment. Si Maîtresse Thalie ne m’aimait pas, elle m’aurait déjà revendue, je suis sûre qu’elle m’aime ! Je me retrouve de nouveau sur la chaise, les mains attachées, elle doit pouvoir voir à mes lèvres qui tremblent et mes yeux humides que je suis sur le point de craquer en larmes à nouveau. Pourtant j’obéis docilement et gentiment, je ne bouge même pas quand elle vient avec ses fils bizarres qu’elle enroule autour de mes tétons en serrant fort. Ca fait mal, très mal, je cris de douleur, en faire à ma tête ? Quand ça ? Je suis une gentille androïde moi ! Je fais ce qu’on me dit, c’est tout ! Elle met la baguette entre mes lèvres et me dit de ne pas la lâcher. Ca a l’air facile mais beaucoup moins quand elle devient violente et frappe mes seins. Les larmes coulent mais je tiens bon, je sers fort mes dents sur la badine, je gémis, je me débats sur la chaise que je finis par renverser. Je sais que ça va empirer les choses, elle m’attrape par les tétons et tire ainsi jusqu’à me remettre assise, la chaise en place. La douleur a été violente, mes dents serrées sur la baguette, je l’ai sentie craquer tant j’ai serré et j’imagine que même si apparemment elle n’a pas entendue, le découvrir ne sera pas à son goût. Toujours avec cette entrave dans ma bouche je supplie de « pitié » inaudibles, en larmes, j’ai mal, très mal, j’ai été prévu pour le plaisir dans la douceur, pas dans cette violence horrible qu’elle me fait subir.
Image
Avatar du romain
Justina Helvius
Joueur absent
 
Messages: 30
Inscription: 26 Septembre 2012, 21:19
Prénom: Justina
Nom de famille: Helvius
Compte principal: Secret
Compte secondaire: Oui

Re: [E3]C'est vraiment trop injuste [Lucretia]

Messagepar Lucretia Albinus le 16 Octobre 2012, 18:33

Dire que le plot de Justina est actif est un euphémisme. Si cela n'était pas le cas, elle m'aurait sauté à la gorge depuis un bon moment déjà. Au lieu de ça, elle subit tout en pleurnichant. Ce qui me fait penser que je vais devoir songer à reprendre ce genre de divertissement avec un humain. Bien plus intéressant selon moi qu'avec ces machines. Qu'importe, pour le moment, je fais avec ce que j'ai sous la main. Et c'est Justina qui est là. Je ne dois pas oublier de lui donner la robe pour Thalie au fait. Thalie... Les événements nous ont éloignées l'une de l'autre. Je sens qu'elle me cache quelque chose mais je ne parviens pas à savoir quoi. Et si sa nouvelle androïde le savait elle... Je pense à cela en la relevant après qu'elle ait eu la mauvaise idée de faire tomber la chaise. Justina est en pleurs mais je n'y prête pas attention. Elle a bien dit qu'elle ne pouvait mentir... Je vais donc vérifier cela moi. Les coups cessent et j'accorde de longues minutes de répit à l'androïde, non sans avoir récupéré ma badine brisée en deux. Je la laisse seule durant ce temps, assurée qu'elle ne peut se détacher. Mon retour annonce un virage dans mes envies.

Tu m'as bien dit que tu ne peux mentir... Alors, je vais te poser une question, une seule.

Voilà qui ne semble pas rassurer Justina. Loin de là même. Et je ne lui donne pas tord. Elle a bien des raisons de se préoccuper de la suite. Mais je vais encore la torturer un peu avant de lui demander ce que je veux savoir. Avec douceur, je libère les pointes de leur prison de fils avant de les masser sensuellement. Réaction immédiate de la demoiselle. Finalement, c'est trop facile. Pour un peu, je m'en lasserai... Un peu de concentration, si je veux obtenir des renseignements, il va falloir que je m'en donne les moyens. Je repasse derrière Justina, lui ordonnant de regarder devant elle uniquement. Mes doigts glissent dans sa chevelure avant de se poser sur ses épaules. Lentement, je commence un massage dans le but de détendre son corps entièrement.

Le premier symptôme me surprend. Ce n'est vraiment pas le moment. Ma tête se met à marteler, tel un troupeau de chevaux lancé en plein galop. Ce qui ne m'arrange pas du tout. Je recule, sachant que mon état va empirer rapidement. Je laisse Justina dans sa position délicate avant de disparaître dans une pièce bien dissimulée de mon magasin. Il était temps, les vertiges commencent. Je m'allonge sur un lit improvisé. Je ne peux qu'attendre et subir. J'avais oublié ce qu'impliquait le fait de créer des illusions aussi puissantes. Mes oreilles se mettent à saigner, juste un filet, rien de plus. Venus fait encore des siennes. Quelle idée aussi de m'avoir offert un tel don si chaque fois que je l'utilise, je suis au plus mal. Bon, il faut aussi dire que j'apprécie de créer des illusions puissantes. Et encore, quelques heures à peine et je serai debout et en pleine forme. Parce que pour le moment, c'est loin d'être le cas.

Je m'adresse à Toi, Ô ma Déesse,
Soulage ta servante,
Pardonne l'orgueil et la vanité.


Plus qu'un rituel, ces mots sont une obligation. Je sombre dans un demi-sommeil, un état durant lequel je me sais vulnérable mais contre lequel je n'ai aucune solution. C'est le prix à payer pour posséder une telle puissance et s'en servir. Il y a longtemps que je le sais. La combinaisons de mes deux dons est encore plus dévastatrice. Reste que je ne sais jamais à l'avance combien de temps me prendra ma récupération.

Combien de temps suis-je restée inconsciente ? Je suis incapable de le dire. Avec précaution, je me redresse, mon équilibre refaisant lentement surface. Je me relève avant de me diriger vers mon bureau. La grande inconnue du moment : Justina est-elle toujours présente ou pas...
Avatar du romain
Lucretia Albinus
Joueur absent
 
Messages: 253
Inscription: 25 Juillet 2012, 22:24
Prénom: Lucretia
Nom de famille: Albinus
Surnom: L'Enchanteresse
Compte principal: Oui

Re: [E3]C'est vraiment trop injuste [Lucretia]

Messagepar Justina Helvius le 16 Octobre 2012, 19:53

Pourquoi était-elle si cruelle et méchante ? Pourquoi ne pouvait-elle pas se montrer gentille ? Ou même rien qu’un tout petit peu méchante, pourquoi elle avait besoin d’être aussi humiliante et me de faire autant mal ? J’étais une gentille androïde moi, j’étais programmée comme une enfant c’est vrai, mais j’étais gentille, maladroite et catastrophique peut-être mais j’étais une gentille, une grande gentille. Alors pourquoi est-ce que je tombais sur une méchante comme ça qui s’amusait à me faire mal et me faire peur ? Qui me montrait ma maîtresse en train d’avoir mal et d’être tuée. Une méchante qui m’attache et me torture par plaisir, tout en jouant à m’exciter parce que mon corps d’androïde sexuel va réagir comme elle veut alors même qu’elle me fait mal. Je l’aime vraiment pas, c’est vraiment une vilaine, en fait je la déteste beaucoup, je crois que j’ai jamais détesté quelqu’un comme je la déteste elle. Normalement j’aime tout le monde, mais elle c’est pas le cas, je l’aime pas du tout et je l’aimerai jamais ! Elle arrête pas de me faire mal, j’ai cassé sa baguette et je crois qu’elle va me le faire payer. Elle va me poser une question parce que je ne peux pas mentir, j’ouvre de grands yeux, elle va me demander si je l’aime et comme je vais devoir dire « non » parce que c’est la vérité, elle va me punir encore plus. Elle est bien assez méchante pour le faire ! Docilement je hoche la tête, les yeux toujours trempés de larmes, prouvant que j’ai bien entendu et que j’écoute sa question.

Elle a l’air de vouloir encore un peu s’amuser avant de me libérer et me poser sa question, elle joue avec mes seins, mais ça fait moins mal, elle a relâché mes tétons et me caresse presque avec douceur. C’est presque agréable, si j’arrivais à oublier toutes les douleurs et les peurs qu’elle m’a fait ressentir, je pourrai peut-être même aimer seulement ce n’était pas le cas, alors c’était agréable pour ce traitre de corps qui réagit beaucoup trop, mais pas pour moi. Elle retourne derrière moi, un ordre pas trop difficile qu’elle me donne, regarder devant moi, de toute façon je préfère ça que de devoir la regarder elle ! Avec ses airs de vilaine sorcière prête à dévorer les petits enfants ! Enfin au moins ce qu’elle fait est devenu agréable, je me doute que c’est un piège mais mon corps aime beaucoup la soudaine douceur qu’elle me fait vivre. Je crains le pire et je le redoute, me laissant faire sans avoir le choix, les yeux bien devant moi jusqu’à ce que soudainement tout s’arrête. Plus de caresses, plus de menace, pas de question, pas de peur, pas de douleur, comme si elle s’était éteinte.

Je l’entends qui s’en va d’un pas qui ne semble pas du tout dire qu’elle va bien. Je ne bouge pas, je regarde devant moi, ça pourrait être un test, une façon de voir mon obéissance. Et puis dans le silence, après plusieurs minutes, j’entends du bruit, très léger, des gémissements, ceux qu’on a dans le sommeil quand on souffre, qu’on entend jamais, qu’on ignore avoir eu. C’est peut-être bien ma chance de m’enfuir et j’y pense sérieusement, je serai retournée chez ma Maîtresse comme une bonne androïde. Seulement je ne peux pas, ma programmation l’interdit, elle me fait m’inquiéter pour elle, un humain en danger, je dois le protéger, l’aider. Elle a été si méchante et pourtant alors que je bouge mes poignets sur la chaise pour qu’ils échappent au cuir qui les retient, c’est pour aller l’aider. Je pourrai m’enfuir une fois libre, combien de temps cela m’a-t-il pris ? Je ne sais pas, le temps d’avoir assez bougé pour avoir défais les lients. Je m’approche de l’endroit où se trouve l’humaine, allongée, elle semble vraiment avoir mal, ses oreilles saignent, son corps complètement crispé. Je ne sais même pas quoi faire, c’est complètement stupide ! Je cherche une bassine, un peu d’eau, un chiffon en espérant que ça ne soit pas une étoffe inestimable. J’éponge son front en sueur, ses oreilles qui ont arrêté de saigner et le pire ? Je suis vraiment inquiète. Elle a été méchante, violente, elle m’a fait peur mais c’est plus fort que moi, je suis vraiment inquiète. Ce n’est pas que ma programmation, c’est bien au-delà, une vraie inquiétude, je suis gentille je l’ai dis et répétée, la voir souffrir me fait mal, me fait peur pour elle, même si elle a été la plus méchante femme que j’ai rencontré. Elle semble s’apaiser, je sais qu’elle va revenir à elle, je range ce que j’avais pris pour essuyer sa sueur et le sang là où je l’avais pris, et sans rien casser ! Je retourne à ma place, nouant une cordelette et faisant aussi bien que je peux avec l’autre. Immobile sur la chaise, tremblante, je l’entends se lever et revenir, j’ai de nouveau peur d’elle et pourtant une petite part de moi reste inquiète.
Image
Avatar du romain
Justina Helvius
Joueur absent
 
Messages: 30
Inscription: 26 Septembre 2012, 21:19
Prénom: Justina
Nom de famille: Helvius
Compte principal: Secret
Compte secondaire: Oui

Re: [E3]C'est vraiment trop injuste [Lucretia]

Messagepar Lucretia Albinus le 20 Octobre 2012, 14:26

Utiliser les dons offerts par ma Déesse n'est jamais sans douleur pour moi. J'ignore pourquoi mais il s'agit certainement de la façon la plus directe pour me rappeler que je ne suis qu'une humaine, juste une humaine en dépit de ma puissance. Comme à chaque fois, je me retrouve sans la moindre défense, le corps affaibli, le sang coulant. En général, mes crises me laissent le temps d'aller me mettre à l'abri mais les derniers événements ont fait que cela m'a été impossible aujourd’hui. Je reprends lentement conscience dans la salle que j'ai aménagé à cet effet dans mon magasin. Je vais devoir grignoter quelque chose, j'ai faim. Tout en retournant vers mon bureau, quelques détails me perturbent. Je les refoule dans un coin de ma tête en ouvrant la porte.

Justina est toujours là ! Voilà qui me surprend. L'androïde de Thalie est toujours assise et attachée sur la chaise. Quoi que attachée n'est plus vraiment le mot juste. Ses liens sont différents. Ce ne sont pas les miens, ma façon de faire. Je souris. Les pièces se mettent en place. L'androïde s'est occupée de moi durant mon inconscience, ce qui explique le peu de sang que j'ai trouvé à mon réveil. Voilà qui est étonnant surtout que libre, elle aurait du logiquement retourner aux côtés de sa maîtresse. Sa peur est toujours présente. Sans me presser, je passe derrière elle, mes doigts venant jouer avec les cordes. Je réajuste le tout pour emprisonner à nouveau ses poignets.

J'ignore pourquoi tu es resté mais tu aurais mieux fait d'aller te réfugier aux pieds de ta maîtresse...

Ma voix est froide, distante, dure. Je sais, je devrais me montrer reconnaissante à son égard mais non, je n'en ai pas la moindre envie. Au contraire, je pense que le fait qu'elle m'est vue faible a renforcé mon envie de la voir souffrir encore plus. Postée derrière Justina, mes mains descendent lentement vers ses seins dont je serre les pointes jusqu'à la faire crier de douleur. Mes ongles s'enfoncent dans sa « chair » sans la moindre hésitation. Elle doit regretter de ne pas avoir fui quand elle le pouvait. Je tire sur ses cheveux, plongeant mon regard dans le sien.

Tu croyais que m'aider allait m'adoucir ? Quelle idiote fais-tu !

J'apprécie ces moments où la terreur se dévoile. Mais je sais aussi que je marche sur des œufs car, officiellement, je suis une adepte et une prêtresse de Venus connue et respectée. Bien que je ne doute pas la moindre seconde que ma version aura plus de poids que toutes celles que pourra donner Justina à Thalie. Mon amante ne pourra que me croire. Bien que ces derniers temps, c'est loin d'être gagné. Passons. Je passe outre les jérémiades de l'androïde qui semble peu apprécier que je ne me montre pas un peu plus gentille à son égard.

Quand j'en aurai fini avec toi, je te ramènerai à Thalie et tu lui diras que je t'ai correctement traitée...

Autant lui demander de se couper un bras, Justina n'afficherait pas un air plus stupéfait. Ce qui m'amuse. Elle peut bien dire et répéter qu'elle ne peut mentir, elle le fera. J'en suis certaine. Mes mains redescendent sur son corps, la faisant frémir autant d'envie que d'appréhension. Tout en la caressant, je me penche pour venir murmurer à son oreille toutes ces choses que j'ai les moyens de lui faire sans que quiconque puisse me le reprocher ensuite. Mes doigts sur son intimité, je caresse son bouton de plaisir jusqu'à la faire de nouveau gémir. J'assure la stabilité de la chaise afin qu'elle ne tombe pas une nouvelle fois. Ma main libre vient se poser de nouveau sur sa poitrine que je caresse dans un premier temps.

Tu vas apprendre à dire merci et à apprécier.

Sans prévenir, ma main s'abat avec force sur son sein gauche avant de reprendre les caresses. Durant de longues minutes, je souffle ainsi le chaud et le froid, alternant entre claques et caresses. Justina est mise au supplice mais ne peut empêcher le plaisir de la posséder et cette impuissance renforce mon sentiment d'impunité.
Avatar du romain
Lucretia Albinus
Joueur absent
 
Messages: 253
Inscription: 25 Juillet 2012, 22:24
Prénom: Lucretia
Nom de famille: Albinus
Surnom: L'Enchanteresse
Compte principal: Oui

Re: [E3]C'est vraiment trop injuste [Lucretia]

Messagepar Justina Helvius le 21 Octobre 2012, 15:21

Pourquoi ça pouvait pas être une gentille hein ? Pourquoi il fallait forcément que ça soit une méchante qui veuille me faire du mal chez qui ma Maîtresse m’envoie, ‘est-ce que Maîtresse Thalie voulait se débarrasser de moi au plus vite en m’envoyant chez cette folle furieuse ? Dans ma tête, je repassais les moments avec ma Maîtresse, cherchant celui ou j’avais fais quelque chose de mal, cherchant ce mot où j’avais fais une bêtise impardonnable qui méritait une punition pareille mais pour la toute première fois de ma vie alors qu’on me punissait aussi violemment, je ne trouvais aucune raison de subir un truc pareil ! D’habitude, je trouvais toujours quelque chose qui faisait que je méritais cette punition mais là plus je me creusais la tête et plus j’avais le sentiment que non, le comportement de cette femme était totalement gratuit et donc que Maîtresse Thalie m’avait envoyée ici simplement pour me faire du mal. Mais pourquoi ? Je ne comprends pas. Elle n’aime pas trop les androïdes d’accord, mais elle veut que je sois avec elle toutes les nuits pour faire dodo, elle ne veut pas que je quitte le Temple sans lui demander et même pour aller voir quelqu’un je dois d’abord demander. Je crois que ce sont des sécurités pour éviter que je multiplie les bêtises avec des gens importants pour elle mais quand même j’avoue que je ne comprends pas ! Est-ce que je ne suis pas une gentille petite androïde bien obéissante et dévouée ? Je suis sûre et certaine que oui, je suis sûre et certaine que cette femme qui me fait du mal sait très bien que je suis une bonne androïde mais que c’est sa façon de s’amuser de faire du mal aux autres, que c’est comme ça qu’elle prend du plaisir.

« Vous n’avez pas dis que je pouvais partir, alors j’étais obligée de rester et de regarder le mur. »

En plus il est pas beau ce mur, juste une couleur pas super belle, enfin c’est un bureau quoi c’est sobre, pas coloré ni vivant, un lieu de travail. Même pas une petite peinture pour regarder et contempler, même pas un pot de fleurs, rien pour distraire ma petite tête, juste ce mur moche et triste. Et puis le traitement horrible qu’elle reprend sans aucune pitié en me faisant hurler de douleur en pinçant mes tétons. Ses ongles se plantent dans mes seins, c’est très douloureux, je cris tout en sachant que personne ne viendra m’aider, elle tire mes cheveux, nouveau cri et elle dit quelque chose que je savais déjà :

« Non, je savais que vous seriez pas plus gentille. »

Je ne dis pas ça pour la provoquer, mon ton est naturel, j’ai répondu à la question posée. Je suis peut-être une gamine sur beaucoup de points, amis je ne suis pas idiote, une femme qui aime faire mal aux autres et ben il n’y a pas de miracles, c’est pas parce qu’on prend soin d’elle dans son malaise qu’elle va être plus gentille. Je savais que ça continuerait mais je ne voulais pas attirer d’ennuis à ma Maîtresse en partant sans demander l’autorisation ou au moins sans avoir le droit. De nouveau elle me demande de mentir et de nouveau je secoue doucement la tête :

« J’ai pas le droit de mentir. »

Je le dis encore mais je sais que c’est complètement vain, elle s’en fiche bien de ce que je dis, ce qu’elle aime c’est dire des trucs et les écouter et puis ce que les autres disent, hop à la trappe elle s’en fout complètement. Tant pis pour elle, je mentirai pas à ma Maîtresse, je peux pas de toute façon, c’est dans ma programmation, même si je voulais je pourrai pas. Elle recommence à être douce tout d’un coup, je sais que c’est que pour devenir plus méchante de nouveau mais je peux rien y faire, je déteste ma programmation comme jamais ! Etre obligée d’aimer qu’elle me fasse mal, c’est vraiment mais alors vraiment pas cool. Elle me caresse mon bouton de plaisir et ma poitrine et parfois frappe ma poitrine avant de redevenir douce. Je gémis de plaisir et de douleur selon les attentions, mon plaisir monte et l’excitation grandit, je ne peux rien faire contre, je suis obligée d’apprécier, après tout je ne suis qu’une esclave sexuelle non ? Elle par contre c’est une vilaine, méchante, cruelle, mesquine, horrible, détestable, méprisable, violente, arrogante, égoïste, terrifiante, sadique, sans-coeur d’humaine, et je l’aime PAS DU TOUT !
Image
Avatar du romain
Justina Helvius
Joueur absent
 
Messages: 30
Inscription: 26 Septembre 2012, 21:19
Prénom: Justina
Nom de famille: Helvius
Compte principal: Secret
Compte secondaire: Oui

Re: [E3]C'est vraiment trop injuste [Lucretia]

Messagepar Lucretia Albinus le 06 Novembre 2012, 22:24

La déférence de Justina envers Thalie m'amuse au plus haut point. Elle a beau me maudire, se plaindre, sa nature l'oblige à apprécier ce que je lui fais. Et je n'en prive pas. Je la détache, façon de parler, avant d'enrouler la corde autour de son cou. Les androïdes n'ont pas besoin de respirer, je ne crains donc pas qu'elle tombe dans les pommes en suffoquant. Je la traîne ainsi jusque dans le magasin. La boutique étant fermée, nous ne serons pas dérangées. Je me saisis d'un balai au passage avant de retirer la corde et de lui indiquer le foutoir qu'elle a fait en arrivant.

Tu vas me nettoyer tout cela et tout remettre à sa place !

Elle semble ravie de m'échapper un peu. Ce qui me fait sourire alors que je l'observe se mettre en mouvement. Avec un peu de chance, elle ne fera pas plus de dégâts mais je n'en suis pas certaine. Ceci dit, il me sera aisé d'expliquer à Thalie la raison qui m'a poussée à punir son androïde. Et la jeune prêtresse le sait bien, je ne le fais que par obligation bien entendu. Le manche à balai commence à me démanger sérieusement et je ne compte pas m'en priver. Les premiers coups tombent rapidement, terrifiant un peu plus Justina qui ne comprend pas pourquoi. Je m'en moque pas mal. Je ne cesse que lorsque que j'estime que tout est convenablement rangé.

Au moins, tu es capable de faire quelque chose sans tout détruire autour de toi. Je pense que je vais demander à Thalie la possibilité de te faire venir régulièrement pour faire le ménage.

L'air de Justina m'informe que cela ne l'enchante pas du tout. Rien que pour cela, je pense sérieusement à en parler à mon amante. Je m'approche de l'esclave, sourire aux lèvres. Mes doigts se referment sur son mamelon gauche sur lequel je tire pour la faire s'approcher encore plus de moi. J'aime cette lueur au fond de ses yeux mais je sais aussi que je ne dois pas dépasser certaines limites sous peine de mettre en péril ma relation avec Thalie. Justina ne peut mentir en effet et cela provoquera sans nul doute des tensions. Il me reste une carte à jouer mais je doute que ce soit une bonne idée. Ma foi, j'aviserai avant de la laisser partir. Je glisse mes doigts sur son intimité avec douceur. Mes doigts s'affairent lentement, sans hâte, faisant rapidement réagir la douce créature que j'ai entre mes mains. Une fois assurée que le plaisir est la seule chose que Justina perçoit, je cesse toute action, reculant légèrement. Sans perdre de temps, je plonge mon regard dans celui de l'androïde.

Dis à ta maîtresse que je t'ai correctement traitée et que tu es ravie d'avoir fait ma connaissance.

Ma voix a claqué, dure et coupante. Mon don de domination mentale va me mettre à l'abri des ennuis et Justina n'aura pas conscience de mentir. Par contre, les premiers symptômes de malaise ne tardent pas à pointer le bout de leur nez. Avec une gentillesse extrême, je congédie Justina, lui remettant le colis pour Thalie ainsi qu'une jolie toge assez courte pour elle. Non que je veuille me racheter mais elle sera à croquer avec. Je referme la porte du magasin à clé derrière l'androïde avant d'aller m'allonger sur le matelas. Cassia saura où me trouver si besoin. Ma respiration se fait de plus en plus difficile avant que je ne sombre dans l'inconscience.
Avatar du romain
Lucretia Albinus
Joueur absent
 
Messages: 253
Inscription: 25 Juillet 2012, 22:24
Prénom: Lucretia
Nom de famille: Albinus
Surnom: L'Enchanteresse
Compte principal: Oui

PrécédenteSuivante

Retourner vers Épisode Trois : Le corps expéditionnaire



Qui est à Rome ?

Romains parcourant ce forum: Aucun romain en ville et 7 touristes

cron