par Mettius Aurelius le 07 Octobre 2012, 00:59
Oui maitre. Pas besoin d’en dire plus sans doute. Elle résumait ainsi tout le fonctionnement de ce duo, il donnait un ordre, elle obéissait. Bon, inutile de s’étendre là-dessus, inutile de répéter ce qui a été dit précédemment, je ne suis pas un perroquet et je n’aime pas trop me rabâcher quand je préfère l’éviter. Revenons donc aux actions elle-même. Suivant l’ordre donner par son maître, elle s’en fut. Mais d’un coup, elle ne sembla pas être en mesure de passer outre les escaliers. Elle n’avait jamais eu l’interdiction de les employer. Elle était parfois trop scrupuleuse, preuve en était qu’elle n’avait jusque là par pris… cela montrait bien son état physique et d’esprit !
Quand elle revint, ce fut avec une petite fiole. Ainsi, voilà donc cette fameuse popote miracle dont seuls les adeptes de Jupiter avaient la recette, des adeptes comme et lui…. Il la regarda boire cette mixture entièrement, un flacon d’une dose et attendit…
Rien…
…il ne se passait absolument rien, c’était le calme plat, et enfin, elle commença à trembler alors qu’elle s’allongeait sur le dos, au sol. Il avait une vue directe sur ses grandes lèvres blessées, amputées d’une partie même, avec la chair de part et d’autre, sanguinolente. Magnifique. Et si elle tremblait jusque là, cela vira du tout au tout ! En effet apparemment la douleur fut omniprésente, elle commença par une accélération et un accroissement des tremblements jusqu’à devenir de très légers spasmes.
La suite du spectacle fut assez particulière, il n’avait jamais vu ça ! La chair et les plaies se reformaient lentement, les chairs, la peau, tout cela à une vitesse plus que modérée. Parfois, il surprenait un cri, ah ! La douleur, quelle magnifique musique à écouter quand une voix féminine la crie, c’est comme ces gémissements…du plaisir ? Non mais ho ! Alors là elle aimait, elle le montrait mais quand il agissait, elle ne montrait que douleur ! Fallait peut être une deuxième correction….
Il sourit et la regarda se tordre de douleur sur le sol, souriant jusqu’à ce qu’elle se calme. Mais pour mieux repartir vers le plaisir…oui, le pur plaisir alors qu’il voyait son intimité se reconstituer de sa peau à son clitoris qui repoussait, elle gémissait et ça, rien qu’à l’oreille il comprit que c’était du plaisir, et vous savez quoi ? Cela faisait remonter sa virilité vers les sommets ! Et sans perdre de temps, elle se replace devant lui, à genou, le front contre le sol.
« Dis donc, c’est moi, où tu prenais plus de plaisir toute seule qu’avec moi ? Ce n’est pas très respectueux… »
Frustré par ce consta, il prit la chaîne et la rossa à nouveau. Des bleus qui prendraient tout leur temps pour disparaitre. Il frappa le dos, les épaules, les reins, les fesses…il frappa jusqu’à ce que le corps soit suffisamment bleui par endroit, pas partout, mais assez régulièrement à son gout.
« Mets-toi sur le dos ! »
Il se désintéressa d’elle pour prendre ce qu’il y avait avec le tas en plein milieu de la pièce. Outre les mannequins il y avait quelques caisses remplies de denrées non périssables et deux caisses pleines de bougies. Il en prit quelques unes. Juste deux ou trois, et revint vers la jeune femme, et alluma la première bougie à la seule source de lumière ambiante. Il l’approcha de la jeune femme et lui ordonna de tenir la bougie comme elle pouvait, la glissant entre ses lèvres. Elle avait des dents, non ? Il alluma la deuxième bougie avec l’aide de la première avant d’étendre la flamme en écrasant la mèche sur le front de la jeune femme.
Puis il la ralluma et la laissa bruler, à l’horizontale, au dessus du ventre de la demoiselle, attendant que la cire goutte sur le nombril pour recommencer ailleurs : chacun de ses boutons de chair ornant son buste, et son pubis