[E3] L'assassinat de Valentina [Valentina Roenna]

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Re: [E3] L'assassinat de Valentina [Valentina Roenna]

Messagepar Valentina Aquilius le 24 Octobre 2012, 10:46

Valentina observa l'androïde s'éloigner et revenir avec la paire de ciseaux, lui demandant de lui couper les cheveux, afin de mieux se faire passer pour elle. Elle lui prit les ciseaux des mains alors que Roenna regardait l'androïde et disait qu'il fallait la tuer. La jeune femme aurait préféré une tout autre solution mais il n'y en avait pas. Du moins, elle n'en voyait pas d'autres. Cela lui faisait mal pour cette androïde qui servait dans la famille de son époux depuis plusieurs années. Elle-même s'était aussi attachée à elle. Merena avait toujours été fidèle aux Aquilius. Elle ne méritait pas de mourir... mais pourtant...

« Je ne tiens pas à la tuer mais je ne peux pas prendre de risque non plus. »

La jeune femme déposa les ciseaux sur le lit et s'approcha de l'androïde désarticulée et lui prit la main.

« Dès que tout cela sera fini, je te ferais remettre en état et tu reprendras ta place parmi nous. Tout ce qui ce sera passé, n'aura été qu'un mauvais cauchemar. - elle tourna la tête vers Roenna – Fais-le s'il te plait. »

Alors que sa garde corps officiait, Valentina continua de tenir la main de Merenna, ne voulant pas la laisser seule dans ce moment. Même si elle n'était pas humaine, elle avait le droit à un peu de considération dans un tel moment. D'ailleurs cette dernière sembla apprécier et ne quitta pas la romaine des yeux jusqu'à sa désactivation. Valentina se releva et alla chercher un drap dont elle couvrit l'androïde.

« Il faudra l'entreposer dans le sous-sol de la maison jusqu'à ce que tout ceci soit fini. »

Elle revint vers le lit, prit les ciseaux et désigna le siège qui trônait devant sa coiffeuse.

« Assieds-toi. »

Roenna avait raison, ses cheveux étaient trop longs et personne ne croirait qu'ils avaient poussé en une seule nuit. L'androïde installée, la jeune femme commença à attaquer les blonds cheveux, les ramenant à la longueur des siens. Quelques minutes suffirent pour que le résultat soit acceptable.

« Je suis désolée de ne pas pouvoir faire mieux. Je ne suis pas coiffeuse à la base. »

Valentina essaya de sourire et posa les ciseaux sur la coiffeuse avant de se baisser pour recueillir une des mèches de cheveux de l'androïde.

« Je la garderai avec moi. Comme ça tu seras toujours un peu avec moi. »

Elle avait fait la même chose avec son époux avant son départ et l'avait insérer dans un médaillon fait tout exprès. Elle tenait énormément à son androïde. Elle déposa la boucle sur la table. Elle la prendrait juste avant de partir. Elle se saisit de la main de Roenna et la conduisit sur le lit, la faisant assoir près d'elle. Elle serra les deux mains de la jeune femme.

« Je ne sais comment te remercier pour tout ce que tu fais pour moi. Tu en seras récompensé cela va de soit, autant par moi que par mon époux. - elle lui sourit – Prend garde à toi ! Je ne veux pas te perdre. Même si je n'étais pas ravie de me retrouver avec un androïde garde du corps, je me suis beaucoup attachée à toi. Je ne voudrais pas qu'il t'arrive du mal par ma faute. Sois prudente. »

Sa main vint caresser sa joue avant qu'elle n'aille l'embrasser avec délicatesse et beaucoup de tendresse.
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Re: [E3] L'assassinat de Valentina [Valentina Roenna]

Messagepar Roenna le 24 Octobre 2012, 18:55

Elle était toujours en vie, c’était là le principal. J’avais toujours un peu de mal à me remettre de la confession de ma Maîtresse sur sa grossesse, c’était tellement inattendu et ça changeait tant des responsabilités qui m’incombaient, ça en rajoutait, rendant ma mission plus complexe. Bien entendu je n’avais physiquement qu’une seule et unique personne physique à protéger mais savoir qu’elle était enceinte voulait dire redoubler de vigilance car j’en fais le serment, personne ne touchera à ma Maîtresse et certainement pas à ses enfants ! Bien que souvent mal à l’aise avec les enfants, et plus ils sont petits et pire c’est, j’étais toujours touchée par leur présence, j’aimais leur légerété, c’était comme si rien était vraiment important sauf de s’amuser. Et puis étrangement je me sentais comme un bébé à l’heure actuelle, ou du moins un jeune enfant qui commence à marcher et qui cherche à découvrir son monde. La violence avait mis un terme à la servitude imposée par mon plot, je découvrais donc le monde sous un nouveau jour comme un enfant je découvrais donc le monde comme quelque chose que je connaissais pas. Ce soir je ne m’émerveillais pas de cette androïde qui avait voulu tuer sa Maîtresse mais j’étais heureuse d’avoir sauvé Dame Valentina, j’étais heureuse d’avoir pu l’aider elle, et ses enfants qui naîtront un jour. Je comprends toute l’humanité de cette femme quand elle me demande de mettre un terme à l’existence de son androïde, ramassant la lame qui avait blessé ma Maîtresse, je viens me positionner, enfonçant la lame d’un geste vif et précis qui limite les souffrances au minimum. La cellule d’énergie atteinte, c’est comme si l’androïde s’éteignait mais encore une fois ma Maîtresse me surprend en ayant pour elle un geste extrêmement humain en la recouvrant plutôt qu’en la voyant comme un encombrant mécanique qui traine dans la pièce :

« Je la mettrai au sous-sol ne vous inquiétez pas. »

Alors qu’elle m’invite à m’asseoir pour me couper les cheveux, je me laisse docilement faire. Pourtant je pense encore à mes cheveux, depuis la désactivation de mon plot, je n’y avais plus touché, en un sens ils étaient devenus le symbole de ma liberté si on veut. Je ne voulais plus les couper avant ce jour, mais là dans la situation présente, pour protéger ma Maîtresse et ses enfants, je me laissais docilement faire par la jeune femme. Je souris à sa remarque tout en regardant le résultat dans un miroir et en plaisantant à mon tour, cela semblait lui faire du bien et je crois qu’alléger la situation n’aurait rien de mauvais de toute façon :

«Pas trop long et un joli tour d’oreilles, c’est juste comme j’adore. »

Je la regarde ramasser une mèche et faire une remarque qui ne manque pas de me toucher. Je la regarde, cherchant presque le moment où elle dira qu’elle se moque de moi mais elle ne dit rien comme cela, au contraire je la sens sérieuse. Cette humaine pourrait réussir à me faire pleurer si elle continue d’être aussi gentille et humaine avec moi. Je la regarde, surprise et rougissant légèrement, je balbutie :

« Merci. »

Peut-être qu’elle ne comprendra pas, peu importe finalement, moi je savais ce que je voulais dire. Je me laisse docilement entrainée vers le lit, m’asseyant face à elle tout en me demandant ce qu’elle allait me dire. Ses mots me touchent énormément, sa douceur, sentir mes mains captives des siennes, je l’écoute en baissant la tête, plus par humilité devant tant de compliments que par soumission. Sa main est douce sur ma joue et son baiser me laisse simplement la bouche entrouverte, la fixant dans les yeux sans plus sourciller avant que je ne reprenne un peu mes esprits :

« Merci Maîtresse, mais la plus belle récompense que vous puissiez m’offrir serait de rester en vie et de faire attention à vous. Moi aussi je me suis beaucoup attachée à vous et je me sens déjà attachée à ces enfants à qui vous allez donner vie. Votre vie est bien plus précieuse que la mienne et c’est à moi de vous remercier de rendre ma vie si agréable avec toute la douceur et la sympathie dont vous faites preuve à mon égard. »

J’hésite un instant et puis avec tendresse je l’embrasse du bout des lèvres, j’ignore ce qui me prend, une envie sans doute, timidement je murmure tout en ayant conscience que le moment n’est peut-être pas bien choisis :

«Souhaiteriez-vous que nous adressions une … prière … à votre Déesse afin qu’elle bénisse notre plan ? » 
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Re: [E3] L'assassinat de Valentina [Valentina Roenna]

Messagepar Valentina Aquilius le 26 Octobre 2012, 08:50

Valentina aussi était touchée par les paroles de son androïde. Elle la sentait sincère dans ses propos tout autant qu'elle pouvait l'être dans les siens. Cela lui donnait l'impression d'être avec une amie proche et non pas avec une androïde. Cela se rapprochait de sa relation avec Thalie même s'il y avait la distance maîtresse/androïde. Elle fut cependant surprise du baiser que lui donna Roenna. Pas surprise dans le mauvais sens du terme mais elle trouvait cela inattendu mais très agréable. La Romaine ne s'attendait pas non plus à la proposition de la jeune femme surtout qu'elle la savait pas parfaitement à l'aise dans ce genre de relation. Elle ne tenait ni à la forcer, ni à ce qu'elle se sente obligée de quoi que ce soit.

« J'apprécie ton geste. J'aurai tendance à dire si j'écoute la voix de la raison que ce n'est pas vraiment le moment mais j'avoue aussi que je crois en avoir besoin même si ça paraît étrange à dire comme ça. Maintenant, comme je te l'ai déjà dit, je ne veux en rien te forcer ou t'obliger. C'est seulement si toi tu en as aussi envie. »

Mais visiblement Roenna semblait aussi en avoir envie au vu de sa réponse. Et puis, l'aide de Vénus ne serait certainement pas de trop vu le contexte. Avec beaucoup de douceur, Valentina alla de nouveau embrasse l'androïde mais cette fois le baiser fut plus long et plus profond. Les mains de la jeune femme partirent caresser le corps de sa compagne au travers du tissu qui le masquait encore. Elle ne voulait pas aller trop vite sachant Roenna pas vraiment à l'aise avec tout cela. Le plaisir se devait d'être réciproque pour véritablement honorer la déesse d'une part, et puis c'était bien plus satisfaisant pour les deux partenaires d'autre part. Tout en continuant de l'embrasser, Valentina finit par ôter les vêtements qui couvraient le corps de l'androïde, dévoilant une beauté parfaite comme chez bon nombre de ses congénères. La Romaine s'arrêta un instant, contemplant le corps qui lui était offert.

« Tu es vraiment magnifique Roenna. »

Un compliment sincère de la part de sa maîtresse. Avec toujours autant de douceur, elle fit allonger Roenna sur le lit et vint s'allonger contre elle, reprenant baiser et caresses douces, presque des effleurements parfois sur le corps féminin. La bouche cependant ne se contenta pas de sa jumelle et commença à aller se perdre sur le cou de l'androïde avant de descendre vers ses seins. L'adepte de Vénus prenait son temps, laissant sa compagne s'habituer à elle, ne voulant en rien qu'elle se sente forcée. D'ailleurs, elle pouvait encore tout arrêter si elle le voulait. Valentina ne le prendrait pas mal. Ce n'était pas forcément évident de se laisser aller.
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Re: [E3] L'assassinat de Valentina [Valentina Roenna]

Messagepar Roenna le 29 Octobre 2012, 19:30

Je ne savais pas vraiment comment me comporter, c’était la première fois qu’une idée pareille me venait, mettre une distance entre ma Maîtresse et moi alors que je devais la protéger, cela semblait paradoxal. Pourtant l’idée semblait vraiment bonne mais étrangement je ne voulais pas qu’on mette une distance entre nous, je préfèrerai au contraire que nous nous rapprochions. Ces pensées, complètement absentes de ma conception première, me font cogiter sérieusement, étais-je en train de faire une erreur ? Et ce que je demandais, cette proximité que je voulais avoir avec ma Maîtresse, était-ce vraiment le moment ? Etait-ce le bon comportement ? Dame Valentina est si douce et prévenante envers moi, si je ne voulais pas quelque chose, elle ne pourrait pas m’y obliger, libre de mon plot mais le cachant encore, je pourrai aisément lui résister et elle n’était pas guerrière, je pourrai aisément la dominer. Je n’en avais pas l’envie et j’acceptais aisément de me soumettre totalement à elle, dans le corps, le cœur et l’âme, livrée à cette magnifique jeune femme qui portait la vie en son sein. Je protègerai la Maîtresse et future mère de famille au péril de ma vie, même si pour l’heure, je semblais réclamer quelque chose. J’espérai que ma volonté n’était pas trop déplacée, j’espérais aussi qu’elle comprenne que je le voulais vraiment. Elle s’inquiète encore de savoir si je ne me force pas, comment lui avouer qu’elle me plait énormément et que malgré mon inexpérience, j’avais vraiment envie de pouvoir la caresser ? Avec un sourire, mes mains sur ses hanches et un doux petit baiser dans son cou avant de lui murmurer :

« J’en ai énormément envie. »

Cela semblait avoir réussis à faire son petit effet sur ma Maîtresse puisque loin de relancer la question, elle vient m’embrasser avec toujours cette même douceur mais cette fois dans un baiser bien plus profond que ne l’était le précédent. Cela me permet de deviner un peu de ses envies, je suis une néophyte c’est vrai mais j’ai envie de découvrir et d’apprendre comme je l’avais fais avec la magnifique prêtresse Thalie et son amie Lucretia. Le corps de ma Maîtresse n’avait rien à envier à celui des prêtresses qui m’avaient initiée à ces jeux pour la première fois, au contraire Maîtresse Valentina était en tout point attirante et bien que je trouve cela étrange, je me rendais compte d’une certaine faiblesse de ma part pour ses oreilles. Je ne me l’explique pas mais elle a de très belle oreilles, bien que je ne l’ai encore jamais vu nue ce qui pourrait bien changer les choses je n’en doute pas. Après des caresses toutes plus douces et plaisantes les unes que les autres, je finis par me retrouver nue, bien plus timides que les mains de ma Maîtresse, mes mains restent sagement sur ses hanches, non sans la caresser avec sensualité. Son compliment me fait rougir doucement et finalement prenant mon courage à deux mains, et surtout la tenue de ma Maîtresse, je la dénude à son tour, admirant son corps d’un regard gourmand :

« Vous êtes également très belle, Maîtresse. Vous avez un corps extrêmement attirante. »

D’ailleurs sans vraiment m’en rendre compte, je m’étais approchée, je l’embrasse, me penchant sur elle, la contraignant à s’allonger. Mes mains sont entre nos corps, caressant son ventre, mes lèvres scellées aux siennes, découvrant ses baisers, jouant avec la langue de la future mère. Je frisonne de désirs, découvrir plus, la goûter, je me découvre impatiente et avide de ce corps. Avec douceur, mes mains sur ses hanches la guide sur le lit, bien à l’aise, un coussin derrière la nuque pour qu’elle puisse me regarde faire si elle le souhaite. D’abord son cou dans lequel je passe de longues minutes, mes lèvres perdues entre des baisers et des mordillements, puis ses oreilles qui se retrouvent mordillées, embrassées de petits baisers et finalement après un long moment ainsi, ma bouche se pose sur un sein alors qu’une main s’empare de l’autre. Il y a de la maladresse dans la façon que j’ai de lécher sa peau, de l’embrasser, de pétrir son sein et agacer les pointes qui se dressent sous mes attentions. Maladroite mais pleine de bonne intention, de douceur et de tendresse. Parfois un regard, juste mes yeux qui se lèvent vers ma Maîtresse, sans même me rendre compte le côte horriblement érotique de cette vision pour elle.
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Re: [E3] L'assassinat de Valentina [Valentina Roenna]

Messagepar Valentina Aquilius le 07 Novembre 2012, 12:31

Visiblement l'androïde avait décidé de prendre les choses en main, dénudant sa propriétaire et commençant de douces caresses. Valentina la laissait faire, la laissait découvrir son corps. Elle sourit à son compliment. La Romaine se savait belle mais appréciait toujours de se l'entendre dire. Elle frémissait doucement sous le corps de sa compagne. Son souffle se faisait légèrement plus rapide. Elle se cambra alors que Roenna s'emparait de ses seins. Elle l'observait, prenant plaisir à la regarder faire autant qu'à subir sa bouche ou ses mains.

« Les prêtresses t'ont bien enseigné. Tu es une élève douée Roenna. J'aime... j'aime beaucoup... »

Un léger gémissement s'échappa de sa bouche, la faisant se cambrer un peu plus. La demoiselle était douée même si encore inexpérimentée, elle se débrouillait très bien avec le corps de sa maîtresse qui réagissait fort bien. Une douce chaleur inondait le bassin de Valentina alors que son intimité s'éveillait, se faisant humide et désireuse des plaisirs que la déesse Vénus donnait aux humains.

La situation pouvait sembler atypique alors que la blonde était mariée et heureuse en ménage mais le plaisir et l'amour étaient deux choses qui pouvaient se dissocier. Tout son amour allait à son mari, loin, dans le désert. Et le plaisir qu'elle prenait avec lui était sans commune mesure avec tous les autres. Mais la jeune femme avait aussi d'autres besoins. Adepte de Vénus, les plaisirs étaient omniprésents dans sa vie et échanger, partager, faisaient parti du culte auquel elle choisit d'adhérer. Et puis, elle ne pratiquait pas avec le premier venu. C'était toujours avec les gens qu'elle appréciait comme avec Roenna. De plus, malgré le moment, elle avait besoin de cet échange, besoin de se sentir en vie, besoin de rendre hommage à sa déesse d'être encore en vie elle et ses enfants. Le besoin d'aimer, de se sentir aimer, de se sentir vivre.

Elle soupirait toujours sous les caresses de la belle androïde, laissant ses mains courir dans ses cheveux blonds, maintenant bien plus court qu'à l'origine, et ses épaules dénudées. Mais Valentina avait envie de plus. Elle avait envie de toucher et d'embrasser sa belle androïde. D'un geste peut-être un peu brusque mais pas méchant, elle la ramena à sa hauteur sur elle. Elle la contempla un instant dans les yeux, son souffle toujours rapide avant d'aller l'embrasser dans un baiser passionné. Il était loin d'être dénué de tendresse, bien au contraire. Les langues dansaient, jouaient, virevoltaient, s'appréhendaient. Les mains de l'humaine caressait tout le corps de sa compagne, glissant le long de son dos, caressant ses reins jusqu'à atteindre son fessier qu'elle malaxa doucement. La bouche glissa le long de la mâchoire pour atteindre le cou qui fut couvert de baisers et de tendres mordillements.

D'un mouvement, Valentina bascula sa compagne sous elle, inversant les rôles, se mettant à parcourir sa peau comme elle l'avait fait, jusqu'à atteindre ses seins qui furent gratifiés des mêmes attentions que ce qu'elle avait subi. Elle y mettait force et douceur, utilisant toute son expérience d'adepte de Vénus pour que sa compagne prenne autant de plaisir qu'elle à tout cela ce qui semblait être le cas au vu des gémissements qui parvenaient à ses oreilles. La jeune femme continua donc ses caresses, léchant les seins, les suçant, les mordillant aussi parfois. Son corps réagissait parfaitement à tout cela et son intimité s'était faite bien plus humide et plus avide mais elle attendrait encore. Pour le moment la Romaine avait entrepris de descendre sur le corps de Roenna, passant sa langue sur son ventre plat, jouant avec son nombril jusqu'à atteindre son bas-ventre. Avec des gestes délicats, elle écarta les cuisses fines et musclées, regardant son androïde dans les yeux, rendant cela très érotique. C'est sans la quitter des yeux que la belle Valentina commença à œuvrer de sa bouche et de sa langue sur l'intimité qui lui était offerte et qui semblait frémir d'envie.
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Re: [E3] L'assassinat de Valentina [Valentina Roenna]

Messagepar Roenna le 07 Novembre 2012, 19:48

Une invitation comme celle qui m’avait été faite, quoi que j’ai initié cette situation, ne pouvait pas se refuser. L’idée de pouvoir découvrir le corps de ma Maîtresse était une tentation qui m’habitait depuis plusieurs jours, depuis ce jour au Temple en réalité, le premier après mon arrivée. La prêtresse Thalie et son amante Lucretia m’avaient initiée au plaisir que l’on pouvait ressentir avec une femme. Elles avaient été deux professeures particulièrement habiles et il m’était arrivé de repenser aux attentions de la prêtresse Thalie un peu comme une étrange envie de la revoir. Aujourd’hui pourtant, c’est bien de ma Maîtresse que je dois prendre soin et cette idée m’enchante encore d’avantage, elle est ma Maîtresse et une femme hautement attirante. Pouvoir enfin la déshabiller et découvrir son corps avec la maladresse de mes mains et ma bouche encore inexpérimentés est un délice dont j’espère qu’elle pourra tirer du plaisir. Cela semble le cas, sentir son corps réagir m’est très plaisant preuve que je ne suis pas si maladroite qu’on pourrait le croire ou plutôt que je veux le croire. Ses mots me font sourire, ils sont encourageants et très vraies, elle a parfaitement raison de souligner combien les prêtresses m’avaient appris. Evidemment je manquais d’exercice et de pratique mais j’avais retenu quelques petites choses bien capables de donner du plaisir.

« Merci, Maîtresse. Elles ont toutes deux mis beaucoup de cœur à m’apprendre. »

Et c’était peu dire ! Je me souvenais encore avec précisément d’absolument tout ce que j’avais découvert, toutes les sensations, toutes les émotions, chaque plus petit plaisir et la moindre ondée de plaisir qui m’avait traversée. Il faudra absolument que je retourne au Temple remercier Thalie et Lucretia, j’ignorais comment même si j’avais une très vague idée d’un paiement qui semblerait parfaitement adéquat, en plus de promettre d’être plaisant et excitant, pour des femmes priant Venus. Quand à ma Maîtresse et bien elle pouvait me découvrir sous un autre jour, plus celui de l’androïde garde du corps qui semblait au début lui donner tant de mal pour découvrir la maladroite amante qui souhaite lui donner du plaisir. Et je dois bien dire espérer en retirer également car l’idée même d’imaginer ma Maîtresse me caresser met ma tête sans dessus-dessous.

Son geste me surprend un peu, une seconde mon regard se relève vers elle, inquiète de lui avoir fais mal, d’avoir eus une caresse malhabile mais non, elle ne veut que m’embrasser. Embrasser m’impressionne plus que le reste, mes mains, ma langue quand elles caressent, je sais comment faire même maladroitement mais embrasser c’est différent. Ca requiert plus d’intimité, de s’ouvrir beaucoup plus, de partager ses envies, de comprendre celles de l’autre et à ce jeu j’étais plus nulle encore qu’à donner du plaisir. Du moins avec les femmes. Avec les hommes c’était plus simples, souvent ils menaient le jeu parfois très malhabiles d’ailleurs avec une femme … Je découvrais cela. Et lorsque ma Maîtresse m’embrasse, je sens une chaleur brulante se répandre en moi, c’est si bon, si chaud, si agréable, je réponds tant bien que mal, consciente de faire pâle figure face à la perfection de ce baiser. Et ses mains qui s’égarent sur mon corps ne m’aident aucunement à me concentrer pour répondre au mieux. Finalement elle abandonne mes lèvres alors que je reste figée, semblant quémander un autre baiser, puis penchant ma tête pour tendre la peau de mon cou et subir mieux encore ses assauts.

Docile et en un sens totalement soumise à ce qu’elle me fait subir, je n’oppose aucune résistance, j’en serai incapable, je la laisse faire mais surtout je l’admire. Mon souffle se fait brulant, je me sens bouillir de plus en plus, ses caresses sont si adroites, si précises que j’ai l’impression que jamais je ne pourrai lui donner le dixième de ce qu’elle me donne. Elle joue avec moi, lentement, surement, descendant vers mon intimité avec une patience qui me fait gémir entre frustration et plaisir, entre impatience et désir. Ce regard qu’elle me jette, je n’arrive pas le soutenir, rouge comme une tomate, incapable de soutenir la vue brulante et érotique de cet instant. Complètement allongée, effondrée, livrée à ma Maîtresse, je me mords les lèvres, je gémis, je soupire, murmurant :


« Maîtresse … C’est si bon … Je vous pensais trop douce pour … hmm … mettre quelqu’un à votre merci mais c’est votre plus grande arme. »

Et rien ne le prouve mieux qu’un gémissement de plaisir profond et intense d’une androïde garde du corps complètement soumise à une femme qui la caresse. Incapable de soutenir le spectacle érotique, mes yeux sont clos, mes mains tremblent en approchant du visage de ma Maîtresse, du bout des doigts la faisant relever la tête vers moi, cette vision est troublante, me fait frissonner :

« Laissez-moi vous donner du plaisir, je ne veux pas être la seule à en recevoir. Vous l’avez dis, c’est un échange. Laissez-moi donner autant que je reçois. »
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Re: [E3] L'assassinat de Valentina [Valentina Roenna]

Messagepar Valentina Aquilius le 09 Novembre 2012, 12:44

La Romaine esquissa un léger sourire en voyant son androïde fermer les yeux. Sa couleur avait viré au rouge et elle n'était pas habituée à ce genre de choses. Valentina ne se moquait nullement. Elle trouvait cela touchant au contraire. Cela lui rappelait ses premières fois au temple où elle était maladroite et tout aussi timide et réservée. Elle avait eu le temps d'apprendre depuis. Roenna n'était qu'au début de son apprentissage mais la jeune femme se sentait heureuse de lui apprendre à honorer sa déesse. Les gémissements de plaisirs de son androïde lui faisaient comprendre qu'elle aimait cela et Valentina en était heureuse aussi. Elle reprit ses attentions sur l'intimité de sa compagne, sollicitant de plus en plus son clitoris. Il y avait vraiment bien peu de différence entre une androïde et une humaine. Un doigt s'insinua dans l'antre humide de la jolie garde du corps dans le but avoué de lui donner du plaisir quand soudain Valentina sentit les mains de sa compagne dans ses cheveux. Elle sourit de sa demande. Roenna avait bien retenu les préceptes de la déesse. Même si la jeune femme éprouvait autant de plaisir à donner qu'à recevoir, elle savait bien ce que cela pouvait être de subir sans participer. Elle ne voulait pas l'imposer trop longtemps à l'androïde. Elle la gratifia de quelques coups de langue avant de remonter vers son visage, gratifiant de nouveau son corps de multiples baisers avant d'accéder à ses lèvres dont elle s'empara dans un baiser passionné. Elle apprenait à la langue de Roenna tout l'art du baiser. Elle était peut-être un peu maladroite mais Valentina aimait cela.

Son corps se plaquait contre celui de son androïde, se frottant doucement contre elle alors qu'elle poursuivait baisers et caresses. Leurs seins s'excitaient mutuellement tout comme les pubis qui se rencontraient, se collaient, se frottaient l'un l'autre continuant de faire monter le désir en la blonde sénatrice. Elle gémissait doucement dans la bouche de sa compagne, éprouvant un grand plaisir à cet échange. La déesse avait vraiment fait un grand don aux hommes à travers ce plaisir charnel qu'ils pouvaient éprouver. Elle alla chercher quelques baisers dans son cou avant de revenir à ses lèvres un bref instant.


« Tu as raison. L'échange est le maître mot. Mais tu sais, donner du plaisir, me procure aussi du plaisir. Mais je te comprends ma douce amie. »

Elle ne parlait plus comme à une androïde si tant est qu'elle ne l'ait jamais fait. La distance s'effaçait entre la maîtresse et son androïde. Les choses seraient bien différentes désormais mais Valentina le voyait comme quelque chose de bon augure. Elle donna un nouveau baiser à Roenna avant de se retourner. Elle lui offrit la vue de sa croupe laiteuse et de son intimité humide alors qu'elle même retournait s'occuper de l'intimité de cette dernière. Sa bouche repartie à la conquête de cette partie de son corps, appréciant le goût de son liquide d'amour et sollicitant son bouton des plaisirs pour lui en donner encore davantage. Le doigt repris sa place en la belle androïde avant qu'un deuxième ne vienne le rejoindre. Valntina mettait tout son cœur et tout son corps à l'ouvrage. Les premières fois étaient toujours importantes pour une femme et la jeune femme voulait que Roenna apprécie leur échange et y prenne le plus de plaisir possible. Cela ne ferait qu'honorer encore plus la déesse de l'amour.
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Re: [E3] L'assassinat de Valentina [Valentina Roenna]

Messagepar Roenna le 09 Novembre 2012, 14:33

Il y a des choses qui s’apprennent bien plus vites que d’autres par exemple je ne m’étais jamais faite à ce Maître violent qui pourtant m’avait libérée de mon plot. Jamais les coups ne m’avaient semblé agréables, probablement parce qu’ils ne visaient pas à l’être. Même avec le temps pourtant, ça restait toujours aussi douloureux et désagréable, on ne s’y faisait pas. Quand à la torture que réalisait à présent me belle Maîtresse et bien je crois qu’à celle-là, je ne voudrai jamais me faire pour la ressentir toujours avec autant d’intensité ! Elle est belle et attirante ma Maîtresse, une très belle femme qui attend de donner un jour la vie et qui sait à présent que ça arrivera. Ce secret qu’elle avait partagé avec moi, je le garderai bien entendu mais le fait qu’elle l’est partagée prouvait une confiance en moi qui se voulait particulièrement touchante et que je savais apprécier à sa juste valeur. Soumise aux bons vouloirs de ma Maîtresse, croyez-moi sur parole quand je vous dis qu’en cette seconde exactement rien ne saurait m’exciter plus que cela, je tâche de me souvenir des préceptes dont elle m’avait parlée, notamment celui de l’échange. J’aimais recevoir, j’adorais le plaisir qu’elle me donnait, mais je voulais lui rendre la pareille, pouvoir la caresser et être caressée en même temps. J’étais consciente de l’indécence complète et totale de ma demande mais je brulais d’envie de la sentir me caresser et de faire de même avec elle. Evidemment nous n’avions pas la même expérience, elle mènera le jeu, mais j’étais bonne apprentie et j’entendais de toute façon qu’elle laisse entendre à sa déesse que son androïde, celle à qui elle était apparue, avait à coeur de plaire à sa Maîtresse et prier la belle déesse Venus.

Evidemment, Valentina est ma Maîtresse, si cela lui plait d’avantage de me donner, je ne peux la contraindre à se laisser faire mais puisqu’elle parlait elle-même d’échange, comment ne pourrait-elle comprendre ma demande ? Mon corps complètement éveillé ne m’avait jamais semblé si vivant, mon intimité humide et brulante, mes seins aux tétons fièrement dressés et semblant supplier pour des attentions, chaque parcelle de peau semblant réactive d’une façon incomparable. Et la sentir au-dessus de moi, sa chaleur, sa peau nue, notre poitrines qui se caressent, nos lèvres qui se trouvent et nos langues qui s’aventurent à des danses érotiques. Je ne pourrai me sentir mieux. Ses mots me font sourire, elle comprend ce que je veux dire, elle comprend que recevoir est un plaisir et donner un autre. Je lui souris, l’embrasse, elle me parle avec tellement de douceur que je me sentirai presque humaine. Elle m’embrasse, un dernier baiser qui me laisse un peu sur ma fin, juste le temps de réaliser qu’en toute impudeur elle offre à ma vue et surtout à mes attentions, son intimité. Je savoure le spectacle délicieux de cette vue somptueuse et tellement indécente.

Déjà je la sens repartir à l’attaque de mon corps, et je réponds à ses caresses. Cette position est vraiment excitante, je ne l’avais jamais pratiquée avec une femme et pourtant elle était tellement agréable. Au plaisir de recevoir, et ma Maîtresse s’attelait très durement à ce labeur, se mêlait le plaisir de plonger sa langue entre les lèvres intimes de celle qui nous met à la torture. Ses doigts, sa bouche, sa langue me mettent au supplice, tant bien que mal je résiste, répliquant autant que je le peux comme si c’était un affrontement. Ma langue est maladroite, imprécise, peine à trouver ce bouton des plaisirs que Valentina trouve avec tellement d’aisance. Un doigt timide va et vient en elle tandis qu’elle m’offre deux doigts qui n’ont rien de timide. Je suis subjuguée, bien incapable de me défendre, mon inexpérience se laisser sentir, mais j’entends ma Maîtresse m’encourager par des gémissements qui me font frisonner. Bien rapidement, j’ondule sous son corps et ses attentions, intensifiant mes caresses dans une vaine tentative pour tenir bon, je finis par céder complètement. Enivrée de plaisir, mon doigt se fige en elle, mes lèvres se posent sur ses fesses, les embrassant, les mordillant, je ne bouge plus, figée par le plaisir sur le point d’éclater en moi. Encore deux caresses et mon corps m’échappe complètement, mon plaisir s’entend d’un cri, se sent par mon corps qui réagit à l’ondée violente qui l’irradie, mes joues rouges, figée contre les belles fesses de ma Maîtresse. Vaincue par ce plaisir, mon corps s’affaisse lourdement sur le lit alors que je murmure timidement à la jeune femme qui continue encore ses caresses :


« Maîtresse … »

Comme une supplique pour qu’elle arrête, qu’elle me laisse reprendre mes esprits, que j’ai une petite chance de me « défendre ». Je reprends un peu consistance et reprends mes caresses, en un sens cet orgasme m’a libérée, ma langue semble vouloir plonger toujours plus loin en elle, deux doigts désormais vont et viennent sans plus rien de timide. Ma bouche trouve désormais son bouton de plaisir avec beaucoup de précision, suçant et embrassant ce petit point si sensible. Tout est toujours horriblement maladroit, mais désireux comme jamais de la libérer à son tour d’un orgasme tout dédié à sa Déesse.
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Messagepar Valentina Aquilius le 12 Novembre 2012, 10:36

La blonde humaine ne laisse aucun répit à sa compagne la menant doucement mais inéxorablement vers les cimes du plaisir. Malgré l'inexpérience de Roenna, Valentina prend énormément de plaisir à l'échange. La maladresse, l'hésitation même de l'androïde rend le moment intense et excitant au possible. La belle gémit contre l'intimité de sa compagne qu'elle prend soin de flatter de ses doigts et de sa langue. Son corps ondule sur celui de l'autre, oscillant du bassin contre le visage de Roenna. Le plaisir était là et irradiait son corps, se distillait dans ses veines comme un poison lanscinent et pourtant si délicieux. Un poison ou plutôt une drogue à laquelle la jeune femme était devenue plus ou moins dépendante au fil du temps. Mais en tant qu'adepte de Vénus cela était plutôt une bonne chose. Il ne manquerait plus qu'une adepte n'aimant pas les plaisirs de la chair.

Les gémissements remplissaient désormais la chambre qu'ils proviennent de l'humaine ou de son androïde. Chacune prenait autant de plaisir, chacune voulait donner autant que recevoir comme un affrontement amical. Mais l'expérience de Valentina jouait pour elle et elle sentit arriver les limites de sa compagne. Le corps sous elle se trouva soudain agiter de soubresauts alors que le vagin de l'androïde se contractait plusieurs fois sur ses doigts. L'orgasme libérateur avait atteint la belle Roenna pour le plus grand plaisir de sa propriétaire. Elle aimait apporter du plaisir à ses partenaires. Mais elle n'en avait pas encore fini avec sa compagne. Elle ne lui laissa pas beaucoup de temps pour se remettre de son plaisir. Sa langue repartait déjà à l'assaut des lèvres intimes et du bouton, siègle des plaisirs féminins. Elle-même n'avait pas encore joui mais contait bien le faire et cette fois-ci, elle voulait que cela soit en symbiose avec Roenna. Il n'y avait rien de plus plaisant que de prendre de plaisir en même temps que l'autre. C'était elle la plus experte des deux, c'était à elle de se contrôler pour que cela arrive.

Les mains, les doigts, la langue de l'androïde allaient beaucoup plus vite désromais. Elle était beaucoup plus précise dans ses attouchements, ses caresses, faisant monter en flèche le plaisir qui inondait Valentina. Cette dernière maintint le rythme, faisant toujours profiter sa compagne de son expérience en matière de sexe. La langue oscillait entre bouton des plaisirs et antre humide et désireuse d'attentions. Les doigts aussi agissaient de même. Langue et doigts s'aleternaient pour apporter le plus de plaisir possible à l'androïde. Mas bientôt Valentina elle-même atteignit ses limites. Les gémissements se muaient en légers cris, demandant encore un peu plus d'attention de la part de sa partenaire. Une attention qui lui fut donné alors qu'elle même accentuait ses caresses autant en profondeur qu'en vitesse voulant la mener aussi vers le chemin d'un orgasme commun.


« Oh Roenna... Roenna... »

Le point de rupture était atteint et c'est dans un cri libérateur qu'éclata la jouissance de la jeune femme. Son corps fut secoué de spasmes alors que son intimité ruisselait de son plaisir. Elle sentit que Roenna aussi l'avait rejointe dans son plaisir. Elle s'en réjouissait. Le plaisir commun était quelque chose d'exceptionnel. Fatiguée mais heureuse, elle se laissa aller contre le lit, évitant de tomber sur son androïde. Son souffle était haletant mais reprenait petit à petit son rythme. Elle flottait dans la félicité d'après l'amour, le sourire aux lèvres. Elle se sentait si bien et espérait que Roenna éprouvait la même chose.
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Messagepar Roenna le 12 Novembre 2012, 19:28

Ma Maîtresse semblait bien décidée à me mettre sans dessus-dessous, il allait donc falloir que je me défende comme je le pouvais mais hélas, il semblait que je sois bien partie pour faire pâle figure. Je n’avais jamais été conçue pour être une esclave sexuelle, je n’avais pas de programmes adaptés au plaisir, je n’avais que ce que j’avais finis par apprendre au contact de mes précédents Maîtres. Je n’avais malheureusement rien eu le luxe d’apprendre avec une femme dans mon passé, sauf ce fameux jour où ma nouvelle Maîtresse m’avait menée au Temple de Venus. Là j’avais été prise en main, littéralement, par la prêtresse Thalie, magnifique blonde qui semblait avoir une passion dévorante, et je ne m’en étais pas plainte, pour les fesses. Ainsi que par Dame Lucretia, une femme magnifique au charme de femme mûre et dont le charisme semblait s’imposer naturellement et forcer la soumission. En tout cas moi, je n’avais pas su tenir face à sa superbe et puis j’étais androïde, je ne devais pas tenir tête à une humaine, ce n’était d’ailleurs pas ce que je voulais. Quoi qu’en cet instant avec ma Maîtresse, j’aimerai parvenir à lui tenir la dragée haute, lui rendre un peu de ce plaisir brulant et intense qu’elle partage avec moi, seulement voilà, elle est horriblement efficace pour trouver chaque plus petit endroit qui me rendra folle. C’est ce qu’elle fait d’ailleurs, elle me rend folle de plaisir, sa langue, ses doigts, si précis, travaillant tellement bien sur mon corps que rapidement le plaisir me traverse en une ondée brulante et violente face à laquelle je ne peux pas lutter. Un premier orgasme, honteux orgasme solitaire reçu de ma Maîtresse qui elle semble très loin de prendre autant de plaisir que moi. Même pour moi qui ne suis pas esclave sexuelle, c’est en un sens « humiliant » car c’est elle qui devrait prendre le plus de plaisir, elle devrait jouir la première, le plus intensément or pour l’heure, je suis totalement incapable face à elle qui me rend complètement ivre de plaisir.

Incapacitée quelques secondes par le plaisir qui m’a irradiée, je reprends mes caresses, espérant que ma Maîtresse ne me laisse désormais lui offrir un orgasme. Seulement je n’ai même pas le temps de lui arracher un gémissement que je me retrouve à nouveau en train de gémir sous ses caresses si précises et intenses. Elle ne m’a même pas vraiment laissée le temps de redescendre du petit nuage sur lequel j’étais que déjà elle s’affairait déjà à nouveau à mon plaisir, c’était extrêmement agréable c’est vrai mais aussi extrêmement gênant. Alors qu’elle venait de m’offrir un orgasme, elle se donnait déjà à cœur de m’en faire subir un second tandis que j’avais du mal à lui en procurer un premier ! Pour une androïde désireuse de satisfaire sa Maîtresse, le clamant et ne s’en cachant pas de sa volonté, c’était plutôt gênant. Pourtant je sentais le plaisir de ma Maîtresse grandir en même temps que le mien, plus ma langue se perdait en elle et taquinait son bouton de plaisir plus je la sentais prendre du plaisir. Pas aussi intensément que ce que ses caresses expertes me faisaient connaitre, mais c’était un succès dont je me délectais, le temps et l’entrainement seront deux alliés importants pour parvenir un jour à l’adresse de ma Maîtresse. C’est d’ailleurs avec plaisir que j’apprendrai aux côtés de ma Maîtresse, autant qu’elle le souhaitera et le voudra mais pour l’heure, je me concentrais déjà sur mon objectif actuel. Offrir à cette somptueuse femme un premier orgasme, le premier que je lui offrirai et souhaitons-le, pas le dernier ! A nouveau je me sens proche de la jouissance mais pour mon plus grand bonheur, je ne jouis pas seule, je suis accompagnée par ma Maîtresse qui m’arrache de violents frissons lorsque sa voix chaude et brulante laisse entendre mon nom tandis que l’orgasme la traverse. Qu’il est doux d’entendre son nom ainsi prononcé.

Alors qu’elle s’allonge sur le lit, haletante et visiblement heureuse, je reste figée dans ma position, bien incapable de bouger le moindre petit muscle. Un sourire de béatitude affiché, les yeux dans le vide et les pensées toutes captivées par l’intensité de ce qui venait d’arriver. Je frissonne lorsque je sens mon corps se rafraichir un peu, si l’on m’avait dis que c’était si bon de passer un moment avec une femme, je ne l’aurai pas cru avant de rencontrer Thalie et Lucretia, si je doutais encore aimer cela, ma Maîtresse venait de me prouver que je n’aimais pas. J’adorais. Et si j’adorais prendre du plaisir et me sentir glisser vers la jouissance alors qu’une langue glisse sans pudeur aucune entre mes lèvres intimités, j’aimais également donner du plaisir. Sentir un corps vibrer et onduler sous mes caresses, aussi, bien que n’ayant pas totalement la tête sur les épaules et poussée plus par le plaisir qui m’avait irradiée que quoi que ce soit d’autre, je décidais de venir embrasser ma Maîtresse. A pleine bouche mais avec sensualité, avec une avidité oppressante mais beaucoup de douceur, presque un baiser d’homme mais pourtant ne perdant pas sa féminité dans la douceur évidente que je voulais y faire transparaitre.


« Maîtresse, c’était délicieux. Laissez-moi vous caresser encore. Vous faire jouir encore. J’aime sentir que vous vous abandonnez à mes caresses, j’aime vous sentir jouir. »

De toute façon, mon intimité encore brulante d’excitation me demandait de continuer. Timidement, intimidée parce que je n’avais lu cette pratique que dans un livre, je m’installe de façon à ce que nos jambes soient en ciseaux, nos intimités se rencontrant, se caressant. Peu habituée à cette pose je fais pourtant de mon mieux pour onduler aussi lascivement que je le peux, frottant mon intimité contre celle de ma Maîtresse et en cet instant, amante.
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