Elle répéta le oui maitre. Il n’insistait pas pour qu’on finisse par le mot « maître », c’était un bonus agréable, mais il ne l’imposait pas, par contre, cela n’empêchait pas le respect, mais bien, là il y était, pas forcément aussi bien qu’on pouvait l’espérer, mais bon, elle était là depuis moins d’une heure, il fallait parfois du temps pour que ces choses prennent pleine conscience d’un changement peut être. Lia avait beau ressembler à une jeune femme des plus magnifiques, elle n’en était pas pour autant une ! Il fallait se le rappeler !
Elle sembla hésitante, n’avait-il pas donné un ordre ? Elle mit quelques instants à s’exécuter, quelques instants de trop. Mais finalement, elle retira une bretelle, puis l’autre, se trouvant nue sous le regard de Mettius. Encore plus belle et désirable qu’il ne se l’était imaginé… Elle ne bougeait pas, elle attendait quoi au juste ?
L’ouverture des portes, sur le coup, il paraissait stupide, oui, il avait fermé les cinq verrous intérieurs. Elle ne pouvait sortir sans les clés. Logique… hum, devait-il lui donner un trousseau ou juste lui ouvrir ? Bonne question qui demandait réflexion, mais pendant qu’il y réfléchissait, que faire ? Hum….voir la marchandise d’abord peut être en pendant ce temps, il y réfléchirait !
Il porta à nouveau la main sur elle, mais sans violence, non, avec douceur, lui palpant doucement les flancs, sa peau était douce, délicieuse au toucher, il la goûterait bien assez tôt ! Il laissa encore une fois remonter ses mains sur son corps, venant prendre doucement entre ses mains sa poitrine qu’il massa avec douceur avant de saisir ses boutons de chair entre ses doigts pour les taquiner, les pincer légèrement, tirer aussi un peu dessus. Il jouait avec en la découvrant. Ses mains redescendirent, l’une sur son ventre plat, l’autre dans son dos, glissant sur le nombril, sur les reins pour l’autre, vérifiant tactilement le galbe de son fessier. Mais il n’alla pas plus loin. Il la lâcha.
« Tu es encore plus belle que je ne me l'imaginais... »
Il allait lui confier l’un des trousseaux de clé. Il alla vers son bureau, ouvrit l’un des tiroirs et en sortit un trousseau de clé identique au premier et le lui tendit.
« Ce trousseau est plus important que toi, sache le : tu ne le laisse pas trainer, tu le range dans ce tiroir, tu ne laisse personne y toucher, tu n’ouvres pour personne d’autre que moi. Personne que moi ne doit entrer ici sauf si on a mon autorisation directe, tu m’as bien compris ? »
Il lui lança les clés, plus de raisons de ne pas obéir maintenant !