[E3][Flashback]Une arme au service de son maître [Mettius]

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Re: [E3][Flashback]Une arme au service de son maître [Mettiu

Messagepar Deserta Sulpicius le 30 Septembre 2012, 13:58

Déçu... C'est pour l'heure la seule chose inscrite au fer rouge dans mon esprit. Comment ai-je pu oser commettre deux erreurs en si peu de temps. Mon maître ne s'énerve pas, il ne le fait jamais mais le timbre de sa voix suffit à me conforter dans l'inutilité de ma vie à cet instant précis. Ma tête bouge en recevant le coup mais je la remets rapidement en place. Je ne bouge pas en sentant mon maître s'installer même si sa position tire sur mon épaule. Seule une crispation de ma mâchoire indique la gêne existante. Ma honte l'emporte sur la douleur, même quand je sens la lame me couper l'intérieur de l'anus sous l'impulsion de mon maître. J'écoute en silence. Je dois absolument me racheter à SES yeux. Il ne peut en être autrement. Mon corps se tend tandis que la lame grave une phrase sur ma peau. Et je sais laquelle. Je dois aller chercher le reste de mon paquetage. La lame retrouve sa place brutalement et je dois me contrôler pour rester impassible. Je me relève, m'incline devant mon maître puis gagne le jardin. Passer le mur reste possible pour le moment.

Cinq cents mètres. Je sais exactement où se trouve mon baluchon. Enterré pour ne pas être repéré. Une fois en ma possession, je l'ouvre pour m'assurer que tout est présent : aiguilles à coudre pour le cuir et le tissu, des moyens d'entraves (menottes en métal et chaînes) pour les prisonniers, mes herbes pour faire la potion et deux tenues particulières pour des missions d'infiltration. Ajoutez à cela mon armure et le tout est complet. Je sors rapidement deux aiguilles pour le cuir. Avant de rentrer... Cet ordre n'est pas clair pour moi. Deux solutions s'offrent à moi. J'opte pour la plus difficile. D'un geste vif, je les plante au niveau de mes genoux, les traversant de part en part. Aucun risque de séquelles permanentes mais le retour va être difficile. Je me remets péniblement debout. La distance à parcourir est courte mais chargée et les genoux privés de leur mobilité, je progresse lentement. Mon corps ne tarde pas à protester alors que mon esprit ne flanche pas. Je parviens au pied du mur, en sueur, sans avoir été aperçue.

Mon baluchon suit le même chemin que mes armes un peu plus tôt. Ne reste plus que moi dans cette ruelle. Je n'ai pas l'interdiction de passer par la porte, mais je n'en ai pas la permission non plus. Et selon mes entraînements, la solution de facilité n'est jamais à prendre en considération. Seulement voilà, je ne dispose plus vraiment de ma souplesse pour prendre un élan suffisant. Qu'importe. Mon maître m'a donné un ordre, c'est la seule chose qui compte. Mon élan est trop court mais je parviens tout de même à poser mes mains sur le haut du mur. Me hisser est impossible vu la lame plantée dans mon épaule. Je lâche, serrant les dents à la réception. Respirant profondément, j'enfonce la lame au maximum avant de reprendre mon élan. Je finis par réussir à m'installer à califourchon sur le haut du mur. Mon corps commence à se rappeler à moi mais hors de question que je déçoive encore mon maître. L'atterrissage est catastrophique. Je reste au sol quelques instants avant de me relever péniblement. Je replace correctement les aiguilles de mes genoux avant de ramasser mon baluchon.

Je suis revenue, Maître.

Je me dirige vers la cave. Je dois encore recevoir ma punition. Mon regard se pose sur les marches mais je détourne mes yeux. Je me laisse tomber dans l'ouverture, me forçant à ne pas m'écrouler au sol à la réception. La douleur s'étend brutalement de mes genoux à mon cou. Je grimace légèrement avant de déposer le sac devant mon maître, reprenant ma position d'attente. Avec difficulté, je me remets à genoux, sans toucher à la lame fichée dans mon épaule. Enfoncée comme elle est maintenant, je sais que la retirer ne peut se faire qu'en la ressortant par l'arrière. J'entends mon maître bouger mais je ne cherche pas à savoir ce qu'il est en train de faire. Si j'osais, je lui demanderai de me punir durement pour mes erreurs. Sa punition sera juste et méritée. Comme toujours d'ailleurs. Tout ce qui m'est imposé par LUI est juste et se doit d'être. Je n'envisage pas ma vie autrement qu'à son service.
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Re: [E3][Flashback]Une arme au service de son maître [Mettiu

Messagepar Mettius Aurelius le 30 Septembre 2012, 15:58

Il la regarda se lever sans broncher et se diriger vers la sortie. Il contenta d'attendre. Il ne faisait pas chaud dans ce sous-sol, mais pas de quoi frissonner, il faisait juste un peu frais, c'est tout ! Mais on s'y accomodait bien vite ! C'était plus l'attente qui était longuette. Apparemment ses affaires n'étaient pas toutes là, mais pourquoi n'avait-elle pas tout amené directement , Quel manque d'esprit pratique. ! C'était exaspérant, elle n'était pas en forme aujourd'hui ! Avait-elle été tant pertrbée par l'assassinat de son précepteur ? Par l'incendie de sa demeure ? Etait-elle si peu fiable ? Il commençait à se demander si elle pouvait être réellement utile à autre chose qu'à assouvir ses bas instincts les plus vils et les plus violents...

Et pourquoi mettait-elle autant de temps ? Elle aurait djà du revenir...;il n'était pas à sa disposition, à ce qu'il savait ! Donc elle aurait du se dépêcher ! Elle aurait déjà dû être là ! Mais qu'est-ce qu'elle fichait ? Il commençait un peu à s'agacer à l'attendre ainsi ! Oui, elle commençait à lui taper un peu sur le système à prendre son temps. Enfin, il entendit la porte s'ouvrir et vit son corps fin tomber par la trappe, manquant de s'écrouler à l'atterrissage, sa grimace ne lui échappa pas ! Enfin la douleur la rattrapait ! Ça, ça lui faisait plus que plaisir alors qu'elle reprenait la position de base, au sol, front dans la terre.

Il s'approcha de son corps en vidant le baluchon au sol.

« Pourquoi ne l'avais-tu pas avec toi ? »

Il prit les liens pour lui attacher les poignets dans son dos, au point de presque lui couper la circulation, presque seulement, il avait l'habitude ! Il fixa les liens à une des chaînes de la jeune femme et observa le plafond, une poulie, parfait ! Il avait eu raison d'en placer une pour des exercice de tir mobile. Mais avant de faire passer la chaine là dedans, il fit comme une bouclle sans l'attacher et frappa les bras et le dos de la jeune femme avec.

« Non, ne répond pas, tu as encore fait une erreur ! Aucune justification n'est valable ! »

Il lança la chaîne qui heurta la poulie sans y passer, une fois, deux fois, et même trois fois. Et c'est au bout d'une petite dizaine d'essais Il prit l'autre maillon et tira dessus pour soulever, non sans une grande difficulté, la jeune femme. Il avait beau être un homme relativement robuste, il n'était en rien entrainé pour cela. Il la souleva de sorte à ce qu'il puisse faire passer largement le cheval en bois entre ses cuisses sans toucher son intimité. Il ficha la chaine avec un clou dans le sol et s'approcha d'elle.

Le fait qu'elle ait eu les bras dans le dos allait forcer sur les épaules au point de faire céder les articulations lentement, douloureusement.

« Tu vas devoir faire beaucoup mieux à l'avenir si tu ne veux pas me devenir inutile ! Tu ne m'as jamais déçu comme aujourd'hui.... »

Il prit les aiguilles à coudre, toutes les aiguilles.

« Écartes les cuisses autant que tu le peux ! »

Il avait l'intention de lui planter les aiguilles dans la jonction entre cuisses et intimités.

« Mais ce que je préfèrerai encore plus, c'est que tu me dises, que tu me supplies de t'enfoncer les aiguilles, et je veux que tu me dises où te les enfoncer, je veux que tu me supplies de te faire le plus mal possible.... »

Et le pire là dedans ? On sentait dans sa voix de la jubilation ! Il adorai tout cela !
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Re: [E3][Flashback]Une arme au service de son maître [Mettiu

Messagepar Deserta Sulpicius le 30 Septembre 2012, 16:53

Obéir sans jamais faiblir. Voilà ce qui m'a toujours été enseigné. Au sol, les paroles de mon maître me crucifient sur place. Je suis stupide ! Je vais devoir apprendre à évoluer sans ordre, chose que je ne sais pas faire. Toute ma vie, le moindre de mes gestes a été ordonné, dirigé, par mon précepteur. Il faut que j’apprenne à agir seule et correctement. Mes bras se retrouvent attachés sans que je ne fasse le moindre geste pour soulager mon épaule. La pose de la chaîne m'avise sur la suite : une suspension. Mon maître est vraiment en colère après moi. Cette constatation me dévaste. La chaîne s'abat sur moi à plusieurs reprises, m'arrachant un faible gémissement.

Je me retrouve hissée, la tension se faisant plus présente sur mes épaules, en particulier celle où se trouve la lame. Je ne peux les soulager pour le moment. J'observe en silence le « cheval » glisser entre mes jambes. Je n'en connais pas l'utilité encore. Mon maître m'invective. Il a raison, je ne suis pas digne de l'intérêt qu'il me porte. Je lui en suis reconnaissante encore plus. IL fouille de nouveau dans mon baluchon. Pour en sortir les aiguilles. Le soulagement s'empare de moi. Le temps de la punition est venue et je m'en réjouis par avance.

Une petite explication s'impose. La douceur est une notion que je ne connais pas. Elle ne peut donc me manquer et je ne peux l'envisager. Depuis ma plus tendre enfance, la douleur a toujours fait partie de ma vie, de moindre entraînement auquel je me suis soumise. C'est ce qui a développé ma résistance au-delà de ce qu'elle est chez la majorité des humains. En cela, bien des androïdes pourraient prendre des cours avec moi. Selon mon maître, qui a toujours raison, un assassin ne peut être efficace si la douleur l'anéantit. Enfant, je me souviens de mes pleurs quand mon corps m'abandonnait. Pas parce que j'avais mal mais uniquement parce qu'afficher ma faiblesse devant mon maître m'était insupportable. C'est toujours le cas aujourd'hui. Mais reprenons.

Sur ordre, je contracte l'ensemble des muscles de mon corps pour relever mes jambes quasiment à l'horizontal en dépit de la tension qui augmente sur mes épaules. Mes articulations tiennent le coup pour le moment bien que je les sente bouger dans leur logement. Je bénis les aiguilles enfoncées dans mes genoux, elles me facilitent grandement la vie en bloquant mes genoux. Je m’astreins à ne pas relever la tête, fixant un point sur le sol pour augmenter ma concentration. La question de mon maître ne me surprend pas, j'en ai l'habitude. Elle seule suffit à me faire savoir que j'ai encore un intérêt aux yeux de mon maître. À condition que je m'applique.

A la base de mon sexe, à la jonction avec mes cuisses. Pitié Maître, punissez-moi. Apprenez-moi à devenir meilleure, à ne plus vous décevoir... Je vous en supplie, je vous en conjure. Enfoncez ces aiguilles s'il vous plaît.

Ma voix est calme et posée. Elle ne tremble pas. Je sais ce que je suis en train de demander. La torture est un art dans lequel mon maître excelle. Mon corps frémit par avance de la suite du programme. C'est dans la douleur que je puise ma dévotion à mon maître, qu'elle grandit un peu plus chaque fois. Une dépendance dont je n'ai pas idée et qui pourtant me mène chaque fois un peu plus vers un état animal. Vers la perte progressive de ce qui fait de moi un être humain. C'est certainement la raison qui pousse mon maître à faire ressortir mes émotions régulièrement, juste pour s'assurer que je ne lui suis pas devenue inutile. Le jour où cela arrivera, je lui offrirai ma vie sans hésiter.
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Re: [E3][Flashback]Une arme au service de son maître [Mettiu

Messagepar Mettius Aurelius le 01 Octobre 2012, 11:17

Enfin elle manifestait sa douleur au travers d'un gémissement. Enfin es choses sérieses commençaient. En effet, le plus dur était de lui faire cracher son premier gémisement, pour la suite, c'était plus facile. Elle avait tellement tendance à prendre la douleur sur elle et la relativiser qu'elle ne la montrait que rarement. Mais lui, il savait la vérité, il savait qu'elle n'éprouvait pas aucune douleur et il savait comment la montrer. Pir, il aimait la pousser au bout de ses limites de tolérance en terme de douleur. A chaque fois il fallait aller plus loin, mais en fin de compte, il finissait toujours par faire céder ses résistances, il s'en faisait un devoir, mais surtout un plaisir !

Apparemment les bras mettaient plus de temps à se disloquer... bon et bien elle en aurait pour plus longtemps, certes, mais cela ferait durer le plaisir. L'autre avantage de la posture en l'air comme elle l'était, c'était la difficulté de maintenir longtemps ses cuisses écartées de la sorte, mais quand elle les fermerait, elle ne ferait que remuer les aiguilles dans ses chairs....

Elle s'exécuta en paroles comme il l'avait demandé (ou comme il l'avait ordonné, cela revenait au même avec Deserta après tout), lui demandant de les lui planter dans la douce chair séparant les cuisses de l'intimité, le fait qu'elle ait comme lu dans ses pensées l'agaça, aucun moyen de la surprendre. Et il n'avait pas de bandeau pour lui cacher les yeux... Tant pis.

« Regarde le plafond, et ne garde rien pour toi, ne réfreine ni cri, ni gémisement, ni larmes si tu sens qu'elles montent ! »

Il sourit et prit entre ses doigts une aiguille à coudre le tissu pour l'approcher de l'entrecuisse de la jueune femme, la faisant juste racler contre l'épiderme de l'arme humaine avant de le laisser glisser vers la vulve, vers le poignard qui y était inséré. Il l'ôta de l'autre main, un retrait sec et rapide, avant d'y glisser l'aiguille, l'enfonçant dans l'une des coupures créées par l'arme. Juste parce qu'elle les voulait à un endroit, il ne l'y mettrait pas....par principe !

Il approcha une nouvelle aiguille, à cuir cette fois, de cet endroit, mais ne l'y enfonça pas, il préféra percer superficiellement, juste pour irriter avant de la ressortir et la laisser se promener sur le ventre de la jeune femme avant de finaement l'enfoncer...dans le pubis.

Il prit une dernière aiguille à cuir pour le moment et sans la moindre hésitation, finit par la planter à doitre des grandes lèvres de la jeune femme, pas exactement là où elle l'avait demandé, puisque c'était encore sur l'intimité, mais pas à 'intérieur, juste à droite de l'ouverture. Quand à la lame. Il alregarda un moment, un filet de sang coulait le long de celle ci, sang del'intérieur de la jeune, et il l'enfonça dans la cuisse, en plein milieu.

« Et ce n'est que le début, petite chosei nutile ! »
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Re: [E3][Flashback]Une arme au service de son maître [Mettiu

Messagepar Deserta Sulpicius le 01 Octobre 2012, 12:43

Suspendue par les poignets, prête à recevoir ma punition, mon regard reste calme et serein en dépit de ce qui va se produire. Il m'est déjà arrivé de décevoir mon maître mais jamais à ce point-là. Vue de l'extérieur, je ressemble à un automate réagissant à un ordre donné. Mais je sais, par expérience, que la position imposée ne peut être tenue indéfiniment. Mon maître m'ordonne de regarder le plafond, ce que je fais dans la seconde. Mais plus que tout, il veut que je m'offre à lui dans ce que je hais le plus chez moi, mes larmes. Je me garde bien de faire une quelconque réflexion à ce sujet. Trop contente qu'IL prenne le temps de me remettre à ma place avant que je ne sois devenue complètement inutile à ses yeux.

Je sens ma lame quitter son emplacement, non sans me couper un peu plus que je ne le suis déjà. La suite me fait à peine réagir. Une aiguille vient d'être plantée à l'intérieur, dans l'une des plaies existantes. De la routine me concernant et mon maître le sait bien. J'ai demandé, il dispose. C'est ainsi. La seconde aiguille se promène sur ma peau, la griffant sans réellement être douloureuse mais mes épaules se rappellent à moi. Tant que je gardais la tête baissée, je pouvais soulager une partie de la douleur. La tête relevée, il m'est impossible de le faire et je les sens se disloquer lentement mais sûrement.

La seconde aiguille finit par s'infiltrer dans ma peau. Ma position ne me permet de rester stable et je ne peux empêcher les ondulations de mon bassin. Ce qui fait que la tige d'acier s'enfonce difficilement, me faisant me crisper pour maintenir coûte que coûte la position ordonnée .Mon épaule droite cède brusquement, la lame enfoncée à l'intérieur me provoquant dans décharges de douleur par intermittence. Ma mâchoire se crispe, seul indication visible de ce qui vient de se passer. Je ne peux me permettre de me montrer faible devant mon maître. Je mets un point d'honneur à pouvoir résister toujours plus à chaque fois qu'il daigne s'occuper de moi ainsi. J'ai souvent eu envie de lire la fierté que mon maître ressent à me posséder mais l'interdiction faite de le regarder m'en prive.

Une autre aiguille est plantée, plus gênante que douloureuse mais je commence à peiner pour maintenir mes jambes ouvertes. Les refermer est synonyme de douleur supplémentaire. Je fixe le plafond pour retrouver ma concentration afin de ne pas décevoir une nouvelle fois. Ma cuisse se retrouve transpercée brusquement et je ne peux retenir un cri, sursautant légèrement. Mon mouvement a pour résultat de faire céder ma seconde épaule. Un second cri ne tarde pas à se faire entendre, pour mon plus grand désarroi. Surtout que je sens mes cuisses faiblir. Les dents serrées, je retrouve mon calme une nouvelle fois, difficilement cela dit.

Je vous remercie, Maître, de me faire prendre conscience de mes erreurs et de mon inutilité ainsi.

Remercier, accepter, endurer. Des notions ancrées en moi depuis des années et auxquelles je ne déroge jamais quelle que soit la situation. Mon maître le sait. Quand parler devient impossible, c'est le signe que mon seuil de tolérance est atteint sans pour autant que le jeu doive cesser. Non, le jeu ne cesse que lorsqu'IL le décide, quand IL estime que mes erreurs ont été sanctionnées convenablement. Jamais avant mais jamais après non plus. Ma tête dodeline doucement pendant que la douleur se diffuse dans l'ensemble de mon corps tel de la vermine. Le plafond ! Le regarder sans faiblir et prouver à mon maître que ma dévotion ne connaît aucune limite. Voilà l'enjeu de cette punition et je le sais mieux que quiconque.
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Re: [E3][Flashback]Une arme au service de son maître [Mettiu

Messagepar Mettius Aurelius le 01 Octobre 2012, 14:51

D'abord des mâchoires qui se cripênt, puis le bruit d'une épaule dont l'articulation lâche, un vrai bonheur ! Il sourit en entendant cela, c'était le signe d'un délicieux prémice qui s'éternisait douloureusement pour elle. Un vrai bonheur en somme. En cet instant, Mettoius ne pensait pas un seul instant à un quelconque entraînement pour elle. Il n'avait qu'une seule envie : se faire plaisir en lui faisant le plus mal possible. Très limitée comme idée, mais il y a des moments où les impulsions les plus brutales et le s plus primaires prennent le dessus. Et là, il voulait juste la faire souffrir, il vouslait voir ses larmes, peu importe jusqu'où il irait pour cela, il allait vraiment la réduire en miette, la réduire davantage en miette devrait-on dire, au point qu'elle ravale tout ce qui lui restait pour cela !

Il souriait alors qu'elle se mettait à crier, à deux reprises, qu'elle cède ! Qu'elle cède ! Il suffisait qu'elle cède et il lui montrerait bien à quelle point elle était inutile, qu'elle résiste tant qu'elle pouvait, le reste serait avisé après ! Mais le fait qu'elle doive tout montrer rappelait bien une chose : il voulait voir la souffrance ! Oui, c'était cela qui lui bottait le plus en réalité, il voulait la voir souffrir à tout prix et le plus possible, c'était encore pire que pour Lia ou Mira qu'il se plaisait à martyriser périodiquement....surtout Lia, mais ce n'était pas le sujet !

Apparemment maintenant ses deux épaules avaient rendu l'âme et elle pendait comme une loque, cpontenuant de tenter à regarder le plafond, continuant de maintenir les cuisses tremblantes bien écartées, oui, elle tremblait, il devait l'avoir assez blessée pour qu'elle faiblisse ! Chouette elle allait y arriver. ! Elle allait se retrouver dans l'état qu'il espérait, il voulait faire voler en éclat la barrière qu'elle avait placé au niveau du seuil de tolérance !

Il fit le tour de la chose pour aller retirer l'arme fichée dans son anus et la lui brandir sous la gorge.. Il la plaqua contre sa peau et laissa vadrouiller le tranchant de la lame le long d'un axe de symétrie de la naissance de la gorge jusqu'à l'épingle qu'il avait fiché en elle, au niveau du pubis. De la pointe de la lame, il commença à creuser autour pour la dégager assez pour la retirer et la remettre juste un peu plus haut.

Il approcha les doigts de son intimité et y glissa un doigt, calant ledit doigt contre la paroi gauxhe qui n'avait rien subi encore, son visage s'approcha de ce côté là des lèvres intimes alors qu'il prenait la lame anale comme un stylet. Doucement, comme certains rasent cette partie là chez leur partenaire, lui, il commença à découper le pourtour de lapeau couvrant la zone, lentemente t avec application, quand il aurait fini de ce côté il ferait de même de l'autre côté ! Mais d'abord, finir ici. Une fois qu'il eut entamé le derme jusqu'à la chair, il fallait arracher cette partie de peau. Il refit glisser la lame le long d'une entaille, inclinée de sorte à pénétrer sur le côté de la paie et commencer à séparer la peau du corps et entailla très mentement ainsi jusqu'à pouvoir la tenir avec les doigts, auquel cas, il tira dessus dun coup sec.

Il réitéra son acte de l'autre côté, laissant donc toute son intimité complètement à nue, écorchée vive.

« Tu as le choix maintenant, soit je continue jusqu'aux genoux, soit je continues jusqu'au plexus. Coisis vite ou je fais les deux ! »
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Re: [E3][Flashback]Une arme au service de son maître [Mettiu

Messagepar Deserta Sulpicius le 01 Octobre 2012, 18:24

L'endurance se travaille tous les jours. La résistance aussi même si cela fait déjà un certain temps que mon maître ne s'est pas comporté ainsi. Certains pensent que la torture ne devrait pas exister, moi j'affirme le contraire. Et je suis certainement mieux placée pour donner mon avis. Pour l'heure, ma position devient de plus en plus difficile à tenir mais je refuse d'abdiquer encore. Je veux rendre mon maître fier de moi. Ma force mentale est plus forte que mon apparence ne le laisse penser. C'est pour cela que personne ne se méfie de moi. Une erreur que beaucoup ont commis. Mon second poignard quitte son logement et je sens la lame se poser sur ma gorge. Aucun mouvement de ma part pour chercher à me soustraire de la menace.

Mon corps réagit au passage de l'acier, frissonnant et se contractant sans cesse. Il va devenir de plus en plus difficile de garder mon contrôle. Mes épaules me lancent maintenant en permanence et pourtant, je ne déserre pas les mâchoires. Je dois me montrer forte et uniquement cela. L'odeur du sang remplit la cave mais je sais qu'aucune de mes blessures n'est mortelle. Mon maître sait ce qu'il fait et comment le faire. Sans la voir, je suis le parcours de la lame sur mon corps. Je ne bronche pas quand elle s'incruste dans ma peau pour déloger l'aiguille qui y est plantée. Tout juste un sursaut quand elle s'enfonce de nouveau.

Un doigt s'invite en moi, sans violence. Le contraste me fait réagir. J'aime que mon maître me touche ainsi même si je sais que la suite sera redoutable. Et j'ai raison. Ma chair est tranchée, lentement, avec précision. De façon méthodique, je perçois que mon maître dessine quelque chose, soulevant méthodiquement ma peau. Je ne sais pas de quoi il s'agit. Je n'ai pas besoin de le savoir. Mon corps se cambre brutalement, échappant à mon contrôle, augmentant ma douleur de façon significative. Je comprends ce que mon maître vient de me faire. Un lambeau de chair vient d'être retiré. Pour retrouver un peu de sérénité, je bouge légèrement, tout en gémissant doucement. Dieu que je déteste me sentir faible ! Et mon état ne s'arrange pas quand IL retire un second morceau de peau de la même façon.

Mon esprit bascule doucement vers un état que je refuse, pour le moment, d'envisager. J'ai beau savoir que c'est ce que veut mon maître, je ne peux m'y résoudre encore. Ma respiration s'est accélérée de façon significative et je sais qu'il m'est impossible d'en reprendre le contrôle désormais. Choisir... Voilà ce que me demande mon maître maintenant. Je ferme les yeux, consciente qu'il ne peut y avoir de choix. Je réponds, sans aucune provocation, la seule solution qui me vient à l'esprit.

La chose inutile que je suis ne peut décider de ce qui est bon pour elle ou pas. Seul vous en avez le pouvoir Maître.

Inconscience me direz-vous. Il n'est nullement question de cela. Mais je dois offrir une chose à mon maître et je le ferai, quoi qu'il puisse m'en coûter. Ma douleur lui est acquise, c'est un fait. Mais je n'ai pas atteint mon point de rupture encore. Je ne veux décevoir une nouvelle fois mon maître. IL veut mes larmes, il les aura. Le prix à payer va être élevé, je m'en moque royalement. Mon corps lâchera avant mon esprit. C'est d'ailleurs déjà le cas en grande partie. Le sang coule et m'affaiblit. Mes jambes redescendent sans que je ne puisse l'empêcher et je gémis d'impuissance devant ce fait. J'enrage de ne pas être plus forte. Et mon maître le sait, mon impuissance me conduira inévitablement à ce qu'il veut.
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Re: [E3][Flashback]Une arme au service de son maître [Mettiu

Messagepar Mettius Aurelius le 02 Octobre 2012, 07:00

Elle perdait du terrain, il le sentait calirement, bientôt elle en pleurerait de douleur, mais pour le moment, voir sa machoire crispée, son corps commencer à échapper à son contrôle, voilà qui le ravissait plus qu'autre chose. Il savait qu'elle ne lâchrait pas le morceau et elle savait qu'il continuerait jusqu'à ce qu'elle cède. Au fond, ce n'était qu'une lutte de volonté à qui cèderait le premier ! Lui ou elle ? Mettius était sur qu'il gagnerait là desssus, il ne pouvait pas perdre, il ne pouvait pas la laisser lui résister indéfiniment ! Non, il la lacèrerait, laminerait, il la ramènerait à un tas de chair sanguinolente si'l le fallait mais elle cèderait avant lui !

Il serra les poings avant de souffler un grand coup, bon, allons y, alloons plus loin. Il réfléchit quelques instants à ce qu'il pouvait lui faire faire....gum, ses bras étaient déjà presque hors services à cause de ses épaules disloquées, sa chair était à vif au niveau e l'entrecuisse, et il y avait les aiguilles et le poignard vaginal de plantés dans son corps. Il avait quand même déjà fait beaucoup. Mais pas assez pparemment pour la faire pleurer...oui, les larmes et les pleures étaient une forme de récompense en soit. Pour lui, et mieux encore un symbole de victoire !

Toutefois, il eut des prémices de victoire dans ss propos, la chose inutile qu'ellme était n'avait pas à faire de choix, n'étant pas son propre maître, comme n'importe quel esclave, oui, cette chose arrmée par un long entrainement depuis son plus jeune âge était une esclave, esclave du plus puissant homme de Rome : Mettius. Elle avait au moins retenu une base.

« Finalement je ne vais pas faire ça....non, ce n'est pas drôle en fait ! »

Il jouait avec le couteau anal entre ses doigts d'une main alors que de l'autre, il lui jetait les labeaux de peau au visage. Il se serait bien fabriqué un fouet avec sa peau, mais elle n'aurait pas passé la nuit, c'était certain. Donc il devait se rabattre sur autre chose. Le chevale en bois par exemple ! Oui, très bonne idée, elle était un peu au dessus, ce qui lui ferait une petite chute qui la ferait atterrir sur l'intimité, technquement, si il était bien placé, c'était son intimité, ses grandes lèvres qui prendraient tout le choc.

N'ayant pas envie qu'elle tombe tout simplement comme ça, il prit la lame anale et l'approcha de son intimité dans laquelle il al glissa perpendiculairement à sa fente, de sorte à lui causer d'autres coupures, quoique la lame était sans doute un peu émoussée à cause de la quantité de sang sur celle ci....

« Si elle tombe, je t'arrache les doigts un par un, et ensuite ce serait au tour des dents une par une, et ce ne sera que le début car je te broyerai les os petit à petit jusqu'à ce que tu ne sois plus qu'une sorte de bouillie de chair, de sang et d'eaux en poudre ! Et le pire là dedans c'est que tu m'auras complètement déçue, je te laisserai à ton sort et t'oublierai. Tu m'as assez déçue pour aujourd'hui, tu ne crois pas ? »

Saisissant la cuisse dans llaquelle tait fiche l'autre lame, il appuya sur celle ci jusqu'à sentir la résistance de l'os. Puis, prenant une paire d'aiguilles à cuir, il s'approcha et mit à gratter la chair à vif. Quel dommage qu'il n'ait pas eu du citron ou quelque chose de similaire...

Il se décala et allait vers 'edroit où la chaine était fichée dans le sol et retira ce qui la maintenait, la laissant d'un seul coup tomber, mais pas e haut, sur le cheval de boirs bien pointu avant d'aller la rejoindre d'abord d'un côté puis de l'autre, pour planter des aiguillesentre ses côtes, ne manquant aucun interstice.

Il prit la main de la jeune femme et y plaça un vieux couteau en partie rouillée dont la lame était émoussée.

« Je veux que tu me donnes tes tétons et ton clitoris. »

Première fois qu'il faisait cela, première fois qu'il lui demander de s'automutiler....
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Re: [E3][Flashback]Une arme au service de son maître [Mettiu

Messagepar Deserta Sulpicius le 02 Octobre 2012, 15:15

Résister coûte que coûte, se faire violence pour aller au-delà de mes limites. Voilà ce que je m'inflige pour prouver à mon maître que je peux lui servir, LE servir. Je sais qu'il tourne autour de moi, sans doute pour prendre le temps de la réflexion, pour affiner la prochaine torture que je subirai. En silence, je patiente. Mes bras ne me supporteront plus très longtemps dans cette position. Bientôt, ils me seront inutiles. Je ne me plains pas, je ne demande pas un peu de répit, même court. Non ! J'encaisse avec fierté tout cela. Rien ne me fait plus plaisir que lorsque mon maître s'occupe de moi ainsi. Chaque punition se termine toujours de la même façon mais j'en ressors fortifiée et plus résistante.

Une lame s'enfonce en moi, celle de mon cul. Je peux encore faire la différence en dépit de mes chairs à vif. Elle se plante mais en position instable, m'obligeant à contracter mes muscles internes pour qu'elle ne tombe pas. D'ailleurs, je reçois rapidement l'ordre de la garder ainsi sous peine de voir ma punition s'amplifier jusqu'à mon abandon total par mon maître. Mon corps est en sang, luisant de sueur. Ma mâchoire est tellement contractée qu'elle en est devenue douloureuse. Ne plus décevoir, plus jamais. Même si je sais que je ne suis pas encore l'arme parfaite que veut mon maître.

Mon maître joue avec le poignard fiché dans ma cuisse, l'enfonçant encore plus. Mes gémissements se font plus audibles, tout comme les tremblements de mon corps. La chaîne se détend brusquement. Je chute sur le « cheval » dont le dos pointu vient taper à la base de mon poignard, l'insérant un peu plus en le plantant dans ma chair. Mais ce n'est rien comparé au frottement de mes grandes lèvres mises à vif sur le bois. Mon cœur manque quelques battements au moment où j'entre en contact de l'objet, lâchant un cri de douleur. Les yeux fermés, je sens ma résistance faiblir. Ce qui n'arrête pas mon maître. Des aiguilles se retrouvent plantées dans mes côtes, rendant ma respiration encore plus difficile.

Ne pas flancher surtout. Facile à dire mais difficile à faire maintenant. Seule la douleur s'inscrit en moi, rendant ma concentration presque impossible même si je résiste encore. Mes larmes, preuve de ma faiblesse, je ne peux encore les montrer. Je ne refuse pas de le faire, j'en ai reçu l'ordre. Mais, je n'y arrive pas tout simplement. Mon maître libère mes poignets, ce qui me permet de soulager mes épaules. Qui tiennent à peine dans leur logement. Bouger les bras me demande beaucoup d'efforts mais je peux stabiliser mon équilibre, ce que je fais.

Je me retrouve avec une lame dans une main. Rouillée, elle ne m'appartient pas mais je l'ai vue au sol lors de mon inspection de la pièce. J'écoute mon maître mais ses propos mettent quelques secondes à parvenir à mon cerveau. Je comprends l'ordre. Jamais cela n'a été aussi loin. Sa déception doit être bien plus importante que ce que laissaient présager ses paroles. La mutilation ne m'effraie pas, j'en ai l'habitude. Je dispose d'une potion pour en réparer les dégâts. J'en ai si souvent bu que cela explique certainement le fait que je cicatrise bien et que je ne garde jamais de cicatrices de ces séances. Mais jamais je ne l'ai fait mi-même. Voilà une première pour ma part et je compte bien obéir.

J'assure ma prise sur la garde du couteau tout en assurant mon équilibre, le bois du « cheval » s'incrustant plus fortement dans mes chairs à vif. Qu'importe. Chaque mouvement de mes bras m'arrachent des gémissements mais cela ne m'arrête pas. Ce que me demande mon maître est humainement impossible à faire. Sauf pour moi. Mes doigts trouvent sans peine mon clitoris que j'étire pour avoir un meilleur angle d'attaque. Le trancher n'a rien de compliqué en soi mais la lame rouillée glisse mal. Au lieu d'une coupure franche, je me retrouve avec la peau un peu plus déchiquetée. Mon cri me soulage quelque peu mais pas suffisamment.

Mon équilibre de nouveau assuré, je lève les bras, lentement, ne pouvant faire mieux. De cela, je sais que mon maître ne m'en tiendra ps rigueur. Respirer, serrer les mâchoires encore plus fort. C'est la seule solution dont je dispose pour poursuivre. Mon téton droit rejoint mon clitoris dans le creux de ma main libre et je reste quelques instants immobile, regardant mon sang couler, incapable de faire autre chose. L'ordre, c'est à cela que je me raccroche maintenant. Je n'ai plus que ça de toute façon. Je tremble de plus en plus fort, compliquant ma stabilité mais je ne peux plus faire autrement. Difficilement, la lame remonte une nouvelle fois le long de mon corps. Je ne réfléchis plus, je ne pense qu'à l'ordre et uniquement lui. Une nouvelle fois, la lame déchire ma peau, m'arrachant un cri de douleur qui s'éternise dans des gémissements devenus incontrôlables.

Avec difficultés, je bouge mon bras gauche avant de tendre ma main ouverte en direction de mon maître. À l'intérieur, en sang, se trouvent mon clitoris et mes tétons comme ordonné. Ma main droite vient se poser sur le bois pour assurer mon équilibre. Je réalise brusquement que mon visage est inondé de larmes. Impuissante, j'assiste à mon échec. Je ne suis plus qu'un vulgaire morceau de viande entre les mains expertes de mon maître.
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Re: [E3][Flashback]Une arme au service de son maître [Mettiu

Messagepar Mettius Aurelius le 02 Octobre 2012, 20:03

Il sentait bien qu'elle atteignait ses limites et ça, ça lui plaisait énormément, qu'elle pleure, c'était le seul but, qu'elle pleure de douleur, qu'elle pleur parce qu'el n'en pouvait plus, qu'elle cède, ce qu'elle se refusait à faire habituellement ! Ce qu'elle refusait de faire depuis tout à l'heure, elle allait céder, entre la douleur des échardes dans la chair à vif, de la lame anale, trop longue, qui la blessait des endroits qui n'étaient pas blessés habituellement, plus profondément, plus loin., sutor avec la chute sur le cheval en bois qui s'était chargé de bien l'enfoncer.

Au final, certes il y avait cette souffrance, mais en plus, il y avait le reste et quand elle commença à lutter contre elle même en luttant pour accomplir ce qu'il lui avait demandé, et se mutiler put le supplice de trop, d'abor lentement, puis de plus le plus, les larmes commencèrent à couler et Mettius en fut ravi. Être ravi pour cela, quelque chose d'ignoble sans doute, mais il était ainsi, il aimait la souffrance qu'il provoquait, il aimait voir l'autre flancher et il était exalté d'avoir pu la faire flancher, la martyriser. Chaque fois elle repoussait le seuil qu'il lui connaissait. Chaque fois elle devait plus forte, plus endurante, plus résistante et c'était une bonne chose, bientôt ou pourrait scier le brase à la petite cuillère qu'elle ne broncherait pas.

Elle était arrivée au bout et sa honte était son bonheur. Il s'approcha d'elle et lui caressa la joue, lui glissant entre les lèvres de ce sac de viande honteux, doucement, les morceaux de chair, qu'elle les avale, qu'elle les mange, ce qui appartenait à son corps resterait – un temps – avec son corps. Puis, il posa la mains sur son épaule, comme un geste de réconfort mais au lieu de continuer dans cette lancée, d'une bourrade, il l'entraîna dans un mouvement latéral, la faisant chuter dans la terre maculant le sol.

Il se pencha sur elle glissa à nouveau les doigts dans son intimité après avoir retiré la lame pour y récupérer l'épingle qu'il lui passa au travers du lobe de l'oreille avant de la saisir par les cheveux pour la forcer à le regarder. Pour une fois, elle avait droit à cela, qu'elle ne s'y habitue pas. Il n'y avait plus de trace de colère, non juste de la douceur, douceur qui ne se manifestait pas chez lui par de la tendresse mais par des coups moins douloureux. Il la laissa retomber face contre terre avant de se placer au dessus d'elle pour lui rattacher les main dans le dos.

« C'est bientôt fini, ne t'en fais pas. »

Il la laissa ainsi, à même le sol alors qu'il s'absentait, revenant avec un siège pliant sur lequel il s'assit, jusque devant le visage de la jeune femme, lui mettant un pied sous le nez., un mélange de sang et de terre le recouvrait.

« Tu as des lèvres, des dents, une langue, sers t'en pour nettoyer ça, car après tout si c'est dans cet état, c'est pace que j'ai du te punir ! Tu vas de netoyer les pieds un minimum avant qu n'aille les plonger dans ton ruisseau, quoiqu'il y aura autre chose à faire avant... »

Et ce faisant comme pour mui doner du cœur à l'ouvrage, il se remit à lui donner des coups de chaîne avec une chaîne assez longue pour qu'elle ne frappe pa les épaules mais le bas des reins et le fessier...

Ses doigts de pied s'agitaient sous les yeu de sa cose qui ne pouvait sans doute pas se relever....
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