par Mettius Aurelius le 29 Septembre 2012, 01:07
Elle était là, offerte à lui, et lui qu'est-ce qui l'empêchait de la prendre telle qu'elle, elle n'aurait, il n'en était sûr, opposé ni résistance, ni volonté de refuser. Il était persuadé qu'elle le laisserait faire avec plaisir ! Il le savait, mais quand elle le stoppa dans son élan. Elle qui semblait se laisser aller, voilà qu'elle reprenait le dessus, voilà qu'elle se mettait entre lui et ce qu'il voulait ! Jamais personne n'aurait osé, mais elle si, et parce que c'état elle, il se laissa faire, il se laissa guider. Pour retirer tout ce qu'il lui avait offert niveau accessoires. Elle les retitira, en tirant dessus sinon ce n'était pas drôle, toutes les pinces qu'elle avait sur le corps, laissant juste des marques rouges, marques très agréables à voir d'ailleurs ! Il imaginait la douleur qu'elles avaient du cause et en frissonna de plaisir.
Elle voulait de la douceur et il lu en aurait bien offert, mais il doutait d'être de capable d'un tel prodige. Elle descendit de la table pour venir se blottir contre lui. Il sentait le corps chaud de la jeune femme contre le frid de sa peau, il sentait ses lèvres. Elle voulait aller ailleurs, il allait l'y emmener, ils irient nus, comme cela, dans les couloirs, enlacés...ou pas ! En fait il avait une idée une idée qui devrait lui plaire, enfin, il pensait.
Il la garda contre lui, et alors qu'il l'embrassait une main vint la saisir dans le dos, et l'autre vint la soulever sous les gnoux il allait la porter jusqu'à l'endroit où il lui ferait l'amour jusqu'à ce qu'ils en soient rassasiés tous les deux, jusqu'à ce qu'ils s'écroulent éreinter sur les draps de soie de son lit. Car c'est dans sa chambre qu'il la porta, dans la chambre du maitre, chose étrange, elle n'était pas spécialement loin de la salle o ils se trouvaient, il fallait juste monter quelques escaliers. De tout le trajet, il ne la regarda pas, il y avait une simple et bonne raison à cela, si il la regardait, s'il la dévorait des yeux, il ne se retiendrait pas et tout se passerait dans les escaliers. Peu galant et elle voulait un pett coin bien douillet, sa chabre était plus approriée. Toutefois, un signe montrait toujours son envie, la hampe qui venait doucement caresser la jeune femme.
Il fit déposa la jeune femme sur le seuil pour ouvrir les portes, il ne voulait pas les défoncer du pied, gardant contre lui tutefois lana, une main sur ses reins étant ancrée, comme si il était hors de question de la lâcher complètement, comme si elle allait disparaître si cela arrivait. Il l'ainvita à approcher du lit, l'incitant à occuper l'espace entre lui et son petit nid douillet et d'une douce pressioj, il la fit basculer avant de passer sur elle pour l'embrasser passionnément, ses mains venant à nouveai conquérir ses blessurez, titiller ses boutons mammaires meurtris.
Il étit au dessus d'elle, 'avait rien commncé, mais n'attendais qqu'un seul infime signe de sa part pour passer aux choses sérieuses.
Elle comprenait ! Vraiment ? Encore heureux ! Étant donné qu'elle était là pour le servir, elle avait tout intérêt à comprendre les ordres ! Donc ces quelques petits mots étaient de trop. Mais bon, il devait sans doute lui laisser le temps de s'adapter, vivre trop lontemps la même vie routinière en compagnie des mêmes gens avait sans doute rouillé certains circuits de l'androïde, mais que voulez-vous, il ne pouvait pas non lus sattendre à mieux étant donné la famille dont elle venait. Non pas qu'elle ait eu un mauvais maitre, ais bon, il n'appréciait pas la manière qu'elle avait de répondre par moments. Notamment à ce moment là, mais qbon, bientôt, ça lui passerait !
Elle sembla surprise de sa question, et bien quoi, vus vous attendiez à quoi ? Qu'elle réponde directement sns broncher ? Exactement ! C'était exactement ça qu'il attendait d'elle ! C'état presque omme si elle le forçait à le répéter. Et autant en public il était particulièrement patient, autant chez lui, il ne supportait pas certaines choses comme la nécessité d'avoir à se répéter, il avait horreur de rabacher, surtout avec ses choses !
Enfin, elle lui expliqua que non, elle n'tait pas réinitiatlisée....pour ce que cela changeait en fait....mais cette idée de connaissance, voilà quelque chose d'intéressant qu'il exploiterait sans doute plus tard. Mais d'abord, d'autres choses étaient à faire en priorité. Non pas que ce soit urgent administrativement parlant, mais il avait d'autres envies à satisfaire. Des envies bien plus basses et viles, et il fallait reconnaître que son cabinet privé était aussi bien comme endroit que sa chambre à coucher...
Elle le complimenta sur la demeure. Bon, alors, une, deux, et trois ! Oui, ça ferait trois. Il attendit qu'elle soit rentrée dans sa forteresse de la solitude qu'était son étude privée, et plaça l'un des verrous, pour avoir la paix, c'était aussi simple que cela ! Ils avaoent la paix, personne ne viendraient troubler sa quiétude.
Il caressa encpre une fois la joue de la beauté, il avait une envie folle de frapper. Mais qu'est-ce qui l'en empêchait au juste ? Absolument rien ! La mains quitta la joue, pour revenir la heurter, main bien à plat, dans un magnifiue clac ; Il venait de la gifler.
« Ça, c'est pour le rabâchage inutile, je n'ai pas besoin qu'on me répète ce ue j'ai dit. »
D'un revers, il vint heurter la seconde joue.
« Ça, c'est pour avoir failli me faire me répéter ! »
Troisième, dernier et jouissif mouvement de bras dernière gifle pour l'instant, il sourit et rajouta :
« Et ça, c'est pour avoir donné ton avis sans y avoir été convié ! - il prit un léger temps de pause avant de continuer. - Je suis un maitre très exigent, que cela te serve de leçon, tu m'as bien compris ? »