par Caecilius le 23 Septembre 2012, 13:02
De ceux qui me connaissent, peu auraient pu imaginer qu’un tel moment puisse exister entre une androïde et moi. Sans doute mes herbes aidaient à me détendre et accepter mieux la présence de l’androïde et l’indécence de nos jeux, sans doute également le comportement de l’androïde avait fait son bonhomme de chemin dans ma tête, quoi qu’il en soit, je prenais plaisir à cet instant que nous échangions. Pourtant Vita restait paradoxal, de temps en temps prenant des initiatives véritablement délicieuses et à perdre la tête autant que toute notion de décence, et puis elle semblait parfois ne plus oser demander, allez plus avant. C’était déconcertant, je voulais qu’elle continue de céder à ses envies et ses désirs, cela me plaisait de la sentir attentive à elle et son vouloir, en un sens ça ne la rendait que plus humaine et plus elle me paraissait humaine, plus je prendrai de plaisir à n’en pas douter. Alors que je suis contre elle, mes doigts s’approprient sa poitrine qui semble un point sensible chez elle, le contact de ces rondeurs est vraiment somptueux, une très belle poitrine sans excès, idéalement proportionnée, avec deux tétons qui pointaient son plaisir et son excitation et que je prenais un plaisir énorme à taquiner, pincer, tirer. Je ne me reconnais même pas véritablement moi-même, habituellement je ne suis pas aussi osé, pour me voir ainsi avec une femme il me faut la connaître depuis un certain temps déjà, ici tout était allée à une vitesse prodigieuse. J’essaye de la faire dire ce qu’elle veut, ce qu’elle préfère, de penser égoïstement, quelque chose qu’elle aime, quelque chose dont elle a envie, n’importe quoi, tout ce qui peut lui venir dans ce délice de plaisir que j’espère lui faire ressentir. Je peux aisément concevoir qu’avec sa poitrine gâtée d’attentions et son intimité caressée avec la ferveur dont je fais preuve, elle puisse parfaitement ne pas arriver à réfléchir avec aisance. J’attends cependant une réponse, elle m’embrasse sans nul doute pour gagner un peu de temps, elle m’a demandée de ne pas arrêter et mes caresses se sont accentuées, plus précises, plus ciblées sur ce que je sens faire réagir plus son corps. Finalement sa demande vient, mes caresses ne cessent pas, je lui murmure, mes lèvres dans son cou :
- C’est d’accord, je ferai ce que je peux pour que ça arrive mais ça n’est pas une réponse, du moins pas à la question posée.
Une androïde sexuelle avait dû essayer bien des choses, il me semblait impossible que dans tout ce qu’elle connaissait, qu’elle avait essayé ou même qu’elle connaissait sans avoir jamais pratiqué, il devait y avoir une chose qu’elle avait aimer plus que le reste non ? Ou une chose qu’elle sait qu’elle adorera plus que le reste ? Quoi qu’il en soit, mes caresses ne faiblissent pas, encouragées par ailleurs par sa main qui vient s’assurer que ma vigueur reste prête à la prendre. Je savoure son contact mais je savoure plus encore ce délicieux sentiment que je ressens à réussir à lui faire ressentir tout ce qu’elle semble ressentir. Elle m’entraine vers la berge, je me laisse faire, sans abandonner mes caresses, elle se tourne, se colle contre moi, mes doigts reviennent de suite à son corps, à sa poitrine plus que généreusement offerte et le contact de ses fesses contre mon sexe dressé est véritablement délicieux. Elle se cambre, outrageusement si j’en juge par le contact soutenu de ses fesses contre ma verge et finalement, enfin devrai-je dire, elle se décide pour quelque chose qu’elle aime ! Sentir le partenaire derrière elle, est-ce que c’était si difficile que ça bon sang ? Sa demande me fait frisonner, comment résister à une femme aussi belle, cambrée outrageusement, ses fesses contre votre sexe ? Je l’ignore et je ne résiste pas. Ainsi qu’elle me l’a demandée, je la prends, venant directement la prendre jusqu’à butter contre ses fesses, un premier mouvement intense et profond. Mes mains ne quittent pas sa poitrine tandis que j’entame des vas et viens à un rythme lent, maitrisé mais suffisant pour sentir son effet sur l’androïde et sur mon propre corps. Puis rapidement la soif de plus, le désir de ressentir plus de sensations, mes mains viennent à ses hanches, mes mouvements deviennent plus intenses, plus sauvages.
Je l’entends prendre du plaisir, je sens son intimité et son corps entier qui réagit à mes coups de rein. Elle vient balancer mes mouvements, accentuant encore la brulure de mes vas et viens, mes mains peuvent abandonner ses hanches, une d’elle vient caresser ses fesses, les fesser parfois, l’autre se perd sur son bouton de rose. Je ferai ce que je pourrai pour la faire jouir, mais j’ai bien moins l’habitude qu’elle de ce genre de rapport et même si je multiplie en cet instant les caresses sur ses fesses et son bouton de rose, ma propre jouissance semble déjà sur le point de venir. Manque d’entrainement assurément, mais j’étais un homme de mes mots, si je ne parvenais à lui faire ressentir la jouissance de cette façon, alors je la caresserai, jusqu’à temps que ça ne soit le cas. J’accentue les mouvements de mes reins, mes caresses se font plus rapides sur son bouton des plaisirs, mon autre main continue de jouer avec ses fesses, de les masser et les caresser. Je sens ma jouissance venir, mais devant l’indécence de ce que nous partagions, cela n’était-il pas finalement normal ?