[E3][Flashback]Une arme au service de son maître [Mettius]

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Re: [E3][Flashback]Une arme au service de son maître [Mettiu

Messagepar Deserta Sulpicius le 02 Octobre 2012, 20:38

Une nouvelle fois, j'ai cédé mais comme toujours, mes limites s'en trouvent repoussées. C'est une bonne chose. Mon corps n'est plus que douleur et sang et pourtant, je fais en sorte de rester en équilibre sur le « cheval ». Seuls mes pleurs témoignent de mon échec. Je sens la main de mon maître sur ma joue, puis les morceaux de chair qu'il glisse entre mes lèvres. Je ne fais aucune difficulté pour les avaler. Après tout, c'est nourrissant et puis, ça me laisse un peu de temps pour reprendre en partie le contrôle de mes tremblements. L’atterrissage au sol est par contre beaucoup plus violent. Aucune plainte cette fois. Le pire est dernière moi et je le sais. Même si ce n'est pas fini.

La lame quitte son logement, entraînant de nouveaux saignements sans gravité. Tout comme l'aiguille que mon maître insère dans mon oreille pour être certain que je la retrouve après son départ et qu'elle soit rangée correctement. SON visage... Mon maître n'est plus fâché après moi sinon il ne me regarderait pas ainsi. Cette permission est tellement rare que je peine à le fixer, mes yeux retrouvant rapidement le sol. Ne pas se souvenir. Je dois me rappeler de tout sauf de LUI. C'est ainsi. De nouveau face au sol. Je me sens mieux ainsi. À ma place. Mais ce geste, venant de mon maître, apaise mes craintes et renforce ma dévotion
envers LUI.

Mes poignets se retrouvent de nouveau liés dans mon dos. Voilà qui m'apaise. Mon maître s'installe confortablement avant de m'annoncer la suite. Rien de bien difficile en somme. Sauf que ma position complique un peu la donne. La chaîne me fait réagir mais l'intensité des coups a changé, elle s'est amoindrie. Il est une coutume qui veut que l'esclave lave les pieds de son maître. Qu'importe la méthode, mon précepteur m'a expliqué, un jour, que seule la symbolique du geste compte.

Ma bouche se referme sur l'orteil le plus gros pendant que ma langue commence à s'activer pour entreprendre le nettoyage. Je connais le goût du sang, celui de la terre. Mon estomac a avalé tellement de choses différentes que je peux certainement manger n'importe quoi maintenant. Je progresse méthodiquement, lavant les orteils les uns après les autres, les rendant aussi nets que si j'avais utilisé de l'eau. Hors de question de me servir de mes dents, je ne veux pas blesser mon maître. Cela fait, je poursuis en remontant sur le dessus du pied que je soumets au même traitement. Même la chaîne qui s'abat sur moi me semble une caresse. Dans un état second, voilà où j'en suis. Je ne me rends même plus compte que certaines de mes plaies sont particulièrement profondes. Au lieu de cela, je m'applique à ma tâche sans penser à autre chose. En voilà un de laver. Sans perdre de temps, je passe au second. En me déplaçant pour mieux m'installer, je fais un faux mouvement. La lame que j'ai encore dans mon épaule ressort par l'arrière. Je refrène un gémissement avant de reprendre.

Demander un moment de répit ne me traverse même pas l'esprit. Je sais pourtant qu'il faut que je soigne. Et vite de préférence si je ne veux pas me vider de mon sang. Ne croyez pas que je sois idiote. Loin de là même ! Non, c'est juste que ma vie est entièrement vouée à mon maître et que je ne suis rien sans lui. Je termine le nettoyage de ses pieds, non sans satisfaction. Ils sont propres maintenant. Je ne pouvais décemment pas le laisser dans cet état. Surtout qu'il m'a fait l'honneur de me laisser regarder son visage. Une fois ma tâche achevée, je repose mon front sur le sol, en attente.
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Re: [E3][Flashback]Une arme au service de son maître [Mettiu

Messagepar Mettius Aurelius le 03 Octobre 2012, 08:42

Le fait qu’elle cède lui plaisait, le fait qu’elle ne cherche pas à outrepasser son corps lui plaisait, le fait qu’elle reste face contre terre jusqu’à ce qu’il lui donne mieux lui plaisait. Et elle avait beau avoir cédé malgré elle aux faiblesses de sa chair, aun fond de lui, Mettius était fier d’elle – à moins que ce ne soit de lui qu’il était fier.

En effet il y avait den fierté pour son œuvre, cette chose, cette arme humaine qu’il faisait tout pour pousser au-delà e toute limite humaine, il était fier du chemin qu’il avait accompli ; fier de sa capacité à avoir créé une telle œuvre d’art vivante, l’avoir modelée à l’image qu’il désirait en avoir. Il était fier de ce qu’il avait obtenu d’elle, une servile, docile et implacable tueuse qui aura fait tout ce qu’il fallait pour que son maitre l’apprécie, tout ce qu’il aurait fallu ne serait-ce que pour le plaisir de savoir que le maitre n’était pas déçu !

Ses lèvres vinrent à la conquête de ses pieds tour à tour, engloutissant entièrement ses orteils un à un pour les laver, allant de coups de langue sur le dessus, n’omettant sur chacun que la plante des pieds, zone qu’il préférait éviter, étant particulièrement chatouilleux à ce niveau-là ! Elle les parcourut en long en large en travers ^pour éliminer jusqu’à la dernière petite trace de poussière ou de sang sur la surface de ceux-ci, perfectionniste à souhait.

Etant donné son habileté à jouer de la langue, il ne fallait pas s’étonner de constater un certain détail poindre tel un mât, se dressant verticalement fier et fort entre elle et lui, mais ce n’était pas encore le moment, il avait deux ou trois petites choses à faire avant cela, comme par exemple, essuyer la plante de ses pieds dans les cheveux de sa servile esclave, ce qu’il fit immédiatement d’ailleurs ! Quitte à lui enfoncer le visage dans la terre, il souilla de terre et de sang la chevelure de sa chose de ses pieds sales.

Puis il se releva et se dirigea vers les jambes de la jeune femme pour lui retirer les aiguilles à cuir qu’elle avait dans les genoux, qu’elle puisse les plier en cas de besoin, et se servant des aiguilles comme des baguettes il dégagea délicatement et difficilement la lame de l’épaule de la jeune femme, jusqu’à pouvoir la saisir à mains nues et l’extraire en tirant dessus d’un coup sec ! Mettius sourit en se disant que ce devait ^être assez douloureux, mais il avait une autre idée, il revint vers ses jambes et lui écarta les cuisses ; révélant encore une fois la chair à vif de son intimité. Il prit un peu de terre et commença à frotter vigoureusement la zone. Jusqu’à ce qu’il y ait de la terre incrustée dans la chair….niveau guérison ça allait être particulièrement douloureux…

« Je crois que tu devrais préparer et boire une bonne dose de potion une fois que je serai parti….mais je ne suis pas pas encore parti, quelle chance n’est-ce pas ! »

Il avait un petit sourire en coin en disant cela…

« Si tu souhaites que je te soignes bien, occupe toi bien de ton maître…. »

Y avait-il besoin de précisions ?
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Re: [E3][Flashback]Une arme au service de son maître [Mettiu

Messagepar Deserta Sulpicius le 03 Octobre 2012, 12:15

Heureuse, je le suis assurément. Mon maître n'est plus fâché à mon encontre. Mes fautes sont donc rachetées. Sereine, la tête posée face au sol, je me détends lentement en attendant SON bon vouloir. Je viens de nettoyer ses pieds, sauf la plante car je sais que mon maître ne supporte aucun contact à cet endroit. Cela me chagrine quelque peu car j'estime que mon travail garde un goût d'inachevé. Comme toujours, IL détient la solution. Je ne bouge pas d'un iota tandis qu'il essuie le dessous de ses pieds sur ma chevelure, incrustant un peu plus mon visage dans la terre. Je bloque ma respiration afin de ne pas m’étouffer le temps qu'il termine, immobile.

Les aiguilles sont retirées de mes genoux. Je vais pouvoir me mouvoir avec un peu plus de facilité. Mon maître procède avec douceur pour dégager l'arme plantée dans mon épaule. Mes larmes ne coulent plus et je supporte la douleur sans trop de difficulté maintenant. Je profite de ce moment pour faire un état rapide de mes blessures. Plus nombreuses que lors de la dernière punition. Certaines saignent encore. Celle de mon épaule particulièrement. Le retrait de la lame m'arrache un gémissement que je maîtrise rapidement. Mes épaules vont retrouver leur logement maintenant. La voix de mon maître est douce, sans plus aucune trace de colère. J'ai passé ce test avec succès et je gagne le droit de me servir de la potion après son départ.

Je me laisse manipuler sans opposer la moindre résistance. IL va rester encore un peu. Ses doigts glissent sur mon sexe martyrisé. J'apprécie la caresse bien que le résultat verra ma guérison plus douloureuse encore. Qu'importe, ce contact est d'une douceur exquise me concernant. Mon corps frémit mais plus de douleur maintenant. Les yeux clos, je me laisse aller, détendant mes muscles les uns après les autres, bougeant juste le haut de mon corps pour réinstaller mes épaules dans leur logement respectif. M'occuper de lui, voilà donc mon nouvel ordre. Cela explique ma mobilité retrouvée.

Oui Maître.

Je me redresse lentement, vérifiant que tout est en place avant de me tourner face à mon maître. Mes jambes m'obéissent de nouveau. Je n'ai pas besoin de précision sur ce que mon maître attend de moi. J'esquisse un sourire, chose rare, avant de prendre sa verge tendue entre mes lèvres. Pour parfaire mon éducation, j'ai passé quelque temps dans un lupanar. Pour le seul plaisir de mon maître d'ailleurs. Je coulisse lentement sur le membre, l'avalant avec une lenteur calculée, me concentrant uniquement sur SON plaisir. J'en éprouve aussi, cela va de soi, mais je ne m'en préoccupe guère. Uniquement si IL me le demande. Je grave la chair de la pointe de ma langue avec habilité. Les veines gorgées de sang réagissent rapidement sous mes attentions. Je délaisse provisoirement la hampe dressée pour me concentrer sur les testicules que je m'amuse à gober l'une après l'autre, puis ensemble. Comprimées dans ma bouche, elles accroissent la sensation de plaisir qu'IL ressent. Ma langue finit par remonter lentement, partant de la base du sexe pour terminer en agaçant la pointe turgescente avant de redescendre une nouvelle fois vers la base. Mes gestes sont lents, calculés pour appuyer au millimètre près sur les zones que je sais les plus réceptives aux caresses buccales. Je reviens l'engloutir sur sa totalité avant de cesser de bouger. Seule ma langue reste en action, tout comme mes mâchoires qui se contractent à intervalle régulier. Mon état physique incite pourtant à une rapidité d'action mais il ne m'appartient pas d'en décider. Les aiguilles plantées dans mes côtes me compliquent la respiration au point que je commence à être inquiète. Pas pour moi mais pour le plaisir de mon maître. Mes yeux se ferment pendant que je poursuis, facilitant le retour de ma concentration.
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Re: [E3][Flashback]Une arme au service de son maître [Mettiu

Messagepar Mettius Aurelius le 03 Octobre 2012, 19:18

Elle apprécia apparemment sa « caresse » qu i n’avait fait en fait qu’augmenter me risque d’infection, mais après tant de douleur, elle devait trouver ce geste affectueux, doux et même érogène sans doute. Il ne c’était pas attardé, et maintenant, mains toujours attachées dans le dos, elle s’était redressée sur les genoux pour venir saisir comme il l’attendait d’elle, elle avait très bien compris ce pourquoi il lui attachait les mains, il le faisait toujours. Et si certains n’en voyaient pas l’intérêt dites-vous que penchée en avant comme ça à faire des vas et viens, il fallait faire travailler le corps, ce corps meurtri, les mouvements qu’elle allait devoir donner seraient ^plus compliqués si elle ne pouvait pas s’appuyer, heureusement, sa souplesse compensait !

Il la laissait faire, mains posées sur des cuisses, la regardant se débrouiller. Comme elle pouvait, se chargeant de don gland au lieu de la hampe, se contenant du fer de lance avant d’aller s’occuper des carquois, les prenant en bouche, il appréciait beaucoup ce traitement surtouuuut oui, voilà, comme ça, quand elle saisissait les deux en même temps dans sa bouche, il les sentait légèrement compressées dans sa bouche, un vrai délice. Et elle était l’une des seules à qui il laissait faire ça…quand elle les lâcha. Bon dieu, une putain sacrément douée, là-dessus elle avait sacrément bien pris et ça, grâce aux longues nuit à lui enseigner.

Elle cessa ce traitement particulière agréable pour laisser la langue remonter le long de la hampe jusqu’à jouer un peu sur le fer de lance. Puis elle prit la verge en buche autant qu’elle pouvait avant de se stopper pour jouer seulement avec sa langue ; il sentait sa virilité dans l’humidité ambiante de sa bouche alors qu’il s’y retrouve comme scellé….on aurait dit un signal, en effet, deux choses survinrent un ce moment là, le premier fut le pied de Mettius qui partit pour frapper l’abdomen de la jeune femme, il avait frappé plus bas que prévu et en même temps sa main avait quitté sa cuise pour venir appuyer sur sa tête, propulsant le menton de la putain personnelle du prélat contre ses sacoches. L’enfoncer ainsi avait des effets indésirables sur elle, d’abord sa salivation plus importante ; de légers hauts le cœur en général. Et alors qu’il la maintenait comme ça jusqu’à sentir qu’elle s’étouffaitn il lui dit :

« Tu est une putain très douée, tu sers bien ton maitre…en fait, tu ne devrai faire que cela, me donner du plaisir ! »

Il la lâcha pour retirer les aiguilles de côtes, une à une avant de la repousser, la faisant basculer en arrière, la voix un peu plus froide :

«Et bien alors, c’est tout ? Tu n’as rien de plus rapide ? Que tu me fasses vraiment du bien au lieu de lambiner ! »

Il venait d’avoir deux idées pour la jeune femme, la première était plus une image qu’autre chose, il voyait son bras mais son poignet ainsi que la min étaint dans les entrailles de la jeune felle. L’autre idée était du feu, du feu et des bougies …
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Re: [E3][Flashback]Une arme au service de son maître [Mettiu

Messagepar Deserta Sulpicius le 03 Octobre 2012, 20:28

Il est dit que la souffrance est toujours un prélude à des plaisirs plus intenses. J'ignore si cela est une réalité mais je trouve que cela résume à la perfection la relation que j'ai avec mon maître. Je ne suis pas folle au point de croire qu'il éprouve quoi que ce soit pour moi. Bien sur que non ! Un humain ne peut ressentir une émotion d'ordre affectif envers un objet. Ce que je suis. Mais il existe un lien entre nous bien que je ne saurai le qualifier avec précision. Mais pour le moment, j'ai autre chose à faire. Je m'occupe, depuis plusieurs minutes maintenant, de la virilité de mon maître pour le remercier de sa gentillesse à mon égard. En dépit de mon état physique piteux je dois dire. Je sais ce qui fait LUI fait plaisir, tout comme je sais comment déclencher ses réactions violentes. Je pourrais faire autrement mais ce n'est pas ce qui est attendu de moi.

Tandis que je garde son membre en bouche sans bouger, ne me servant que de ma langue, je récupère un peu pour être certaine de pouvoir faire face à la suite. Jusqu'à ce que mon maître décide d'intervenir. Le coup de pied me touche juste au-dessus du pubis, irradiant l'ensemble de mon corps alors que j'étouffe brusquement. Je ne bouge plus, ralentissant immédiatement ma respiration, pour tenir le plus longtemps possible dans cette position. En temps normal, je dispose d'une bonne aptitude à l'apnée mais pour le moment, c'est loin d'être le cas. Rapidement, l'air me manque. Pourtant, je ne fais rien pour me dégager, puisant uniquement dans ma volonté pour ne pas refermer mes mâchoires sur le sexe de mon maître. Ses mots sont aussi un support indispensable à ma volonté. Je me retrouve redressée, reprenant rapidement un rythme cardiaque normal.

Les aiguilles plantées dans mes côtes sont retirées et je peux de nouveau me servir de l'intégralité de mes capacités respiratoires. Basculée en arrière, j'écoute mon maître en silence, sans broncher. Cette suite est dans la normalité des choses. Je me redresse en contractant mes abdominaux qui sont encore intacts. La douleur est de nouveau présente mais je n'ai aucune difficulté à la supporter. Je me remets aussitôt à l'ouvrage. Bien sur que je peux accélérer le mouvement. Je peux tout faire en fait. Ce qui me permet d'endormir bien des hommes d'ailleurs... avant de les tuer. Mais un ordre reste un ordre et je m'exécute. Ma bouche coulisse sur le membre, le rythme allant croissant. Sans me troubler le moins du monde, je guette la moindre réaction de mon maître pour adapter ma caresse.

Mon corps ondule, mes abdominaux me permettant d'être à l'aise dans cet exercice. Concentrée, le sexe de mon maître s'enfonce de plus en plus profondément dans ma bouche à chaque mouvement de balancier que je fais. Une idée a vu le jour dans mon esprit et c'est cela que je cherche à reproduire sans savoir si c'est physiologiquement possible. Ma respiration se modifie, ralentissant mon rythme cardiaque à son minimum. C'est le moment que je choisis pour tenter mon expérience. Le membre de mon maître se retrouve intégralement dans ma bouche, ses testicules avec. Je reste ainsi quelques instants avant de reprendre mes mouvements de va et vient le long de la hampe. Le membre gorgé de sang pulse de plus en plus dans ma cavité buccale, signe annonciateur du plaisir de mon maître. Je ne le relâche qu'au dernier moment, gardant la bouche entrouverte tandis que la semence de mon maître se répand sur mon visage. Une habitude prise il y a bien longtemps maintenant.
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Re: [E3][Flashback]Une arme au service de son maître [Mettiu

Messagepar Mettius Aurelius le 04 Octobre 2012, 18:05

Elle était loin d’être bête, et il savait parfaitement qu’elle obéirait de manière à le satisfaire le mieux possible ! En prenant un peu de vitesse dans ses mouvements, elle lui offrait déjà plus de plaisir, beaucoup plus, il resta donc à la laisser faire, savoir donner du plaisir était quelque chose qu’il lui avait appris lui-même ! Recevoir du plaisir par contre, elle avait dû se débrouiller elle-même pour cela, car il ne lui avait pas appris, oh ça non, à quoi ça servait, le simuler, oui, ça il lui avait fait comprendre que c’était essentiel dans sa mission, mais encore fallait-il qu’elle comprenne que quoiqu’il veuille d’elle, il voulait le tout ? Elle ne cherchait même pas à simuler ce plaisir, la seule marque de ravissement qu’elle avait eu était sans doute ce petit sourire très bref qu’elle avait affiché plus tôt !

Elle s’était remise à l’ouvrage, faisant preuve de talent comme il savait qu’elle en possédait, un talent des plus agréables, une habileté digne d’une putain quatre étoiles ! Concentrée sur son œuvre, elle ne le regardait pas, encore une preuve de son dressage efficace ! Inutile de croire que cela vienne d’autre chose, elle se concentrait sur son ouvrage : décharger son maitre d’un poids…

Elle alla même jusqu’à innover, ça pour sur, elle ne s’y attendait pas ! Il sentit son souffle diminuer alors qu’elle gardait une cadence identique, elle préparait quelque chose…un point de côté, au moins, quelque chose d’imprévisiblement délicieux, au mieux… il avait grandement hâte de savoir quoi…

Il le sut bien vite ! En effet d’un seul coup, elle enfourna tout ! Oui, tout absolument tout, l’intégralité de l’appareil génital, depuis le phallus jusqu’aux scrotums. Non seulement il trouva ça particulièrement agréable, mais en plus cela mêlait deux sensations précédentes divines ! Alors qu’est-ce qu’il appréciait tout cela ! Oh oui, et comme si ce n’était pas suffisant elle lui offrait un pas de plus vers la jouissance, un pas de trop, car ce fut à ce moment qu’il commença à se retenir…

Elle se remit à sa tâche précédente, ses vas et viens, qui finirent par avoir raison de lui… Et quand il sentit que cela montait trop et qu’il ne pouvait plus rien endiguer, elle se retira d’instinct, comme elle l’avait appris, pour recevoir en plein visage toute cette semence bien chaude et belle quantité, aspergeant ses lèvres, son nez, ses joues et même ses paupières, voir même un peu dans les cheveux, très légèrement.

« Tu as été bien dressée, la parfaite putain ! Très originale ton innovation, je me demande combien de temps tu peux tenir comme ça…. »

Il la regarda avant de l’écarter du pied. Il regarda son état. Elle avait perdu beaucoup de sang, elle n’allait pas tenir très longtemps. Il se leva et lui tourna autour, lui donnant une bonne claque sur le fessier avant de regagner son siège.

« Va chercher de quoi te soigner et reviens vite ici ! Tu te soigneras devant moi. »
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Re: [E3][Flashback]Une arme au service de son maître [Mettiu

Messagepar Deserta Sulpicius le 05 Octobre 2012, 11:58

Satisfaire mon maître fait partie de mes attributions de base. Je ne le fais pas à chacune de ses venues, uniquement quand il me le demande. Cela suffit à mon plaisir. Je n'en demande pas plus, je ne vois pas pourquoi je le ferai d'ailleurs. Je sens que mon maître m'observe, il tourne autour de moi. Je patiente, n'ayant plus aucune consigne immédiate. Combien de temps puis-je tenir mon « innovation », en voilà une curieuse question. Je ne réponds rien. La seule réponse que je peux faire est aussi longtemps que mon maître le souhaite. Ordre m'est donné d'aller chercher de quoi me soigner. Avec une claque sur les fesses en prime. Je dois avouer, même si je le garde pour moi, que j'aime bien quand mon maître me fait ça. Enfin bref, je me relève avec précaution.

Oui Maître.

Je regagne l'étage, gravissant les marches lentement avant d'aller fouiller dans mon baluchon. J'ai toujours une dose de potion de prête au cas où... Mon atterrissage est douloureux mais je n'ai pas eu l'autorisation de me servir de l'escalier pour rejoindre mon maître. La fiole est intacte. Je regagne ma place, avant de vérifier que je n'ai plus rien d'enfoncé dans mon corps. Je ne sais même pas quand j'ai eu les mains déliées. Il me reste une aiguille dans l'oreille que je retire rapidement. Je n'ai pas besoin de m'en expliquer, mon maître sait que je ne peux guérir que si mon corps est vierge de tout objet. Par contre, c'est la première fois qu'il assiste à ma « guérison ». Un sourire s'affiche sur mon visage d'ordinaire impassible avant que je n'avale la potion.

Il ne se passe rien durant les premiers instants. Vu mon état général, ça va être bien plus douloureux que je n'en ai l'habitude. Les premiers signes se font sentir, mon corps se met à trembler. D'abord doucement puis de façon plus visible. Je m'allonge au sol, plongeant dans un état second rapidement. Ma chair se réveille, me brûle intensément, tandis que chaque parcelle de mon corps devient sensible. Les plaies les plus légères se referment rapidement, sans trop de douleur. L'effet de la potion monte en puissance. Rapidement, je me tords dans tous les sens. Des milliers d'aiguilles refont la peau qui m'a été retirée. Vu de l'extérieur, mon précepteur m'a expliqué que l'on peut voir la chair se reformer.

Ce spectacle a quelque chose de particulier pour qui le voit la première fois. Mes plaies ne se referment pas rapidement, comme c'est le cas pour certains humains possédant un don de régénération. Dans mon cas, il est possible de suivre la moindre parcelle de peau reconstruite. C'est ce qui explique que ce soit aussi douloureux pour moi. Mon état d épuisement accentue le phénomène cette fois. Surtout que je n'ai aucun contrôle sur ce qui se passe. Cela prend parfois des heures, parfois non. Je ne peux que subir et attendre. Dans ces moments-là, je me replie sur moi-même pour éviter de devenir folle. Je ne cherche même pas à contrôler mes réactions. Deux phénomènes se diffusent en moi : celui lié à la douleur qui m'arrachent de temps à autre de faibles cris et celui du plaisir de sentir mon corps reprendre vie qui provoquent mes gémissements. Un cocktail détonnant en somme.

La dernière partie qui se refait se trouve être ma vulve. Sans doute parce que c'est la partie la plus endommagée de mon corps cette fois. Chaque particule de terre, chaque goutte de sang, se trouve expulsée pour laisser place à ma nouvelle peau. Cette zone demeure particulièrement sensible à tout changement par contre. Et ce n'est pas la douleur qui prédomine mais le plaisir. Si la reconstruction tiraille mon entrejambe, elle a un effet auquel je ne m'attendais pas. Mon maître a poussé tellement loin ma résistance que cela me fait l'effet d'une multitude de caresses. Mon corps se cambre sous cette sensation inattendue. Ma « guérison » prend fin et je me redresse rapidement avant de me remettre en position d'attente. L'avantage est que mes forces reviennent aussi à leur maximum une fois guérie. Ce qui permet de repartir pour un nouvel entraînement dans la foulée. Chose qu'ignore certainement mon maître vu que c'est une première pour lui. Tête baissée, je ne bouge plus.
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Re: [E3][Flashback]Une arme au service de son maître [Mettiu

Messagepar Mettius Aurelius le 07 Octobre 2012, 00:59

Oui maitre. Pas besoin d’en dire plus sans doute. Elle résumait ainsi tout le fonctionnement de ce duo, il donnait un ordre, elle obéissait. Bon, inutile de s’étendre là-dessus, inutile de répéter ce qui a été dit précédemment, je ne suis pas un perroquet et je n’aime pas trop me rabâcher quand je préfère l’éviter. Revenons donc aux actions elle-même. Suivant l’ordre donner par son maître, elle s’en fut. Mais d’un coup, elle ne sembla pas être en mesure de passer outre les escaliers. Elle n’avait jamais eu l’interdiction de les employer. Elle était parfois trop scrupuleuse, preuve en était qu’elle n’avait jusque là par pris… cela montrait bien son état physique et d’esprit !

Quand elle revint, ce fut avec une petite fiole. Ainsi, voilà donc cette fameuse popote miracle dont seuls les adeptes de Jupiter avaient la recette, des adeptes comme et lui…. Il la regarda boire cette mixture entièrement, un flacon d’une dose et attendit…

Rien…

…il ne se passait absolument rien, c’était le calme plat, et enfin, elle commença à trembler alors qu’elle s’allongeait sur le dos, au sol. Il avait une vue directe sur ses grandes lèvres blessées, amputées d’une partie même, avec la chair de part et d’autre, sanguinolente. Magnifique. Et si elle tremblait jusque là, cela vira du tout au tout ! En effet apparemment la douleur fut omniprésente, elle commença par une accélération et un accroissement des tremblements jusqu’à devenir de très légers spasmes.

La suite du spectacle fut assez particulière, il n’avait jamais vu ça ! La chair et les plaies se reformaient lentement, les chairs, la peau, tout cela à une vitesse plus que modérée. Parfois, il surprenait un cri, ah ! La douleur, quelle magnifique musique à écouter quand une voix féminine la crie, c’est comme ces gémissements…du plaisir ? Non mais ho ! Alors là elle aimait, elle le montrait mais quand il agissait, elle ne montrait que douleur ! Fallait peut être une deuxième correction….

Il sourit et la regarda se tordre de douleur sur le sol, souriant jusqu’à ce qu’elle se calme. Mais pour mieux repartir vers le plaisir…oui, le pur plaisir alors qu’il voyait son intimité se reconstituer de sa peau à son clitoris qui repoussait, elle gémissait et ça, rien qu’à l’oreille il comprit que c’était du plaisir, et vous savez quoi ? Cela faisait remonter sa virilité vers les sommets ! Et sans perdre de temps, elle se replace devant lui, à genou, le front contre le sol.

« Dis donc, c’est moi, où tu prenais plus de plaisir toute seule qu’avec moi ? Ce n’est pas très respectueux… »

Frustré par ce consta, il prit la chaîne et la rossa à nouveau. Des bleus qui prendraient tout leur temps pour disparaitre. Il frappa le dos, les épaules, les reins, les fesses…il frappa jusqu’à ce que le corps soit suffisamment bleui par endroit, pas partout, mais assez régulièrement à son gout.

« Mets-toi sur le dos ! »

Il se désintéressa d’elle pour prendre ce qu’il y avait avec le tas en plein milieu de la pièce. Outre les mannequins il y avait quelques caisses remplies de denrées non périssables et deux caisses pleines de bougies. Il en prit quelques unes. Juste deux ou trois, et revint vers la jeune femme, et alluma la première bougie à la seule source de lumière ambiante. Il l’approcha de la jeune femme et lui ordonna de tenir la bougie comme elle pouvait, la glissant entre ses lèvres. Elle avait des dents, non ? Il alluma la deuxième bougie avec l’aide de la première avant d’étendre la flamme en écrasant la mèche sur le front de la jeune femme.

Puis il la ralluma et la laissa bruler, à l’horizontale, au dessus du ventre de la demoiselle, attendant que la cire goutte sur le nombril pour recommencer ailleurs : chacun de ses boutons de chair ornant son buste, et son pubis
Dernière édition par Mettius Aurelius le 08 Octobre 2012, 17:57, édité 1 fois.
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Re: [E3][Flashback]Une arme au service de son maître [Mettiu

Messagepar Deserta Sulpicius le 07 Octobre 2012, 15:57

Reconstruite une fois encore, je patiente en attendant les ordres. Je ne comprends pas la réaction de mon maître. Je n'ai désobéi à aucun ordre. Je garde le silence, même quand la chaîne s'abat sur moi avec force. J'ai beau chercher, je ne trouve pas l'erreur que j'ai commise. Non que je veuille contester cette nouvelle punition mais la connaître me permettrait de ne pas la refaire. Quant à mon « plaisir », il m'a été enseigné que seul celui du maître avait de l'importance. Le mien est, et a toujours été, secondaire. Reste que mon maître a parlé d'un manque de respect à son encontre... Toujours en position, je prends conscience qu'il me sera difficile de sortir sans attirer l'attention durant plusieurs jours.

L'ordre est à peine donné que je m'allonge comme indiqué. J'ignore ce qu'il cherche. Je me contente d'obéir. Je le vois revenir. Une bougie glisse dans ma bouche. Je la maintiens en enfonçant mes dents dans la cire. Une autre se retrouve éteinte sur mon front sans que je ne réagisse. Je cherche la finalité de cet exercice, sans pour autant la trouver. Mon maître me l'indiquera en temps voulu de toute façon. Après tout, seul l'ordre a une importance. Les paroles de mon maître m’intriguent néanmoins. Il aurait voulu voir mon plaisir... Aurais-je mal compris ses ordres premiers ?

Je n'ai pas vraiment le temps de m’appesantir sur mes réflexions. Une bougie allumée se trouve au-dessus de moi. La cire finit par tomber sur ma peau, chaude, bien que cela ne soit pas vraiment douloureux. Mon nombril d'abord qui se remplit rapidement. Je ne bouge pas. Je dois dire que cette chaleur n'a rien de désagréable en plus. Les gouttes de cire changent de cible pour venir recouvrir la pointe de mes seins, dont la peau à peine refaite est particulièrement sensible. Mon corps s'agite légèrement, le temps qu'il me faut pour contracter mes muscles en fait.

Mon regard se pose sur mes seins que je trouve plutôt mis en valeur ainsi ornés. La cire continue son parcours sur ma peau, sans répit, descendant vers mon entrejambe. Une chose à laquelle je ne m'attendais pas se produit. Mon corps semble réagir en dépit de mes efforts à le maintenir immobile. L'envie de demander à mon maître ce qui m'arrive me travaille mais pour le faire, il me faut retirer la bougie que j'ai en bouche. Chose impossible pour moi. Je ferme les yeux pour me ressaisir alors que les premières gouttes de cire tombent sur ma bouche. Machinalement, je secoue la tête, ce qui a pour effet de faire tomber plus de cire sur les lèvres, qui se soudent autour de la bougie que éviter d'avaler de la cire.

« Tu n'as plus rien à apprendre. » Les paroles de mon précepteur sonnent brusquement faux. Il avait tord. Je ne parviens pas à analyser les réactions de mon corps. Mon bassin se met à onduler lentement quand la cire recouvre mon pubis, m'arrachant un gémissement qui ne doit rien à la douleur. Bien au contraire. J'aime ce que me fait mon maître. La chaleur se propage dans l'ensemble de mon corps et elle n'est pas uniquement due à la bougie. Mes mains se referment sur la terre battue de la cave, mes doigts pénétrant le sol sans que je ne m'en rende réellement compte.

Je dois à tout prix reprendre le contrôle de mon corps sinon mon maître sera déçu une nouvelle fois. Il semblait fâché pour une histoire de plaisir que j'ai pris sans lui. Sauf que mon seul plaisir consiste à le servir avec fidélité et dévotion. J'ai beau avoir fréquenté un lupanar, le plaisir sexuel est une chose qui m'est inconnue. Je sais simuler, parfaitement bien d'ailleurs, mais cela se résume à un simple apprentissage d'émotions apparentes et de répliques « bateau ». Rien de plus. Mon corps réagit de façon similaire à ce qu'il a fait durant la reconstruction. Est-ce à cela que mon maître faisait allusion ? Mon regard se pose un peu partout dans la pièce, cherchant de quoi recentrer mes pensées, sans pour autant se poser sur LUI. Je gémis de nouveau, mortifiée de découvrir que je ne connais mon corps aussi bien que je le pensais.
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Re: [E3][Flashback]Une arme au service de son maître [Mettiu

Messagepar Mettius Aurelius le 08 Octobre 2012, 18:16

La cire ne doit pas être assez chaude…oui, ce devait être cela… mais c’était dommage, très dommage en fait même, car cela gâchait son propre plaisir ! Même quand il avait éteint la bougie en lui écrasant la mèche sur le front, elle n’avait pas sourcillé ! Mais il l’avait rendue trop endurante ou quoi ? Il soupira avant de regardersur le sol, il n’avait rien perdu de l’agitation de son corps. Elle était en proie à des sensations qu_’erlle tentait de dissimuler…. Non, ça elle n’avait pas eu l’autorisation !

Il posa son pied dans la vallée, sur le sternum, entre ses deux monts de chairs ornée d’un sommet de cire et lui dit, alors qu’il faisait peser le plus possible son poids.

« Je croyais t’avoir donné un ordre : ne rien me cacher dece que tu ressentais ! Et puisque tu as une langue, vas y, explique moi ce que tu ressens… Après avoir pleuré je ne pensais pas que si peu te choquerait que de me dire ce que tu ressentais ou de me le montrer ! »

Il appuya davantage jusqu’à être sûr qu’elle n’avait plus d’air dans les poumons, , puis il retira son pied de là où il l’était, non sans - volontairement bien sur - lui écraser un globe de chair au passage. Puis il reprit don petit jeu avec la bougie, laissant glisser la cire chaude sur le corps de la jeune femme. Il voulait qu’elle lui dise en quoi elle avait fauté, qu’elle lui redise les sensations de sa faute ! Qu’elle demande pardon aussi pour celle-ci.

Puis il eut une idée, il posa la bougie sur son abdomen t partit pour revenir avec une caisse pleine de bougies de basse qualités, juste choisies pour éclairer un peu. Il regarda la jeune femme et lui écarta davantage les cuisses pour y glisser une bougie qu’il enfonça aussi lui que possible alors qu’il lui titillait à l’aide du pouce et du majeur l’appendice ayant récemment repoussé jount parfois doucement avec parfois en le pinçant, en tirant dessus, le malmenant aussi régulièrement.

Il prit une deuxième bougie et commença à lui faire suivre le même chemin. Combien pourrait-il en rentrer entre cuisses avant qu’il sente qu’il n’y avait plus de places. La troisième par contre, il joua avec avant de l’enfiler, en effet il l’alluma sur cette qui était allongée sur l’abdomen, et il commença à faire passer la flamme sur on clitoris et le long des lèvres intimes, ^prenant garde à ce que la flamme disparaisse le plus tard possible quand il l’enfonça.

Le gros avantage des bougies, c’est leur côté gras, permettant donc de plus facilement les insérer en elle. Il continuerait jusqu’à ce qu’il soit obligé de forcer, et plus loin encore… ensuite, il voudrait voir comment elle arrive à marcher…
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