par Mettius Aurelius le 02 Octobre 2012, 20:03
Il sentait bien qu'elle atteignait ses limites et ça, ça lui plaisait énormément, qu'elle pleure, c'était le seul but, qu'elle pleure de douleur, qu'elle pleur parce qu'el n'en pouvait plus, qu'elle cède, ce qu'elle se refusait à faire habituellement ! Ce qu'elle refusait de faire depuis tout à l'heure, elle allait céder, entre la douleur des échardes dans la chair à vif, de la lame anale, trop longue, qui la blessait des endroits qui n'étaient pas blessés habituellement, plus profondément, plus loin., sutor avec la chute sur le cheval en bois qui s'était chargé de bien l'enfoncer.
Au final, certes il y avait cette souffrance, mais en plus, il y avait le reste et quand elle commença à lutter contre elle même en luttant pour accomplir ce qu'il lui avait demandé, et se mutiler put le supplice de trop, d'abor lentement, puis de plus le plus, les larmes commencèrent à couler et Mettius en fut ravi. Être ravi pour cela, quelque chose d'ignoble sans doute, mais il était ainsi, il aimait la souffrance qu'il provoquait, il aimait voir l'autre flancher et il était exalté d'avoir pu la faire flancher, la martyriser. Chaque fois elle repoussait le seuil qu'il lui connaissait. Chaque fois elle devait plus forte, plus endurante, plus résistante et c'était une bonne chose, bientôt ou pourrait scier le brase à la petite cuillère qu'elle ne broncherait pas.
Elle était arrivée au bout et sa honte était son bonheur. Il s'approcha d'elle et lui caressa la joue, lui glissant entre les lèvres de ce sac de viande honteux, doucement, les morceaux de chair, qu'elle les avale, qu'elle les mange, ce qui appartenait à son corps resterait – un temps – avec son corps. Puis, il posa la mains sur son épaule, comme un geste de réconfort mais au lieu de continuer dans cette lancée, d'une bourrade, il l'entraîna dans un mouvement latéral, la faisant chuter dans la terre maculant le sol.
Il se pencha sur elle glissa à nouveau les doigts dans son intimité après avoir retiré la lame pour y récupérer l'épingle qu'il lui passa au travers du lobe de l'oreille avant de la saisir par les cheveux pour la forcer à le regarder. Pour une fois, elle avait droit à cela, qu'elle ne s'y habitue pas. Il n'y avait plus de trace de colère, non juste de la douceur, douceur qui ne se manifestait pas chez lui par de la tendresse mais par des coups moins douloureux. Il la laissa retomber face contre terre avant de se placer au dessus d'elle pour lui rattacher les main dans le dos.
« C'est bientôt fini, ne t'en fais pas. »
Il la laissa ainsi, à même le sol alors qu'il s'absentait, revenant avec un siège pliant sur lequel il s'assit, jusque devant le visage de la jeune femme, lui mettant un pied sous le nez., un mélange de sang et de terre le recouvrait.
« Tu as des lèvres, des dents, une langue, sers t'en pour nettoyer ça, car après tout si c'est dans cet état, c'est pace que j'ai du te punir ! Tu vas de netoyer les pieds un minimum avant qu n'aille les plonger dans ton ruisseau, quoiqu'il y aura autre chose à faire avant... »
Et ce faisant comme pour mui doner du cœur à l'ouvrage, il se remit à lui donner des coups de chaîne avec une chaîne assez longue pour qu'elle ne frappe pa les épaules mais le bas des reins et le fessier...
Ses doigts de pied s'agitaient sous les yeu de sa cose qui ne pouvait sans doute pas se relever....