[E3][Flashback]Une arme au service de son maître [Mettius]

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[E3][Flashback]Une arme au service de son maître [Mettius]

Messagepar Deserta Sulpicius le 28 Septembre 2012, 14:08

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Ce rp parle de l'arrivée de Deserta en ville



Je suis à l'endroit indiqué, une maison dans les bas-fonds de la cité, ma demeure dorénavant. Ainsi en a décidé mon maître dans sa grande sagesse. Je ne dispose pas des clés pour y entrer mais ce n'est pas un souci, je dois attendre dans le jardin. J'en profite pour faire le tour du mur d'enceinte, à la recherche de la moindre faille. Haut d'environ deux mètres, il est difficilement franchissable pour une personne non entraînée. Voilà qui est parfait. Mon sac me précède et au bruit qu'il fait en atterrissant de l'autre côté, je sais que de la pelouse m'attend. Après avoir soigneusement vérifié que nul ne peut me voir, je prends mon élan et il me faut à peine une minute pour me réceptionner en douceur, avec la grâce d'un félin. J'ai franchis des obstacles bien plus compliqués que celui-ci. Je me redresse avant de jeter un regard circulaire autour de moi. Environ une quarantaine de mètres carrés, voilà la taille du jardin. Une seule porte et une fenêtre donnent dessus. Donc une ou deux pièces. Bien assez pour poursuivre mon entraînement et attendre mes ordres. Je m'installe, assise en tailleur, en attente de SON arrivée.

Ma vie a basculé hier. Mon maître a fait un passage éclair chez mon précepteur pour me donner des ordres. SES ordres. « Rend toi à cette adresse et attend ma venue dans le jardin. Fais le ménage avant. ». Rien de compliqué en somme. Je me suis levée une fois certaine que mon précepteur dormait. Nettoyer ma chambre a été rapide. Une fois mes armes emballées, j'ai déposé mon sac à côté de la porte d'entrée. Mes armes... Hormis la première, offerte par mon maître, j'ai forgé toutes les autres. Je dispose ainsi de plusieurs lames de taille et de largeur différentes. Sept au total dont deux parfaitement adaptées à ma morphologie pour pouvoir les porter en toutes circonstances. Parfois dans leurs fourreaux respectifs, parfois non si mon maître le décide. Deux épées longues, trois courtes et deux petits poignards. Ajouter à cela des liens de cuir parfaits pour immobiliser un adversaire et ma panoplie est complète. Je dispose aussi d'une tenue de cuir ajustable à la robe courte que je porte habituellement, me fournissant une armure efficace.

Un dernier regard à ma chambre pour m'assurer que plus aucune trace de mon passage ne subsiste et je me dirige en silence vers celle de mon précepteur. J'ai appris à me déplacer sans faire le moindre bruit, y compris sur des graviers. Très utile dans certains quartiers de la cité. Dans ma main gauche, je tiens l'une de mes dagues. Je me faufile rapidement dans la chambre avant d'un éclair d'acier jaillisse. Le sang coule de la gorge ouverte de précepteur qui n'a pas eu le temps de souffrir. Je m'assure de sa mort avant d'essuyer ma lame sur le drap. Une fois dehors, je mets le feu à la maison. Ainsi, il sera aisé de faire croire à une agression des rebelles. Il faut bien qu'elles servent à quelque chose ces maudites machines. Je me mets en route sans traîner sans un regard derrière moi. Mon maître me veut au cœur de la ville pour agir plus rapidement. Je ne peux que reconnaître SA sagesse dans cette décision.

Les habitants dorment tous tandis que je progresse dans les rues de la cité. Je marche vite, attentive au moindre bruit qui m'entoure, les sens en alerte. Il me faut une heure de marche pour arriver à destination. Et comme vous avez pu vous en rendre compte, peu de temps pour me mettre en position d'attente. Il ne m'est pas interdit de dormir, la nuit est encore jeune, mais je reste assise, immobile, mes armes à portée de main. Le froid n'a pas d'emprise sur moi, il n'en a plus en fait. Je ne compte plus les nuits passées dehors à m'endurcir pour devenir toujours meilleure. Et ce n'est pas parce que je n'ai plus de précepteur que je vais cesser de m'entraîner tous les jours. Je dois entretenir tout ce que j'ai appris et faire en sorte que mon corps ne me trahisse pas.

Le soleil se lève et c'est le moment que je choisis pour me relever. Je pose mon sac à côté de la porte close avant de retirer ma tenue, ne gardant que mes sandales en cuir. Cette consigne permanente m'a été donnée par mon maître la nuit où il s'est servi de moi pour assouvir ses envies de sexe. Je m'y conforme depuis. De toute façon, je ne vois aucune raison pour ne pas le faire. Ma vie appartient à mon maître, je ne suis qu'un instrument entre ses mains et cela me convient parfaitement. Au garde-à-vous, tête baissée, au centre du jardin, je ne bouge plus, de nouveau immobile. Je peux rester ainsi durant des heures sans ressentir la moindre fatigue, ni la moindre crampe. Le bruit caractéristique d'une clé que l'on tourne pour ouvrir une porte se fait entendre. Aucune réaction de mon corps ne trahit le fait que j'ai perçu ce bruit. À bien m'observer, il serait aisé de me confondre avec une statue, voir une androïde en veille. IL fait son apparition. Je m’incline respectueusement devant lui.

Bonjour Maître.

Je me relève, reprenant ma position initiale sans rien ajouter.
Dernière édition par Deserta Sulpicius le 28 Septembre 2012, 18:11, édité 1 fois.
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Re: [Flashback]Une arme au service de son maître [Mettius]

Messagepar Mettius Aurelius le 28 Septembre 2012, 16:09

Cela faisait des mois, des années qu'il préparait ce jour. Cela pouvait paraître étrange, très étrange, c'état peu de choses, mais cela annonçait de grands changements futurs. Il avait un pion à placer, un mécanisme à enclencher, un loup à placer dans la bergerie ! Il l'avait contactée en vitesse la veille, elle devait faire place nette et se rendre dans une nouvelle demeure, il avait payé cele ci de manière très détournée en achetant puis liquidant le vendeur, ou du moins, en faisant liquider le vendeur...ça avait été très simpel et il y avaiit fait placer par quelques personnes de confiances le strict nécessaire ! Une paillasse, de quoi ranger des vivres, de quoi cuisiner, le strict minimum. Elle vivrait à la dure, mais n'avait pas besoin de plus.

L'épais mur qui entourait la demeure permettait une intimité tout à fait acceptablle et sauf si on s'amuseait à montrer sur le mur, rien de ce que l'on y verrait ne serait compromettant il falait juste qu'elle l'entretienne. C'était la seule chose importante entre deux missions, sans compter son entrainement.bien évidemment ! Il fallait que cela reste propre au niveau de l'accès, il devait pouvoir y entrer n'importe quand, d'ailleurs, il serait sans doute la seule personne à part elle à y venir. Mais il ne voulait pas à avoir une quelconque peine à y accéder. Tout simplement. Et elle ? Il s'en fichait pardi, tant qu'elle servait, le reste n'avait que peu d'importances.

Pour cette occasion, il avait préparé quelque chose, il avait payé ça relatvement cher, mais pas tant que ça quand on y réfléchissait, ce n'était pas l'armement le plus précieux et le mieux fabrisqué qu'il avait vu, mais la facture était correcte, et même plus que correcte ! L'assassin serait sans doute ravie de ce cadeau. Il s'agissait de deux séries de trois couteaux de lancer pour complèter sa collection d'armes, pas de particularité, banals, ils étaient aiguisés comme des rasoirs. Le tout était rangé dans des fourreaux spéciaux, les rangeant trois par trois, bien évidemment, dans des sortes de pochettes qui se fixaient à l'aide de lanières sur l'extérieur des cuisses à l'aide de lanières. Un système pratique qu'il avait fait faire en toute discrétion. Bien évidemment, c'était risqué, mais il se disait qu'il lui manquait de quoi agir à distance, d'où ce petit cadeau qui lui plairait surement beaucoup. Notez que ce dernier point était plus un constat qu'une réelle envie affective de lu faire plaisir..... y avait-il encore quelqu'un prêt de lui au point qu'il y ait de l'affection sincère ? Bonne question.

Il approchait deu lieu, il aurait reconnu les murs et la porte extérieure entre mille. Même si elle ressemblait aux autres taudis similaires, ele tait diffrente pour lui. Tenant dans la main un trousseau de clé alors que l'aube se levait. Le prélat, encapuchonné pour ne pas être vu et qui plus est dans une cape miteuse et sale, ça attirait moins l'attention, s'approcha du portail et prit la clé pour l'ouvrir, il l'inséra et tourna deux fois la clé, comme prévu, c'était fermé à double tour, par principe.

La jeune femme était là, nue, en sandales, comme il fallait s'y attendre de la parfaite subirdonée formée qu'il avait, elle avait reçu cet ordre il y avait un certain temps, d'une ça économisait des achats de vêtements (elle ne gagnait pas sa vie après tout), et de l'autre si'l venait, il pouvait en profiter, et il en profiterait.sans vergogne s'il le voulait. Elle était belle en plus cette chose, sa seule chose humaine d'ailleurs. A son approche, elle s'inclina poliment, avec la déférence qu'on lui avait enseigné, ça avait été un bon précepteur, et le salua avant de se redresser en position de garde à vous dont la seule exception était la tête penchée ; Il sourit, brave fille. Il ne dit rien, ne fit rien et se contenta de se diriger vers la serrure, il ouvrit la porte.

« Entrons chez toi. »

Ce n'était pas froid comme ton, pas chaleureux non plus d'ailleurs, assez neutre en fait. C'était juste un ordre, point barre ! Le prélat entra sans attendre d'invitation.

« Ferme la porte derrière toi. »

Il attendat qu'elle est obtempérer, avant de demander vraiment ce qui importait : avait-elle réussi ou échoué. C'était la raison de sa présence, ni plus, ni moins, ou plutôt de sa prsence à l'origine. Mianetant il se demandait de quoi elle était capable....

« Alors, comment s'est passé ta mission ? As-tu réussi ? Et les preuves de ta présence ? »

Il sourit, car elle ne serait pas là sinon, il avait déjà une idée de la réponse. Il serrait sous son bras le petit coffret contenant son cadeau, il lui fallait entendre les bons mots, sans cela, elle n'y gagnerait pas ces nouveaux jouets.

« J'espère que tu es consciente que personne à part moi ne doit venir ici ! »
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Re: [Flashback]Une arme au service de son maître [Mettius]

Messagepar Deserta Sulpicius le 28 Septembre 2012, 18:01

Toutes ces années d'entraînement pour avoir l'honneur de servir un homme tel que mon maître. Jamais mes sacrifices ne m'ont paru plus justifié que maintenant. Servir mon maître est la seule chose qui importe à mes yeux. Le reste n'est que secondaire. Ou plutôt, n'existe pas selon moi. Je n'ai pas de réponse à mes salutations mais en même temps, mon maître a bien autre chose à faire que de gaspiller de la salive pour me saluer. Je me mets en mouvement à sa suite, récupérant mes armes au passage avant de les déposer une fois la porte fermée. De nouveau en position, en attente. Je me rends bien compte de l'honneur que me fait mon maître en m'offrant cette demeure et en prenant le temps de venir me voir. Un homme de son importance ne doit pas perdre son temps avec moi. Je m'en voudrai de lui en faire perdre d'ailleurs. J'écoute la question et l'ordre concernant qui doit, ou ne doit pas, venir ici. Je ne prends la parole qu'une fois certaine que mon maître n'a plus rien à me faire savoir.

Comme ordonné, j'ai fait le ménage. Plus aucune trace de mon passage n'existe et le témoin est mort égorgé avant que je ne fasse brûler la maison pour faire croire à une agression de cambrioleurs. La preuve se trouve dans mon sac, je vous la donne immédiatement, Maître.

J'ouvre le sac de mes armes pour en sortir un linge ensanglanté. Je l'ouvre avant d'en présenter le contenu à mon maître : les yeux et la langue de feu mon précepteur, ainsi qu'un morceau de peau sur lequel se trouvait son tatouage. Je dépose le tout sur la table basse que j'ai aperçu en entrant dans la pièce avant de reprendre ma place. Durant tout ce temps, j'ai gardé le regard fixé au sol. Il ne me viendrait même pas à l'esprit d'oser regarder mon maître en face. Je parle peu. Ce qui donne une intonation particulière à ma voix. Elle n'est pas déplaisante mais je sais dire un maximum de choses en un minimum de mots. Question d'habitude.

Quels sont les ordres en cas d'intrusion, Maître ?

Bien que parfaitement immobile, mon cerveau enregistre le moindre détail. Ce qui me donne une idée assez précise des lieux. La maison fait la taille du jardin. Ce qui me permettra de m'entraîner autant en intérieur qu'en extérieur. Pour les armes, il est préférable que je ne puisse être vue de personne. Pour tout d'ailleurs puisque mon existence, à elle seule, impose un anonymat le plus total. J'ai pleinement conscience que je ne sortirai de ma demeure que pour mes missions, et uniquement ces dernières. De toute façon, mon maître a décidé que ma vie devait être ainsi et je me fie entièrement à ses décisions. Elles sont toujours justes et pleines de bon sens. Quoi de plus naturel en effet que de faire d'un bébé abandonné un assassin à sa solde. Cela vous étonne, vous révolte ? Moi non, c'est même la meilleure chose qui me soit arrivé et je le dois à l'homme qui se tient dans la même pièce que moi en ce moment.

Cet endroit me servira de base, de repli en cas de besoin et d'abri. Je mesure la chance d'être ici. Mais aucune émotion ne transparaît sur mon visage, aussi neutre que d'ordinaire. J'éprouve des émotions, je suis humaine malgré tout, mais elles ne sont jamais visibles. Ce ne sont que des marques de faiblesse. Seul mon maître sait comment les faire ressortir et c'est toujours avec déférence que je les lui offre. J'ai bien vu le coffret qu'il porte mais son contenu ne m'intéresse pas. De toute façon, si j'ai à le connaître, mon maître m'en informera. C'est ainsi que les choses se passent depuis que je suis à son service et c'est ainsi que les choses doivent être. Il ne me viendrait même pas à l'esprit qu'elles puissent être différentes. Faire un tel affront à mon maître et protecteur ne me viendrait même pas à l'esprit. Il a fait de moi son bras armé, son assassin personnel, sa chose et bien plus et je me dois de le remercier en montrant une dévotion sans faille à son encontre. Personne ne pourra me détourner de ma destinée.
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Re: [E3][Flashback]Une arme au service de son maître [Mettiu

Messagepar Mettius Aurelius le 28 Septembre 2012, 21:07

Hum, comment dire....si tout le monde était comme ça, tout serait plus simple...il appréciait beaucoup cette personne, cette jeune femme qu'il avait dressé au berceau avait du potentiel, tant en temps qu'assassin qu'en temps que chose contrôlable. Oui, elle était parfaite pour tout cela ! Et bien plus encore, il appréciait énormément cela, et voilà pourquoi il la gardait. Il avait en elle beaucoup d'espoir pour la suite. Et comme si rien ne povait lui faire plus plaisir, il avait compris qu'elle serait d'une fidélité et d'une loyauté indéfectible. Et ça, ça n'avait aucun prix, qu'on le croit ou pas, il s'agissait de quelque chose qu'aucun prix ne pouvait acheter, qu'aucun prélat ne pouvait intriguer pour obtention, qu'aucune influencene pouvait forcer à avoir, une fidélité que le prélat actuel se félicitait et se flattait d'avoir.

Discrète et efficace, la jeune femme faisait exactement tout ce qu'il ordonnait sans poser de question, juste pour lui, parce que c'était lui, en fait. Quel plaisir de sentir une telle loyauté, une telle soumission à son autorité ! Quel plaisir, c'état grisant ! Et c'était tellment agrable, ici, quoiqu'il dise, quoi qu'il fasse, il savait que cela n'aurait pour unique conséquence qu'un secret supplémentaire bien gardé entre eux, c'était peut être l'un des endroits les plus libres pour lui, ici, il faisait ce qu'il voulait, il disait ce qu'il voulait, a seule témoin lui était acquise corps et âme dès le berceau.

Beaucoup d'encre pour ne parler que d'une simple relation de loyauté, je sais, mais que voulez vous, c'est tellement rare de nos jours, elle méritait qu'on s'y arrête et qu'on l'observe de plus près. Enfin bon, peu importait le reste. Elle avait attendu qu'il ait complètement fini de parler pour répondre à toutes ses questions et à ses autres propos, c'était ainsi qu'elle fonctionnait et il trouvait cette marque de respect bien plus agréable que de'avoir l'impression d'être interrompu

Elle résuma sa mission rapidement alors qu'il approuvait au fur et à mesure d'un signe de tête les mesures qu'elle avait prise, des mesures qui donnaient l'impression de redoubler de précautions, mais qui au final, suffiait à paraore invisible. Invisible, c'était ce qu'elle était maintenant, invisible, et même plus, inexistante, dans l'incendie elle venait de êrdre la seule personne qui la connaissait offiellement – et qui aurait pu accessoirement faire le lien entre elle et le prélat – avait té tué par celle qu'il avait élevé de près suivant les ordres de Mettius. C'étit dire un peu sa dévotion. Et bien évidemment, elle lui vaait rapporté quelques échantillons de son forfait, elle les sortit pour les lui montrer. Des yeu, une langue et un tatouage. Il reconnu les eu vairons du précepter ainsi que son tatouage, elle avait fait dun bon travail mais doucement il se cacha les yeux.

« Je veux bien qu'e tu aies des preuves mais je ne veux pas les voir, moins j'en sais mieux nous sommes tous deux protéger ! Alors ne me les montre pas, savoir que tu en as me suffit ! »

Ah qu'il aurait aimé que sa fille soit plus de ce moule, elle avait trop tenu de sa mre, ne serait-ce ue par le sexe...une fille en premier, voilà qui lui avait déplu, mais toujoours très rebelle par rapport à son autorité, et donc inutilisable pour la moindre des sombr »s desseins qu'il avait ourdi...si seulement sa fille avait pu être commeelle, si Phaedr avait été comme Deserta, il aurait pu en faire quelque chose ! Un beau regret que voilà....

Il remit les pies sur terre pour regarder la jeuene femme nue devant lui, la parfaite jeune femme qui était là pour lui, rien que pour lui, toute à lui. Et souriant il posa le petit coffret sur la banquette alors qu'il s'y allongeait pour être plus à l'aise, et ajouta, concernant ls intrus :

« J'ai eu une idée, tu comprendras plus tard ! Fais moi confiance ! »

La dernière partie de la phrase était plus rituelle ue réellement une demande, il avait déjà sa confiance il le savait.parfaitement, mais la suite...

« Quelque chose qqui ne devrait pas être là où elle a été dissimulée a été dissimulé ici par mes soins, trouve-le, et vite ! »

Cette fois ci, c'était un ordre, un ordre qu'il avait lancé amusé alors qu'il retournait une clepsydre.

« Tu as cinq minutes. »

Il n'avait pas choisi cette maison par hasard, en fait c'était surtout parce qu'elle était bâti sur d'anciennes catacombres qui s'étaiet éboulées, offrant deux cachettes sous la maison, une trappe dans chaque pièce, qui menaient chacune das une sote de grande cave commune. Dissimulée dans le sol, à peine visibls, elle faisait une extension de la maison particulièrement efficace, dedans il avait mis un tas de cinq ou six mannequins de paille pour s'entrainer...et dans un coin, un jouet, une sorte de petit cheval de vois, caché derrière un paravent, à elle de le trouver si elle voulait le cadeau de son maitre, et surtout si elle ne voulait pas le décevoir...
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Re: [E3][Flashback]Une arme au service de son maître [Mettiu

Messagepar Deserta Sulpicius le 28 Septembre 2012, 22:19

Mon maître a demandé des preuves, je les fournis sans tarder. Sur ses paroles, je referme le linge ensanglanté, prenant note que je devrais les faire disparaître rapidement. IL semble satisfait de la façon dont j'ai exécuté ma mission et cela me renforce dans le fait que cet homme ne me demande jamais rien par hasard. La réponse concernant les intrus me sera donnée plus tard. Je hoche la tête en signe de compréhension. Je l'entends s’installer sur la banquette. N'ayant pas reçu de directive, je ne bouge pas de ma place. Il est déjà arrivé, dans le passé, que je doive rester ainsi, sans bouger, pendant que mon maître s'entretenait avec mon précepteur.

L'ordre tombe. J'écoute attentivement. Cinq minutes. Un délai à la fois court et raisonnable pour moi qui suis habituée à cela. Je ne bouge pas pour autant. Faire les cent pas n'est d'aucune utilité vu la taille de la pièce. Mon regard la parcourt une nouvelle fois mais la différence vient du fait que ma tête devient mobile. Je sais en avoir la permission pour cela. Je m'arrange cependant pour ne jamais regarder mon maître. Et si l'objet se trouve à ses côtés, je ne pourrai le voir. Qu'importe, je préfère être punie que de désobéir à un ordre permanent.

Beaucoup paniqueraient vu le temps imparti mais moi non. Mon regard glisse sur le moindre recoin des murs. Rien. Idem pour le plafond. Je me concentre à présent sur le sol. Il n'est pas égal, lisse. Une trappe ! Voilà ce que je dois trouver visiblement. L'ouvrir est un jeu d'enfant et je découvre que la maison est dotée d'une cave parfaitement dissimulée pour un œil non exercé. Sans traîner, je me laisse tomber à l'intérieur, négligeant l'escalier. Découvrir cette cave est trop simple. Mon maître me demande toujours des choses plus compliquées.

Des mannequins d'entraînement. Je suis gâtée. Ici, je vais parfaire ma technique pour me servir à la perfection de mes lames. Quelque chose cloche dans ce lieu. Je déplace le paravent se trouvant au fond la pièce, découvrant une sorte de... cheval en bois. À quoi peut-il bien servir ? J'ai du mal à l'intégrer dans une séance d'entraînement. Qu'importe, mon maître me l'expliquera quand il le jugera utile. Je le ramène au pied de l'ouverture avant de m'immobiliser de nouveau.

Objet identifié et trouvé, maître.

Je vous ai prévenus, je parle peu. De plus, l'ordre était clair. Trouver et prévenir. Rien d'autre. Je ne fais qu'exécuter. Comme toujours. Je n'éprouve ni joie, ni satisfaction. J'ai seulement accompli ma tâche. Dans le délai imparti qui plus est. Si je ne fais pas erreur, il m'a fallu à peine trois minutes. Seul mon maître peut faire ressortir mes émotions et c'est toujours sur sa volonté qu'elles disparaissent à nouveau. J'en ai l'habitude. J'ai malgré tout eu le temps de constater que la cave fait au minimum la surface entière de la maison et qu'elle fournit un abri parfaitement insonorisé. Parfait pour y garder un prisonnier le temps de lui soutirer des informations. Tout comme le fait qu'elle dispose d'une autre sortie qui donne dans la seconde pièce assurément. Pièce dont j'ignore encore la fonction, la visite des lieux n'ayant pas été achevée pour l'heure. Il doit même être possible d'agrandir le lieu.

Le temps imparti s'est écoulé. Je le sais. Immobile, j'attends sans bouger. Mon maître me dira quand et quoi faire. Sans ordre, il sait que je resterai à ma place, dans ma position habituelle. Que j'y passe quelques minutes, quelques heures ou quelques jours, toute action commanditée par mon maître a sa raison d'être même si je ne la connais pas. Il ne m'appartient pas de réfléchir à cela. Je suis programmée pour obéir et uniquement cela. Dressée comme un animal sans que cela ne me pose le moindre problème. Ma vie me convient telle qu'elle est. Pour rien au monde, je ne souhaite en changer. Sauf si j'en reçois l'ordre. Dans ce cas, je le ferai sans hésitation.
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Re: [E3][Flashback]Une arme au service de son maître [Mettiu

Messagepar Mettius Aurelius le 29 Septembre 2012, 12:53

Efficacité, comme d'habitude, elle n'&vait rien dit, rien fait, elle avait juste cherché du regard et n'avait bougé aque pour aller directement au but Comme prévu, elle n'avait pas regardé dans sa direction. Un ordre bien pratique quil avait mis en place pour qu'elle ait un peu de difficulté à se souvenir de son visage, enfin, il espérait. Si elle était prise et qu'elle parlait, elle ne ferait rien. Mis avant un dtail à régler, il avait un ordre à lui donner en cas de capture : s'arracher la langue comme elle pourrait peu importe, elle s'arracherait la langue quitte à la rogner avec les dents ! Sans la langue, difficile de parler ! Difficile de tout balancer !

La chose humaine finit par se diriger directement vers la trappe, elle l'avait dnc repérée si vite ? Pfff pas drôle si c'était si facile pour elle ! Oui, il trouvait ça particulièrement impressionnant ! Mias la voir rejoindre la cave aussi vite était dommage il trouvait que cela gâchait le plaisir tout en confirmant son intuition, elle était très douée pour observer, très douée analyser. Une espionne en or en somme ! D'ailleurs il ne lui fut pas dur de trouver ce dont il parlait, le cheval en bois, elle le trouva bien vite et le signalma. La clepsydre n'avait pas encore fini décoler son contenu. Bon et bien comme ça, c'était fait ! Elle devait être assez douée.

Il avait ainsi une idée de mission qu'elle pourrait remplir, quelque chose de simple mais ui pourrait se révéler particulièrement productif quand on y réfléchissait ! Une chance pour elle de faire davantage ses preuves, une chance pour lui aussi de savoir certaines choses qu'il n'aurait jamais pu savoir autrement...

« Bon, si tu as trouvé, remonte alors et dis moi ce que c'est ! »

Ilnle savait parfaitement, et elle avait réellement trouvé l'objet. Mais voilà, qu'elle le prouve ! Comme toujours, des preuves, il voulait des preuves qui servai à montrer sa progression, ainsi, dans ce genre de « jeu » qu'on lui faisait faire, l'observation était la clé, qu'elle lui décrive l'objet. Lui, il ne se lèverait pas de la banquette pour aller voir et l'objet avait été monté en bas, trop difficile à transporter sinon. Tout ce qu'il attendait, c'était la description de l'objet.

« Et remonte, ta récompense t'attend ! Un joli cadeau dans un joli coffret ! »

Devant lui, sur la euxième place de la banquête, le petit coffret en bois était posé à découvert, qu'elle vienne le prendre, il était pour elle. Ces couteaux de lancer lui plairait, il en était sur, ou du moins, l'éventualité qu'il se trompe était infime à son avis.

« J'espère que ça te plaira. Tiens d'ailleurs, ta maison te plait ? J'ai pensé que tu serais ben ici. Tu ne penses pas , »
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Re: [E3][Flashback]Une arme au service de son maître [Mettiu

Messagepar Deserta Sulpicius le 29 Septembre 2012, 13:55

Écouter, comprendre, analyser, agir. C'est ainsi que je procède. Et jusqu'à aujourd'hui, cette méthode a toujours parfaitement fonctionné. Pour preuve, il m' a fallu peu de temps pour trouver l’objet étranger dans cette demeure. Sauf que ce n'est pas un, mais deux objets qui n'ont aucune raison d'être ici. Le « jouet » posé au sol devant moi, je signale à mon maître que j'ai terminé avant d'attendre. Ordre m'est donné de remonter sans puis de le décrire. Je me retrouve dans la pièce en un bond rapide, avant de me positionner face à mon maître. Je réfléchis quelques instants pour trouver les mots adéquats à ce qu'il vient de me demander de faire.

Le premier objet est en bois, de la famille des jouets, représentant selon toute vraisemblance un cheval. Son dos est plus fin sur le dessus, formant un triangle en son centre, et culmine à une hauteur équivalente à environ un mètre vingt du sol. La tête se résume à une simple petite poutre qui remplace l'encolure, à un angle de 70 degrés avec la partie principale du corps. Pas de queue. Pas de tête. Inachevé à première vue. Il est façonné en bois brut. Aucune finition n'existe. À cela s'ajoute le paravent qui le dissimulait.

Rapport terminé. Mon maître a parlé de cadeau. Nul doute que ce dernier se trouve dans le coffret qu'il a apporté avec lui. Je m'approche avant de me mettre à genoux devant la banquette. Avec lenteur, j'ouvre le coffret pour en découvrir son contenu. Deux séries de trois poignards de lancer. Mes doigts se posent sur l'acier dont j'apprécie le contact. Me saisissant de l'une des lames, je teste son équilibre, la faisant sauter dans ma main gauche. Parfait. Petits, facilement dissimulables, ils vont me fournir un nouveau moyen d'atteindre une cible donnée. Je teste ainsi les cinq autres avant de les reposer dans le coffret soigneusement.

Aucune émotion visible. Seul mon maître qui me connaît bien peut voir cette lueur particulière qui brille dans mon regard. Certaines femmes rêvent de bijoux, de belles toilettes... Moi, ce sont les armes. Le coffret refermé, je reprends ma position initiale. Il me tarde de tester mes nouvelles armes mais je me dois d'attendre d'en avoir reçu la permission. Qui dit cadeau ne dit pas autorisation de s'en servir. Mon maître continue de parler. Pour ma part, j'ai déjà bien plus parlé aujourd’hui que dans une journée complète. Une nouvelle question. Mon maître veut mon avis. Je n'en reviens pas !

Cette maison est parfaite. Je mesure l'honneur que vous me faites en me logeant aussi confortablement et je vous en remercie.

Je sais que mon maître vit dans une villa luxueuse au cœur de la cité. Je ne l'envie pas. Cette maison, ma maison, est bien plus pour moi que toutes les richesses du monde. Je ne sais toujours pas ce qui m'attend dans la seconde pièce. Mon maître a forcément fait en sorte que cela soit aussi parfait que celle dans laquelle nous nous trouvons. Je meurs d'envie d'essayer mes nouveaux poignards. Mais je me retiens. Il est même possible que mon maître reparte avec. Ce ne serait pas la première fois d'ailleurs. Il teste souvent ma patience de la sorte. Un entraînement qui me permet de devenir meilleure, de le servir encore mieux que je ne le fais déjà.
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Re: [E3][Flashback]Une arme au service de son maître [Mettiu

Messagepar Mettius Aurelius le 29 Septembre 2012, 19:04

Elle remonta pour faire son rapport. Court, précis, efficace ! Un rapport parfait ! Enfin...s'il n'avait pas commis une erreur....car erreur il y avait une erreur monumentale ! Il eut un froncement de sourcil...un paravent ? Non, ce n'était pas exactement cela, il avait dit un objet, ni deux ni aucun, mais un seul ! Il n'y avait qu'un seul objet, ce cheval en bois dont elle aurait compris ultérieurement les raisons, pour sa plus grande douleur.... mais là, il tait déçu, il n'était pas content.

Oh, tant mieux que ce cadeau lui plaise, mais la valeur en était gâché par son échec. Elle n'était pas habituée échouer, et qu'elle ait échooué le décevait profondément, ial avat envie de faire autre hose de son cadeau d'un seul coup... les ficher dans ses chairs avec un délectable plaisir. Mais s'il restait habillé, ses vêtements seraient souillés par le sang. Elle comprendrait tout à fait ce que signifiait à l'avance il le savait, mmais il prit le couteau qui errait dans les mains de sa chose humaine et im le reposa dans le coffret. Il détacha sa oge qui tomba au sol, se dévêtit entièrement avant de descendre en prenant le coffret avec lui.

« Enfile tes armes spéciales sans leur fourrau et ttends mon signal ! »

Une fois en bas il jeta un œil autour de lui et poussa le cheval pour qu'il soit plus au milieu de la pièce puis déplia le paravent pour cacher un coin de la pièce errière laquelle ilcala deux mannequins marqués, l'un par un peu de peinture rouge, l'autre, de peinture ocre. Ils semblient enlacés comme des amants, invisible derrère ce mur de tissu.

« Allez, descend ! »

Il prit l'un des pognards à lancer et attendit qu'elle approche le lui plantant dans l'épaule de son bras principal, le bras avec lequel elle tire. Il ne chercha même pas à la surprendre.

« Tue le mannequin ocre. »

Il appuya sur la blessure avant de dire :

« Alors, quel est l'intérêt du paravent ici ? Vois-tu ton erreur ? Cette erreur me déçoit.... »
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Re: [E3][Flashback]Une arme au service de son maître [Mettiu

Messagepar Deserta Sulpicius le 29 Septembre 2012, 20:08

Toujours immobile, j'attends la bon vouloir de mon maître. Je le vois se lever puis retirer sa toge. Le sang va couler. C'est la seule raison qui puisse expliquer son geste. J'écoute ses ordres en silence. Une fois seule, je me dirige vers le sac contenant mes armes. Je m'empare de mes deux poignards avant de les sortir de leur fourreau respectif. Je glisse le premier d'un geste précis dans son logement habituel, mon vagin. Sa lame courte et large, ainsi que sa poignée, m'assure qu'il ne bougera pas. Le second, plus long et plus fin, trouve naturellement sa place dans mon anus. Il y a longtemps que je suis habituée à les porter ainsi. Les coupures ne me font plus aucun effet. Je reviens ensuite à ma place, attendant d'être appelée.

J'atterris, pour la seconde fois, souplement sur le sol de la cave. L'escalier est réservé à mon maître dans ce sens. Je vois sa main saisir l'un de mes nouveaux couteaux. Je m'approche rapidement, venant près de mon maître. La lame transperce mon épaule droite sans que je ne fasse le moindre mouvement. Un nouvel ordre et un constat. Tandis que mon maître appuie sur la lame fichée dans ma peau, je me rends compte de mon erreur lors de mon rapport. Mais plus que ce constat, ce sont les mots de mon maître qui me font le plus mal. Je l'ai déçu. Tête baissée, je sais que la punition va arriver et je l'accepterai avec plaisir. Je me dois de me racheter aux yeux de mon maître.

Le paravent sert à dissimuler ce qui doit être vu et à empêcher une attaque.

Tout en discutant, je cherche la solution pour me racheter. Non pour éviter ma punition. Cela ne me vient même pas à l'esprit d'ailleurs. Le paravent est un obstacle mais il n'a rien d'infranchissable. Je le sais. Je recule légèrement, mon regard posé sur le morceau de tissu sur lequel se reflètent les ombres des deux mannequins. Ocre. La couleur de la cible. Je me mets en mouvement, rapidement. Le paravent glisse sur le sol avant de chuter mais je sais qu'il ne touchera pas mon maître. Tout en agissant, j'ai retiré le poignard de mon épaule et il me faut à peine deux secondes pour identifier le bon mannequin dont la tête de paille roule au sol dans la foulée. Une fois ma cible neutralisée, je replante de moi-même le poignard dans mon épaule avant de revenir devant mon maître.

Aucune cible ordonnée par vous n'échappera à mes lames. Quels que soient les artifices utilisés pour se dissimuler.

Aucune provocation dans mes paroles, juste une affirmation liée au dévouement que j'ai envers mon maître. J'ignore de quoi sera composée ma punition mais je sais, par expérience, qu'elle aura la faculté de ne plus me faire commettre l'erreur que je viens de faire. Je l'attends, sereine, comme à chaque fois.

Je vous présente mes excuses, Maître, pour ma méprise impardonnable.

Mes mots sont précédés par le fait que je m'incline face à LUI. Le moindre de mes mouvements fait bouger les deux poignards fichés en moi, provoquant un certain nombre de coupures dont je n'ai cure. Souffrir pour apprendre est une excellente chose. La seule méthode efficace selon mon maître et je partage sa vision des choses. Je ne cesse de bouger qu'une fois à genoux, mon front touchant le sol, les mains dans mon dos. La lame plantée dans mon épaule me gêne mais je m'oblige à rester immobile. La douleur est amplement supportable. J'ai une bonne résistance au mal et je l'ai travaillé pour l'accroître à son maximum. Bien que je pense que je peux encore faire mieux.
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Re: [E3][Flashback]Une arme au service de son maître [Mettiu

Messagepar Mettius Aurelius le 29 Septembre 2012, 22:30

Il n'y avait rien de pire que ce qu'il venait de lui dire, il le savait. Et c'était sans doute pour cela qu'il l'avait énoncé aussi froidement car il savait qu'elle ne ferait plus jamais la même erreur, elle ne voulait pas le décevoir, à aucun prix. Ils le savaient tous les deux ! Donc le problème était sans doute réglé. Enfin, ce problème. Car même si il avait résolu ce problème là un autre se posa bien vite à la place. En effet, la jeune femme avait ertes respecté l'ordre, mais d'une manière qui était plus que décevante : elle avait tout simplement fait chuter le paravent avant bde tirer...Mais qu'est-ce qu'elle avait ce soir ? Il trouvait ceka étrange, la deuxième erreur aussi rapprochée de la première...ça ne lui ressemblait pas, ce qui était d'autant plus surprenant.

Mais en même temps, ça mettait le prélat un peu en rogne, voir carrément en colère. 'ailmeurs, ça ne prit pas beaucoup de temps avant qu'il ne décharge tout ce qu'ill avait sur le cœur, n'attendant que lle fait qu'elle soit en position à ses pieds, front contre terre ?

« Non mais qu'est-ce qui se passe aujourd'hui, tu rates tout ! Tu cherches à me décevoir définitivement ? D'abord le rapport, nsuite baisser le paravet à la main ;Tu le fais exprs pour te moquer c'est cela ? »

Etant donnée sa position, il ne se gêna pa sun seul instant, lui envoyant un coup de pied dans la mâchoire avat de venir s'asseoir sur son dos, u plus précisément, sur ses poignets une façon d'accentuer la position, et sans doute aussi, de faire tirer la plaie à l'épaule. Il tendit la mmain vers la rai des fesses de sa chose et saisit le manche, se mettant à faire tourner la lame dans le colon de celle-ci.

« Où sont tes autres possessions ? Car je crois que tu devrais les ramener ici. Cmme ça, telle que tu es maintenant, sans rien changer à ta tenue ! »

Il ne souriait pas, oui, il s'amusait à verser son sang, mais non, la raison ne lui plaisait pas, d'autant qu'il préférait le faire gratuitement. Il se déplaça, se mettant à genou dans la terre qui maculait le sol de la cave. Dans son dos, et il retira la lame anale, avant de la saisir comme un stylet. Puis, il se mit à graver dans la peau de Deserta, sachant trs bien qu'il n'en resterait rien :

Chose indigne de servir son maître.

Puis il rangea la lame là où elle la cachait sur elle, d'un coup sec et rapide.

« Allez, va, et je veux qu'avant den rentrer tu t'enfonces au niveau des genoux une aiguille à cuir, une dans chaque, bien sur ! »
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