[E3] On ne chute jamais sans raison [Vita]

Ce forum contient les archives de tous les RPs ouverts par les personnages durant les préparatifs et le départ du corps expéditionnaire.

Re: [E3] On ne chute jamais sans raison [Vita]

Messagepar Caecilius le 22 Septembre 2012, 16:02

Ses envies semblent la porter, son Maître la laisse libre de décider et choisir à qui elle veut s’offrir et visiblement cette liberté lui plait tant et si bien qu’elle en profite largement. Je ne peux pas dire que je n’aime pas ça, au contraire ses contacts sont délicieux, elle a de l’expérience bien plus que moi et cela se ressent, je dois même dire ressentir une forme de fierté de savoir que je l’ai tant troublée par mes simples caresses du bout des doigts. Il semblait que je détienne là un pouvoir que je m’ignorais et que peut-être il me faudra apprendre à maitriser, mais je n’avais jamais été tant porté sur ce genre d’ébats qu’il aurait pu y sembler. Ma cécité n’aidait pas à se retrouver dans ce genre de moments, ma solitude plus ou moins volontaire et plus ou moins forcée n’aidait guère non plus, je restais donc surpris de ce qui se passait, un peu perdu quand à ma quête d’une réponse à la question : Quelle est la motivation de cette androïde ? Ou comme la question se formulait plutôt dans ma tête : Pourquoi moi ? Loin d’être expérimenté, pas franchement musclé, loin de figurer au panthéon des hommes les plus attirants de la Cité, apparemment aussi aveugle avec mes yeux qu’au plaisir que je lui donne et aux désirs que je crée, en somme tout l’inverse de ce qu’une ancienne esclave sexuelle pourrait avoir cherché et pourrait avoir envie d’avoir à ses côtés pour pratiquer ce genre d’exercices. Cependant elle le fait, faute d’avoir trouvé mieux ou homme volontaire ? Etais-je assez stupide pour me laisser aller à ce genre d’aventure alors que son Maître pourrait en réalité être un homme extrêmement influent dans la Cité qui me fera décapiter dans les jours à venir pour cela ? Il laissait la liberté à son esclave, cela ne voulait pas dire que ça ne le gênerait pas que ce fut moi. Et si j’étais en froid avec son Maître et que je l’ignorais ? Tant de possibilités que la douceur de sa bouche et la chaleur de sa langue font disparaître, envolés en fumée tandis que je la guide dans l’eau et que je l’invite à me dire comment elle souhaitait que je la prenne. Androïde certes, mais elle m’avait montrée avoir des envies et savoir décidée d’agir, j’attendais qu’elle me dise, me montre, me guide vers une position qui lui plaisait, qu’elle indique quelque chose qu’elle aimait plus qu’un autre.

Ses mains sur mes épaules, elle vient enrouler ses jambes autour de ma taille, elle est légère et l’eau rend ce moment d’une facilité incroyable. Mes mains trouvent son dos, ses fesses, constatant qu’elle se tient largement assez à moi, mes mains partent dans son dos, caressant sa peau, la massant avec douceur, savourant ce qu’elle fait, sa façon de se frotter à moi, puis doucement de s’empaler sur mon sexe. Ce moment est vraiment inhabituel et pourtant extrêmement bon, si on m’avait dit que j’aimerai tant la présence d’une androïde, jamais je n’y aurai cru, surement les herbes aidaient-elles à ce que je me sente si bien en sa présence, sans doute sa douceur et sa sympathie avaient également aidé, mais là je profitais vraiment d’un excellent moment. Ce moment est intense et agréable, mes pensées quelques peu inquiètes sont désormais entièrement envolées pour ne laisser place qu’à la brulure de mon sexe en elle. L’eau est également d’une agréable fraicheur, contrastant avec cette chaleur intense qui se répand entre nos corps. Mes mains retrouvent ses fesses, soutenant ses mouvements tandis que je la prends avec un peu plus de ferveur, je la sens avide, désireuse de tellement plus, elle était tombée sur le pire amant je crois que Rome ait pu mettre sur sa route, je faisais pâle figure à côté d’elle. Je savais profiter de l’instant et je savais comment je souhaiterai le voir devenir plus intense encore, mais je manquais d’expérience et elle semblait avoir bien mal à vouloir diriger et me montrer. Ce qu’elle fait pourtant, cet incroyable massage qu’elle m’offre est loin de me laisser indifférent, m’arrachant des gémissements et des soupirs de plaisir alors que mes doigts se font plus fermes sur ses fesses, jouant avec elles. Elle se redresse sur ses pieds, abandonnant cette position, elle reste face à moi, mes mains viennent sur ses hanches, caressant sa silhouette si parfaite, savourant sa peau si chaude et agréable, elle effleure mes lèvres des siennes, je lui rends cette douceur, écoutant ce qu’elle dit. Ca ressemble à un crédo de secte ou un mot d’ordre de lupanar ce qu’elle me dit.

Une main glisse dans son dos, l’attirant contre moi, la maintenant ainsi, nos corps en contact, je l’embrasse sans plus de retenue, avec toute la maladresse de ce manque d’habitude, de ce manque de savoir. Je sens sa poitrine contre mon torse, la caresse de sa langue et la prodigieuse douceur de ses lèvres, son concepteur l’avait véritablement rendue attirante et désirable en tout point et si ce n’était pas le but alors il avait quand même réussis. Je dévore son cou avec douceur, goûtant sa peau de ma langue, déposant quelques baisers, puis alors qu’une main se glisse entre nos corps pour caresser sa poitrine avec une certaine forme d’autorité, l’autre se glisse à son intimité pour la découvrir avec aucune pudeur et aucune gêne.


- Tu n’as pas répondu Vita. Dans tes expériences que tu as connu, n’y a-t-il pas eu une position que tu as préféré ? Un geste qui t’as rendue folle et que tu aimerais vivre à nouveau ? Oublie un instant que je suis humain et toi androïde, pense à ton plaisir, fais-toi égoïste juste le temps de répondre à ma question : Qu’aimerais-tu que je te fasse là de suite ?

Je joue avec ses tétons et son bouton des plaisirs, deux doigts allant parfois visiter son sanctuaire, tandis que j’attends sa réponse.

- A moins que tu ne souhaites tout simplement que tout cela s’arrête ?
Avatar du romain
Caecilius
Humains
 
Messages: 134
Inscription: 31 Août 2012, 19:42
Prénom: Caecilius
Nom de famille: Aurèle
Compte principal: Secret

Re: [E3] On ne chute jamais sans raison [Vita]

Messagepar Vita Proteus le 22 Septembre 2012, 20:55

Disposer de soi, de son corps, voilà une chose peu commune pour l'androïde que je suis. C'est pourtant ce que je suis en train de faire, me livrant sans retenue aux caresses d'un humain que je viens à peine de rencontrer : Caecilius Aurele. Un homme hostile au premier regard mais qui, une fois que la glace est brisée, se révèle d'une compagnie des plus agréables quel que soit le sujet. Et je ne dis pas cela parce que ses doigts qui glissent en ce moment sur mon corps me rendre folle de désir. Contre lui, je me laisse aller quand ses doigts se font intrusifs, accentuant mon plaisir à chacun de leur passage sur mon bouton de rose. Sans compter cette main qui passe sur ma poitrine devenue particulièrement sensibles à la moindre attention. Caecilius me parle, refusant ma réponse au prétexte qu'elle ne lui convient pas. J'aurais du m'y attendre. Et il revient à l'attaque, m'imposant de me montrer égoïste, d'oublier notre différence. Je peine à lui répondre, d'autant plus que ses doigts s'invitent en moi, maintenant mon excitation.

Non... Ne... Ne vous arrêtez pas...

Je me garde de préciser que si il le fait, je l'allonge sur le bord et je lui saute dessus. Il ne va tout de même pas me laisser dans cet état ! Une réponse ! Il m'en faut une et vite sinon je sens que je vais le regretter. Sauf qu'il y a un hic. J'ai été conçue pour apprécier le sexe dans son ensemble et sous toutes ses formes. Réfléchis ! Oublie un peu ses doigts et réfléchis ! Plus facile à dire qu'à faire en fait. Histoire de gagner un peu de temps, ma bouche s'empare de celle de mon amant, ma langue partant à la recherche de la sienne fiévreusement, passionnément. Bon d'accord, cela ne m'aide pas vraiment à réfléchir. Je cesse brusquement, fixant Caecilius intensément.

Je... Je n'ai pas de position favorite mais... j'aimerais... au moins une fois... pouvoir aller au bout de mon plaisir et jouir...

Je me mords les lèvres nerveusement. Et oui, j'ai beau être une androïde sexuelle, il m'a toujours été interdit d'aller au bout de mon plaisir. Cela dérangeait la clientèle selon mon Concepteur. Tu parles ! Ces porcs ne pensaient qu'à se soulager et repartir au plus vite. On ne sait jamais, leurs femmes auraient pu débarquer et leur filer une sacrée honte. Le dire à voix haute me soulage et je ne peux m'empêcher de sourire devant l'air surpris de mon partenaire. Je dispose d'un programme détaillé sur toutes les positions, tous les courants, tous les scénarios possibles en matière de sexe. Tout cela, je l'ai expérimenté sauf une chose : avoir un vrai moment de plaisir. Oser demander et obtenir, voilà ce qui me pose un souci.

En revanche, si parler me pose problème, je peux toujours agir. Avec prudence car Caecilius ne voit pas mais malgré tout, dans l'eau, il ne risque pas de se faire mal. Ma main droite descend pour venir emprisonner sa verge sur laquelle je fais de lents va-et-vient. Histoire qu'il ne perde pas la forme non plus. Il ne manquerait plus que cela ! Mes hanches s'agitent toujours au rythme de ses doigts qui continuent à s'inviter dans ma grotte régulièrement. J'entraîne Caecilius vers la berge. Il va avoir besoin d'appui sous peu. Je me colle de nouveau contre lui tout en tournant sur moi-même, sa verge venant se presser contre mes fesses. Mon partenaire est pour l'heure le dos contre la rive et ne semble pas fâché que je reprenne la main. Je relève la tête, attirant la sienne, quémandant un baiser du bout de la langue. Cette position accentue ma cambrure naturelle, ce qui n'est pas pour lui déplaire si j'en juge aux réactions de son corps.

En revanche... j'aime sentir mon partenaire ainsi, le savoir derrière moi...

Prend ça mon cher ! Je guide ses mains sur ma poitrine dont les mamelons réclament toujours plus de caresses. Caecilius disposant d'un point d'appui, j'espère qu'il va se laisser aller et prendre quelques initiatives. Ce que je cherche à provoquer en frottant ma croupe de façon impudique contre son sexe dressé.

Prenez-moi...

Sortis tous seuls, mes mots résument parfaitement mon état d'esprit. Je me cambre de plus en plus, cherchant à l'inciter à accéder à ma requête. Après tout, il n'avait qu'à pas me demander ce que je voulais non plus ! Maintenant, il le sait alors qu'il agisse !
Avatar du romain
Vita Proteus
Décédé
 
Messages: 79
Inscription: 09 Août 2012, 14:10
Prénom: Vita
Nom de famille: Proteus
Surnom: Carnalis
Compte principal: Lucretia
Compte secondaire: Oui

Re: [E3] On ne chute jamais sans raison [Vita]

Messagepar Caecilius le 23 Septembre 2012, 13:02

De ceux qui me connaissent, peu auraient pu imaginer qu’un tel moment puisse exister entre une androïde et moi. Sans doute mes herbes aidaient à me détendre et accepter mieux la présence de l’androïde et l’indécence de nos jeux, sans doute également le comportement de l’androïde avait fait son bonhomme de chemin dans ma tête, quoi qu’il en soit, je prenais plaisir à cet instant que nous échangions. Pourtant Vita restait paradoxal, de temps en temps prenant des initiatives véritablement délicieuses et à perdre la tête autant que toute notion de décence, et puis elle semblait parfois ne plus oser demander, allez plus avant. C’était déconcertant, je voulais qu’elle continue de céder à ses envies et ses désirs, cela me plaisait de la sentir attentive à elle et son vouloir, en un sens ça ne la rendait que plus humaine et plus elle me paraissait humaine, plus je prendrai de plaisir à n’en pas douter. Alors que je suis contre elle, mes doigts s’approprient sa poitrine qui semble un point sensible chez elle, le contact de ces rondeurs est vraiment somptueux, une très belle poitrine sans excès, idéalement proportionnée, avec deux tétons qui pointaient son plaisir et son excitation et que je prenais un plaisir énorme à taquiner, pincer, tirer. Je ne me reconnais même pas véritablement moi-même, habituellement je ne suis pas aussi osé, pour me voir ainsi avec une femme il me faut la connaître depuis un certain temps déjà, ici tout était allée à une vitesse prodigieuse. J’essaye de la faire dire ce qu’elle veut, ce qu’elle préfère, de penser égoïstement, quelque chose qu’elle aime, quelque chose dont elle a envie, n’importe quoi, tout ce qui peut lui venir dans ce délice de plaisir que j’espère lui faire ressentir. Je peux aisément concevoir qu’avec sa poitrine gâtée d’attentions et son intimité caressée avec la ferveur dont je fais preuve, elle puisse parfaitement ne pas arriver à réfléchir avec aisance. J’attends cependant une réponse, elle m’embrasse sans nul doute pour gagner un peu de temps, elle m’a demandée de ne pas arrêter et mes caresses se sont accentuées, plus précises, plus ciblées sur ce que je sens faire réagir plus son corps. Finalement sa demande vient, mes caresses ne cessent pas, je lui murmure, mes lèvres dans son cou :

- C’est d’accord, je ferai ce que je peux pour que ça arrive mais ça n’est pas une réponse, du moins pas à la question posée.

Une androïde sexuelle avait dû essayer bien des choses, il me semblait impossible que dans tout ce qu’elle connaissait, qu’elle avait essayé ou même qu’elle connaissait sans avoir jamais pratiqué, il devait y avoir une chose qu’elle avait aimer plus que le reste non ? Ou une chose qu’elle sait qu’elle adorera plus que le reste ? Quoi qu’il en soit, mes caresses ne faiblissent pas, encouragées par ailleurs par sa main qui vient s’assurer que ma vigueur reste prête à la prendre. Je savoure son contact mais je savoure plus encore ce délicieux sentiment que je ressens à réussir à lui faire ressentir tout ce qu’elle semble ressentir. Elle m’entraine vers la berge, je me laisse faire, sans abandonner mes caresses, elle se tourne, se colle contre moi, mes doigts reviennent de suite à son corps, à sa poitrine plus que généreusement offerte et le contact de ses fesses contre mon sexe dressé est véritablement délicieux. Elle se cambre, outrageusement si j’en juge par le contact soutenu de ses fesses contre ma verge et finalement, enfin devrai-je dire, elle se décide pour quelque chose qu’elle aime ! Sentir le partenaire derrière elle, est-ce que c’était si difficile que ça bon sang ? Sa demande me fait frisonner, comment résister à une femme aussi belle, cambrée outrageusement, ses fesses contre votre sexe ? Je l’ignore et je ne résiste pas. Ainsi qu’elle me l’a demandée, je la prends, venant directement la prendre jusqu’à butter contre ses fesses, un premier mouvement intense et profond. Mes mains ne quittent pas sa poitrine tandis que j’entame des vas et viens à un rythme lent, maitrisé mais suffisant pour sentir son effet sur l’androïde et sur mon propre corps. Puis rapidement la soif de plus, le désir de ressentir plus de sensations, mes mains viennent à ses hanches, mes mouvements deviennent plus intenses, plus sauvages.

Je l’entends prendre du plaisir, je sens son intimité et son corps entier qui réagit à mes coups de rein. Elle vient balancer mes mouvements, accentuant encore la brulure de mes vas et viens, mes mains peuvent abandonner ses hanches, une d’elle vient caresser ses fesses, les fesser parfois, l’autre se perd sur son bouton de rose. Je ferai ce que je pourrai pour la faire jouir, mais j’ai bien moins l’habitude qu’elle de ce genre de rapport et même si je multiplie en cet instant les caresses sur ses fesses et son bouton de rose, ma propre jouissance semble déjà sur le point de venir. Manque d’entrainement assurément, mais j’étais un homme de mes mots, si je ne parvenais à lui faire ressentir la jouissance de cette façon, alors je la caresserai, jusqu’à temps que ça ne soit le cas. J’accentue les mouvements de mes reins, mes caresses se font plus rapides sur son bouton des plaisirs, mon autre main continue de jouer avec ses fesses, de les masser et les caresser. Je sens ma jouissance venir, mais devant l’indécence de ce que nous partagions, cela n’était-il pas finalement normal ?
Avatar du romain
Caecilius
Humains
 
Messages: 134
Inscription: 31 Août 2012, 19:42
Prénom: Caecilius
Nom de famille: Aurèle
Compte principal: Secret

Re: [E3] On ne chute jamais sans raison [Vita]

Messagepar Vita Proteus le 23 Septembre 2012, 14:55

Pourquoi lui et pourquoi aujourd'hui... Je n'ai pas de réponse à ce qui est en train de se passer. Que cet homme me fasse autant d'effet n'a rien de logique, de raisonné. Ma propre indécence me fait sourire ce qui est comble pour moi vu que j'ai passé les trois quarts de ma vie nue, dans un Lupanar. Pourtant, je ne me vois absolument pas lui dire de tout arrêter maintenant. Nous formons un couple pour le moins surprenant : lui, l'humain qui déteste les androïdes et moi, l'androïde au plot inactif qui apprécie guère les humains. Qui aurait pu dire que nous parviendrions à nous entendre au point de nous retrouver dans un petit lac, nus, enlacés, dans une situation pour le moins indécente et excitante. Personne. Tout cela parce que je lui ai permis de me regarde, de voir mon visage. Bon d'accord, ses doigts ont fini par s'égarer sur mon corps, pour ma plus grande satisfaction au passage. Sa maladresse me touche. Il est évident que ce n'est pas habituel chez lui de se retrouver aussi intime avec une femme. Sa cécité y est certainement pour beaucoup. Les humains attachent bien trop d'importance à l'étiquette selon moi. Ce qui explique la présence fréquente d'hommes, et de femmes, malhabiles dans les bordels. Je me félicite de lui avoir fourni un point d'appui tout de même. Caecilius semble avoir compris que ses caresses me procurent de délicieuses sensations et ne se prive pas pour posséder mon corps avec ses doigts, ses mains. Cambrée contre lui, je ne peux dissimuler mon trouble et mon envie de lui appartenir... Dire que je m'étais juré de ne plus appartenir à quiconque !

Possédée, son membre s'invite en moi, profondément, tandis que je me cambre encore plus. Mes seins sont douloureux, leurs pointes durcies sous les caresses de mon partenaire sont devenues hypersensibles, m'arrachant des gémissements à chaque contact. Ce n'est pas le moment qu'il me pose une question, je ne pourrai y répondre même si je le souhaitais. Ses vas et viens me crucifient sur place, mon corps ne m'obéissant plus, cherchant encore et toujours à accentuer la possession de Caecilius en moi. Et quand ses mains se décident à quitter ma poitrine, c'est pour venir s'occuper de mon bouton, me mettant en transe instantanément. Nos corps bougent et ondulent au même rythme, en parfaite harmonie. J'aimerais que ce moment ne finisse jamais mais je ne suis pas idiote. Les contractions de sa verge m'informent que son plaisir monte en flèche. Mes fesses ne sont pas non plus oubliées, théâtre d'attentions quelque peu particulières auxquelles je ne m'attendais pas. Subtilement dosées, ses fessées augmentent mon excitation au point que je me retiens de lui demander de les poursuivre. Mon corps s'embrase d'une sensation inconnue. Tout semble s'accélérer alors que le temps s'arrête. Mon mode « enregistrement » se déclenche automatiquement. L'analyse, ce sera pour plus tard. Ses coups de reins s'intensifient tandis que je l'incite à se montrer plus pressant sur mon bouton, posant mes doigts sur les siens.

Doucement... Je...

Mon corps contredit mes mots, mes doigts invitant Caecilius à ne pas ralentir, mes hanches devenant de plus en plus fébriles. Je tente malgré tout de reprendre le contrôle de la situation, en vain cependant. Son sexe se fait de plus en présent en moi, de plus en plus violent aussi. Caecilius essaie bien de se contrôler mais je ne l'y aide vraiment pas. Ma bouche vient chercher la sienne, gourmande. Ce qui ne fait qu'accentuer le contact de nos deux corps. Depuis combien de temps sommes-nous ici ? Je ne saurais le dire. Pourtant, je sais qu'il me faudra rentrer à la forge à un moment. Plus tard, pas maintenant. Nos corps ne font plus qu'un désormais, unis le temps d'un moment de plaisir. Caecilius accentue brusquement ses coups de reins, non sans surprise d'ailleurs, tandis que mes jambes me portent de moins en moins. Non que la position me pose un souci mais je tremble tellement que j'ai l'impression que je ne vais pas pouvoir rester ainsi encore longtemps. Un dernier coup, plus intense que les autres, et mon partenaire se laisse aller en moi. Ses doigts se crispent sur mon bouton, irradiant l'ensemble de mon corps d'un plaisir qui m'est inconnu. À bout de souffle, je me laisse aller contre le torse de mon amant, gémissant doucement, dans un état second, insensible à tout ce qui m'entoure sauf à cet homme qui me tient contre lui. Lentement, je me dégage de son emprise avant de me retourner, déposant un baiser sage sur ses lèvres avant de laisser ma tête aller contre lui. Les yeux fermés, je savoure ce moment, espérant juste qu'il en soit de même pour Caecilius. Qu'il n'est pas contrarié du fait que je me suis autorisée à jouir.

Je... Merci...

Que dire d'autre de toute façon. Rien sans doute. Il n'en reste pas moins que j'ignore comment il va réagir maintenant. Après tout, qui me dit qu'il ne s'est pas montré gentil avec moi pour pouvoir profiter de mon corps...
Avatar du romain
Vita Proteus
Décédé
 
Messages: 79
Inscription: 09 Août 2012, 14:10
Prénom: Vita
Nom de famille: Proteus
Surnom: Carnalis
Compte principal: Lucretia
Compte secondaire: Oui

Re: [E3] On ne chute jamais sans raison [Vita]

Messagepar Caecilius le 23 Septembre 2012, 15:38

Il était impossible de décrire la suite d’évènements qui avait conduit à tout cela sans dire que le hasard avait fait les choses d’une façon vraiment étrange et que les Dieux avaient toujours et encore un sens de l’humour que je ne parvenais pas à saisir. Nous étions visiblement un couple pour ce moment de plaisir dont les deux partenaires étaient des opposés complets. Femme et homme. Expérimentée et néophyte. Inquisitrice et timide. Décidée et hésitant. Androïde et humain. Tout semblait nous opposer et pourtant nous partagions un jeu brulant, un jeu dévorant, dans la plus pure indécence et dans cette eau fraiche que nos deux corps semblaient prêts à faire chauffer. Son corps était aussi brulant que le mien, je sentais les réactions que je suscitais chez elle, je sentais la façon dont ses seins demandaient des caresses, dont ses pointes réclamaient de ne pas être oubliées, je sentais son désir et sa façon de me le communiquer était absolument plaisant. Le contact de ses fesses contre mon sexe dressé était tout simplement incomparable, c’était une sensation hors norme, plaisante, excitante, ce qu’elle me demandait, je n’avais plus envie que de l’exaucer, après tout elle avait été jusque là plus que sympathique et avait entrainé nos jeux. Ce qu’elle m’avait demandée, le droit de profiter d’un orgasme pour conclure cet échange me semblait bien une moindre des choses aux vues de l’enthousiasme brulant et dévorant qu’elle mettait à entretenir mon excitation. Ses soupirs et ses gémissements me faisaient frisonner et la savoir cambrée et prête à m’accueillir n’aidait en rien ma volonté à lui donner du plaisir jusqu’à la combler. Quelques instants encore je la torture de caresses avant de lui donner ce qu’elle réclamait, de la prendre, de la posséder.

Comme pour accentuer plus encore ma première venue en elle, je la sens qui se cambre plus encore, sa souplesse était décidément prodigieuse. J’entame des mouvements lents et maitrisés qui font monter le plaisir lentement mais surement, ce n’est que progressivement que j’en viens à la prendre véritablement, délaissant sa poitrine pourtant devenue d’une sensibilité terrible pour prendre ses hanches. Je donne un rythme et guide son corps à venir à l’inverse du mien, son bassin recule quand j’avance, les mouvements gagnent en intensité et puis elle bouge seule, me permettant de récupérer une main que je porte alors à son bouton des plaisirs, mon autre main allant vers ses fesses. La posséder de cette façon, imaginant parfaitement la scène dans ma tête, du moins ce qu’un passant verrait certainement, je me rends compte de toute l’indécence de ce moment. Nous pourrions bien être surpris, mais nous étions de toute façon déjà beaucoup trop loin pour arrêter, même si quelqu’un venait nous parler maintenant, ou qu’elle me disait que quelqu’un nous observe, je me voyais mal arrêter alors que j’étais horriblement conscient de combien son corps approchait de la délivrance. De combien mon corps était proche de la délivrance. Une fessée sur ses belles fesses, un geste qui m’est venu naturellement et qui visiblement ne l’ennuie pas, de temps en temps au milieu de mes caresses, une autre fessée se perd donc. C’est pourtant mes doigts sur son bouton des plaisirs qui semblent capter toute son attention, elle dit doucement mais ses doigts semblent plutôt demander plus. Je me laisse guider de cette façon dont elle me fait accentuer mes caresses, et j’accentue mes caresses encore quand ses doigts abandonnent les miens. Je sens son corps trembler, je sens sa libération si proche et la mienne sans doute plus proche encore.

Encore quelques mouvements que j’intensifie comme je peux sans jouir, mais finalement je cède, dans un dernier mouvement plus virulent que les autres ne l’avaient été, je jouis finalement. La réaction de son corps me fait comprendre que je l’ai exaucée, cela me rassure quelque part, je n’aurais pas voulu qu’elle ne trouve pas son plaisir dans cet échange qu’elle semblait avoir pris un malin plaisir à faire devenir réalité. Est-ce que cela avait pu lui manquer de ne pas connaître ce genre de jeux ? Comment son Maître pouvait-il ne pas s’y aventurer alors que visiblement le corps de Vita ne réclamait que cela ? Je l’ignorais, mais le souffle coupé, le coeur battant la chamade et l’androïde contre moi, ses jambes tremblantes, sa tête sur mon épaule, je me sens vraiment bien. Ce qu’elle me dit ne va pas manquer de me surprendre, elle me remercie, alors là j’avoue que j’ignore vraiment pourquoi. Elle est à l’origine de ce qui vient d’arriver, m’a offert un moment de plaisir absolument unique, et je crois qu’elle s’en sera rendue compte, elle m’a fait passée un moment plutôt rare qui n’arrivait pas si souvent que cela. Mes mains caressent son dos avec beaucoup de douceur, son corps est encore brulant, d’ailleurs je ne peux que dire que le mien également, je me sens fiévreux d’une façon délicieusement agréable. J’ignore quoi répondre à son remerciement, je préfère donc le laisser de côté :


- Et si on faisait quelques brasses ? L’eau est fraiche et je suis brulant. D’ailleurs tu l’es également.

Me dérobant à son étreinte, je fais quelques brasses, plongeant sous l’eau qui me semble d’abord froide puis lentement devient très agréable. Je l’entends nager juste à côté de moi, je me tourne vers elle, devenu curieux de ce qu’elle m’a dit :

- Pourquoi est-ce que tu m’as remercié ? J’ai passé un excellent moment moi aussi, je pense que tu es assez bien placée pour le savoir non ?

Me laissant dériver, sur le dos, je demande encore tout en « fixant » le ciel que je n’ai jamais vu et ne verrai jamais :

- C’était vraiment la première fois que quelqu’un t’autorises à jouir ? J’avoue que … Je ne comprends pas, quel est le principe de prendre du plaisir sans en donner, c’est terriblement … égoïste. Même si tu es une androïde et une esclave sexuelle d’un lupanar c’est … J’en sais rien, si tu n’avais pas pris de plaisir, je ne crois pas que j’aurais pu en prendre moi-même … Enfin pas autant … Tu as su trouver les mots en tout cas pour me donner envie … Enfin … Disons que ta bouche a su me donner envie.

J’ai vraiment dis ça ? Manque d’habitude définitivement trahie, si jamais elle n’avait pas encore réalisé ce dont je doutais.
Avatar du romain
Caecilius
Humains
 
Messages: 134
Inscription: 31 Août 2012, 19:42
Prénom: Caecilius
Nom de famille: Aurèle
Compte principal: Secret

Re: [E3] On ne chute jamais sans raison [Vita]

Messagepar Vita Proteus le 23 Septembre 2012, 17:12

Le hasard réserve parfois de véritables pépites de bien-être. J'ignore comment nous en sommes arrivés là, pourquoi aussi mais je refuse de me poser toutes ces questions pour le moment. Plus tard, je le ferai, c'est certain mais là, je ne souhaite qu'une chose : profiter des bras de Caecilius et de sa douceur. Nos corps l'un contre l'autre sont encore bouillants de ce moment intime que nous venons de passer ensemble. Je me remets doucement de cette jouissance dont j'avais été privée jusqu'à ce jour, en bonne androïde sexuelle que je me devais d'être. Lovée contre Caecilius, je sens ses mains sur mon dos, caresse bien sage maintenant. Il me propose de nager un peu, histoire de refroidir un peu nos corps. Je l'observe quelques instants avant de le rejoindre. Je dois veiller à ce qu'il ne s'égare pas trop loin tout de même. Le courant du Tibre est puissant par endroit et je le sais pertinemment. Sa question me fait sourire mais je n'ai guère le temps d'y répondre que déjà, il reprend la parole. Décidément, il est très surprenant.

Il me semblait normal de vous remercier...

Je dote que cela lui suffise comme réponse.

Vous n'êtes pas un habitué des Lupanars... Sinon vous sauriez que ceux qui y viennent ne s'intéressent qu'à leur plaisir et à rien d'autre. Un jour, j'ai commis l'erreur de demander la permission de prendre aussi du plaisir... Mon propriétaire de l'époque n'a pas du tout apprécié...

Je me tais quelques instants. Pourquoi lui expliquer ce qui est évident à tout le monde ?

J'ai cru qu'il allait me démembrer tellement il s'est montré violent... Depuis... je n'avais jamais osé demander cette permission. Jusqu'à aujourd'hui. Et oui, j'ai passé un excellent moment, bien plus que je ne peux l'exprimer d'ailleurs. Vous avez d'ailleurs pu constater par vous-même que ma bouche est plus efficace quand je ne parle pas.

Je ris doucement. Son manque d'habitude des jeux charnels est visible mais je ne peux lui en tenir rigueur. Avec un peu plus de pratique, Caecilius serait un amant redoutable et bien plus directif qu'à cette heure. Je m'approche de lui pour stopper sa progression en douceur. Je lui fais remarquer que les eaux du Tibre sont proches et qu'il faut se montrer prudent. Je l'entraîne avec moi jusqu'au point de rencontre des deux eaux, là où le courant se réveille en douceur. Je sais que cela suffit à ce qu'il note la chose et qu'il soit en sécurité. Bien que revenir ici seul risque fort de lui être impossible vu que le chemin n'est pas des plus aisés pour un aveugle.

Je vais sans doute sembler un peu trop curieuse mais je ne comprends pas comment vous pouviez ignorer la puissance de votre toucher. Je sais que vous n'êtes pas habitué aux plaisirs intimes, c'est d'ailleurs aussi l'une des raisons qui me fait encore plus apprécié ce qui vient de se passer. Mais quand même !

Une simple impulsion me suffit à le rejoindre et c'est tout naturellement que je me colle contre lui.

Bien des femmes vendraient tout ce qu'elles possèdent pour passer un moment aussi intense. Et je sais de quoi je parle !

Je dépose un baiser sur ses lèvres, à la fois gourmand et furtif. Quelque chose me revient brusquement en tête.

Vous m'apprendrez quand même comment me servir des plantes...

Je demande du bout des lèvres, timidement. Reste que si il lui vient l'idée de me répondre négativement, le noyer sera une option plus qu'envisageable. Avec tout ça, j'en avais presque oublié le fait qu'il n'apprécie pas les androïdes. En fait, j'espère bien faire exception à la règle pour une fois. Et vu qu'il ne m'a pas encore envoyé paître, je reste optimiste dans l'immédiat.
Avatar du romain
Vita Proteus
Décédé
 
Messages: 79
Inscription: 09 Août 2012, 14:10
Prénom: Vita
Nom de famille: Proteus
Surnom: Carnalis
Compte principal: Lucretia
Compte secondaire: Oui

Re: [E3] On ne chute jamais sans raison [Vita]

Messagepar Caecilius le 23 Septembre 2012, 18:15

Ce moment avait été intense, riche de vie et de plaisir, je connaissais rarement ce genre de plaisir, moins encore avec une femme que je venais tout juste de rencontrer, mais Vita avait su rendre tout cela d’une intensité sans pareille. A bien repenser à la façon dont c’était arrivé, c’était elle qui avait réussis à instaurer ce jeu, à nous conduire à tout cela, gentille petite androïde apparemment attachée au bien être de son Maître, mais ayant clairement ses envies et ne se privant aucunement à chercher à les vivre ! Je ne pouvais l’en blâmer, je serai vraiment très malappris de faire cela car son corps avait été un régal à découvrir puis à posséder, la sentir prendre autant de plaisir entre mes doigts et sous mes coups de rein avait été enivrant, pour moi qui n’avait que peu l’habitude de ce genre de jeu, ça restera un souvenir absolument mémorable. Je l’invite à quelques brasses afin de nous rafraichir et j’en profite pour entamer un peu la conversation, réagissant tout notamment à ce qu’elle avait dit en dernier, à ces remerciements qui n’avaient à mon sens pas lieu d’être. J’étais peut-être peu habitué au moment de plaisir comme celui que nous venions de vivre, mais je ne l’étais définitivement pas assez pour savoir que c’est bien meilleur encore quand sa partenaire prenait au moins autant de plaisir que soi. Elle juge que c’est pourtant normal de me remercier, cela est vraiment étrange et déroutant, elle avait été esclave sexuelle et avait connu un lupanar, comment pouvait-elle ne jamais avoir jouis ? Sa réponse ne tarde guère et je dois dire que pour le coup, j’en reste bouche bée, je n’aime pas vraiment les androïdes c’est un fait, mais je dois quand même dire que ce qu’elle me raconte ressemble énormément à de la torture. J’imaginais vaguement si dans notre échange brulant je n’avais pas eu le droit de jouir. D’une j’en aurais été bien incapable, de deux ça aurait été franchement peu plaisant. Quand au sort réservé à l’androïde qui avait le drame d demander à pouvoir jouir, je le trouvais extrême. Priver les androïdes de la jouissance était une chose, de là à aller les démembrer pour ça, même pour l’androïde qui avait regardé mon frère mourir sans agir je m’étais assuré que sa « mort » soit indolore.

- Ta bouche n’est pas plus efficace quand tu ne parles pas, elle a des arguments beaucoup plus convaincants auxquels peu d’hommes sauraient dire non je pense. En tous les cas, je m’avoue heureux que tu es demandée cette permission au cours de notre échange, cela ne m’aurait pas plus de jouir seul en te laissant frustrer. Je suis peut-être peu expérimenté dans ce domaine mais je sais que j’aime mieux savoir que ma partenaire prend du plaisir jusqu’à en jouir.

Ou qu’elle en prenne au moins autant que moi. Je savais au moins que Vita avait pris du plaisir et je dois même dire que savoir que j’étais le premier à la faire jouir avait un quelque chose de plutôt très valorisant. Je doutais de m’en vanter, d’ailleurs très honnêtement je ne crois pas que ça soit une idée brillante, mais quand même, avoir été le premier à faire jouir une aussi belle androïde, il y avait quelque chose de vraiment … valorisant à cela ! C’est finalement désormais elle qui se fait curieuse, le dialogue semble étrangement plus simple, il faut dire qu’après ce que nous venions de faire, je voyais mal comment discuter pourrait être plus difficile qu’avant ! Elle en revient à mon toucher, allant jusqu’à parler de « puissance », je trouve le mot vraiment trop fort mais elle semble le penser, cela est plus que surprenant. Sa remarque sur mon inexpérience me fait sourire, alors c’est si évident que ça ? Elle me rejoint, se collant à moi, mes mains viennent se poser au bas de son dos, juste au-dessus de ses fesses tandis qu’elle me fait encore un autre compliment. J’ai un rire amusé à ce qu’elle me dit, des femmes qui vendraient tout ce qu’elles possèdent pour passer entre mes mains, alors là je dois dire que c’est le compliment le plus inattendu qu’on m’ait un jour fait ! Un baiser qu’elle m’offre, doux baiser qui s’arrête brutalement et finalement elle pose une question, revenant à ce qui avait été dit avant. Je prends un air terriblement sérieux :

- Pourquoi donc ? J’imagine que c’était doux à entendre il y a une heure de ça, ça a même bien marché puisqu’en définitive on peut dire que je t’ai eu. Au sens littéral du terme.

Je sens son contact se raidir, je lui adresse un clin d’oeil et un tirage de langue après l’avoir laissée imaginer quelques secondes que tout cela avait été pour pouvoir profiter d’elle :

- Bien sûr que je te montrerai. Premier jour de chaque semaine, l’après-midi, mais assure-toi d’abord que ton Maître n’y voit aucun inconvénient.

Mes mains descendent légèrement de son dos à ses fesses, la faisant venir contre moi, tandis que je viens quêter sur ses lèvres un baiser.
Avatar du romain
Caecilius
Humains
 
Messages: 134
Inscription: 31 Août 2012, 19:42
Prénom: Caecilius
Nom de famille: Aurèle
Compte principal: Secret

Re: [E3] On ne chute jamais sans raison [Vita]

Messagepar Vita Proteus le 23 Septembre 2012, 21:44

Suspendre le temps pour se noyer dans un moment empli de douceur et de bien-être. Voilà ce que j'aimerai faire dans l'immédiat. Sentir mon corps vibrer de cette façon est une nouveauté pour moi. J'en avais presque oublié le fait que je me suis offerte à un homme de ma propre initiative. Au risque de dévoiler que mon plot est inactif. Il va vraiment falloir que je fasse plus attention à l'avenir. Mais en même temps... Le souvenir de nos deux corps à l'unisson me fait doucement frémir. Ce plaisir qu'il m'avait été interdit de connaître jusqu'à aujourd'hui a profondément changé ma vision des rapports intimes. Je me doute bien qu'il me sera difficile de faire valoir mon droit à la jouissance mais cet homme m'a offert une liberté dont il n'a sans doute pas conscience. Et en dépit de sa prévenance à mon égard, chacun de nous est à sa place : humain et androïde. J'en veux pour preuve qu'il me tutoie et moi non. Pourtant, il sait qu'il m'est impossible de le faire sans son accord. Et encore ! Cela pourrait surprendre si j'étais surprise à tutoyer un homme. La discussion a repris naturellement entre nous et je finis par oser lui demander si sa proposition concernant l'apprentissage des plantes. Sa réponse me glace ! Mais comment ai-je pu être aussi stupide ! Je ne sais pas ce qui me retient de lui arracher sa virilité séance tenante. Il s'est bien foutu de moi ! Mon regard vire au noir tandis que je me crispe dans ses bras, furieuse qu'il se soit joué ainsi de moi. Jusqu'à ce que je me rende compte qu'il n'était pas sérieux le moins du monde. Le fait que je m'offre à lui n'a rien changé. Seul impératif, et je le comprends parfaitement, que mon maître donne son accord. Je me laisse embrasser avec plaisir, répondant volontiers à cette demande.

Mon maître viendra sûrement avec moi. Je doute qu'il me laisse seule avec un homme qu'il ne connaît pas. Il est très protecteur avec moi.

Je me dégage doucement, prenant la main de Caecilius pour nous éloigner des rivages du fleuve. Nous sommes trop prêt du courant à mon goût et potentiellement visibles par quiconque serait un peu curieux. Bien que cela ne pose pas le moindre souci, je ne veux pas mettre mon partenaire dans une situation délicate qu'il pourrait ne pas apprécier. À grand renfort de baisers, je le ramène vers le bord, avant de m'asseoir sur la berge, le guidant pour qu'il vienne s'installer à mes côtés. Je m'allonge, posant ma tête sur ses jambes, ma main droite jouant avec l'eau chaude. Les yeux clos, je profite sans me poser de question, sentant ses mains se promener sur mon corps. Mes fesses viennent se présenter, aussi joueuses que je ne le suis par moment. C'est aussi un bon moyen d'éviter qu'il ne s'égare de nouveau sur mon bouton de rose. Je ne suis pas certaine de parvenir à me contrôler. Et je doute qu'un second round soit une bonne idée. Non que Caecilius ne soit pas en état mais je me dois de veiller à ce que je sois rentrée avant la nuit.

Qui aurait pensé qu'une malencontreuse chute nous mènerait ici... Vous devriez songer à tomber plus souvent ainsi, c'est très agréable.

Je ne peux m'empêcher de rire. Certes, j'ignore toujours comment il a fait pour m'éviter mais cela ne me préoccupe plus vraiment. Je suis persuadée qu'il s'agit d'un don qui lui permet de ne pas se blesser et qui ne se révèle qu'en cas de danger immédiat. Je m'amuse à le provoquer, cambrant mes reins pour faire ressortir mes fesses, l'air de rien, véritable demoiselle innocente. Bon d'accord, pas si innocente que cela mais ça ne lui déplaît pas non plus. Je tente de remettre en ordre la chronologie de cette étonnante rencontre mais il m'est impossible de me concentrer pour le moment. La proximité de nos deux corps ne m'y aide pas vraiment. Il va pourtant falloir que l'un de nous deux se raisonne un peu.

Il faudrait peut-être songer à retourner sur le chemin principal... Je dois être rentrée avant la nuit...

Voilà qui est dit. Sauf que je ne fais pas le moindre mouvement pour me redresser et repasser ma robe. Au contraire même. Je m'installe bien confortablement pour profiter au maximum de ses caresses. Je sais qu'une fois que nous aurons quitté ce lieu, tout sera différent. La prochaine fois que nous nous verrons, si j'obtiens l'autorisation de mon maître, ce sera dans sa boutique pour un cours de botanique. Beaucoup moins agréable n'est-ce pas ?
Avatar du romain
Vita Proteus
Décédé
 
Messages: 79
Inscription: 09 Août 2012, 14:10
Prénom: Vita
Nom de famille: Proteus
Surnom: Carnalis
Compte principal: Lucretia
Compte secondaire: Oui

Re: [E3] On ne chute jamais sans raison [Vita]

Messagepar Caecilius le 24 Septembre 2012, 12:34

Ce qui venait d'arriver restait pour moi complètement inexplicable. Me retrouver aussi intime avec une androïde était définitivement la dernière chose que je pensais un jour pouvoir m'arriver. Il y avait eu des herbes qui rendaient la réalité moins réelle, il y avait eu la douceur de Vita, sa prévenance et bien entendu cette façon qu'elle avait eu d'amener les jeux qui avaient finis par se jouer entre nous. Je ne lui en voulais pas d'avoir montré autant d'envie et de désir, au contraire même, j'avais passé un moment absolument savoureux et véritablement délicieux, un moment mémorable même pour moi qui n'appréciais pas toujours la compagnie des androïdes. Le fait était que je ne m'expliquais pas, et que je ne m'expliquerai sûrement jamais d'ailleurs, ce qui venait d'arriver, je pense même que la belle esclave ne se l'expliquera pas non plus alors finalement peut-être ne fallait-il pas chercher à comprendre de quoi il retournait précisément. Alors que le temps file désormais très agréablement, elle revient à notre discussion passée, à sa demande, celle d'en apprendre plus sur les fleurs et elle s'inquiète de savoir si cela tenait encore ou si finalement je ne voulais plus lui apprendre quoi que ce soit. Sans doute rendu joueur par ce moment coquin dont nous venions de profiter et qui avait été, il faut bien le dire, un véritable délice, je décide de jouer avec un peu d'humour. Aussi je deviens horriblement sérieux quand je lui explique comment je l'ai abusée avec une fausse promesse simplement pour pouvoir profiter d'elle et de son corps. Le tout avec son plus grand consentement puisque c'était elle qui avait provoqué le jeu et l'avait poussé toujours plus loin et toujours plus intimement. Aurait-ce pu être la vérité ? Peut-être bien oui, mais ça n'était pas vrai, je n'attends pas trop longtemps avant de lui faire comprendre que je jouais avec elle, préférant lui faire rapidement comprendre que je faisais de l'humour et donc que je n'étais absolument pas sérieux. Je la sens se détendre immédiatement et je dois bien dire être plutôt amusé de l'avoir sentie soudainement aussi atteinte par mes mots, n'avait-elle pas envisagé que je puisse être un menteur qui ne voulait que profiter d'elle avant cet instant ? Ou m'avait-elle jugé trop sympathique pour pouvoir être du genre à abuser de la candeur d'une androïde dont le corps réagissait très vivement au moindre stimulus ?

- Lui s'inquiète de vous et vous de lui. Vous formez donc un duo pour le moins surprenant. Puis-je toutefois demander qui est ton Maître ? Que la surprise ne soit pas totale s'il devait venir me rencontrer avec toi ?

Et que je sache par la même occasion avec l'esclave de quel humain je venais de passer un moment aussi agréable. Il était trop tard pour s'inquiéter vraiment des conséquences car finalement le "mal" était déjà fait, donc quoi qu'il arrive, je ne pourrai revenir sur ce qui était arrivé. Je pourrai au moins savoir de qui j'allais subir la foudre et la colère si par malheur il devait ne pas plaire au Maître de Vita ce qui venait d'arriver entre elle et moi. Si l'androïde avait dit la vérité, ce dont je ne doutais pas, et qu'elle avait véritablement tout droit de choisir son partenaire, alors en théorie je n'avais rien à craindre mais la nature humaine est changeante et je le sais parfaitement, aussi je ne pouvais pas présumer de la réaction de son Maître. J'espérais simplement que ce ne soit pas un fait trop grave qui pourrait me causer trop de problèmes, bien que j'assumais parfaitement les conséquences de mes actes, je n'apprécierai que moyennement que les choses se passent trop mal avec son Maître. Vita me ramène au bord, je m'assois près de l'eau, le soleil est encore chaud et agréable, ma peau sèchera rapidement sous ce beau soleil, je sens l'androïde s'installer, sa tête sur mes jambes, mes mains se perdent avec douceur sur son corps pour quelques caresses qui la font frisonner de contentement. A sa façon de présenter ses fesses à mes mains, je me laisse aller à cette invitation, la caressant avec beaucoup de douceur et de tendresse.

- Les gens ne prennent pas tous aussi bien qu'on leurs tombe dessus. J'ai eu de la chance de tomber sur vous plutôt que sur une autre qui se serait emportée en me traitant d'idiot ou que sais-je encore.

Elle fait remarquer que la nuit tombera dans une petite heure et qu'il semblait plus raisonnable de rentrer de suite. Cependant je note aussi que son corps témoigne tout l'inverse de ce qu'elle est en train de dire car elle n'esquisse pas le moindre geste, restant docilement installé à savourer la douceur de mes doigts sur son corps. Je continue mes attentions sans répondre à sa remarque, elle ne semble aucunement décidée à abandonner cette position, je profite donc encore et puis doucement mes caresses se font moins chastes, la tendresse laisse place à de la sensualité, la douceur à un peu plus de fermeté. Voulait-elle vraiment rentrer ou son attitude trahissait-elle un désir de rester encore et profiter d'un autre moment tout aussi plaisant que le précédent ? Je décide de forcer le destin en l'amenant à prendre une décision, mes caresses se font plus précises, a entendre sa respiration légèrement plus rapide je comprends que son corps réagit déjà à ce que je fais. Mes doigts écartent ses fesses, se perdent dans son sillon, descendent vers cette intimité exposée et seule m'étant accessible dans sa position. Une main joue toujours avec ses fesses, l'autre dessine le pourtour de oeillet appuyant légèrement comme pour la pénétrer et comme elle ne bouge pas et se laisse faire, après quelques minutes de ce jeu, mon doigt force doucement l'accès de son intimité, entamant de lents vas et viens le temps de la mettre à l'aise puis plus rapide à mesure du temps qui passe. Finalement j'arrête après quelques minutes de cette torture, retirant mes mains, une petite claque sur ses fesses :

- Allez, allez, il faut que tu sois rentrée avant la nuit. A moins que tu n'aies un quelconque argument à faire valoir contre cela ? Peut-être que si tu expliques avoir raccompagné chez lui un aveugle, ton Maître comprendra ton retard ? Ou peut-être qu'en fin de compte il est temps que nous devenions sage à nouveau ?
Avatar du romain
Caecilius
Humains
 
Messages: 134
Inscription: 31 Août 2012, 19:42
Prénom: Caecilius
Nom de famille: Aurèle
Compte principal: Secret

Re: [E3] On ne chute jamais sans raison [Vita]

Messagepar Vita Proteus le 24 Septembre 2012, 17:56

Libre et vivante, quelle sensation délicieuse pour l'androïde que je suis. Mon maître ignorait l'impact qu'aurait sur moi sa permission de disposer de mon corps selon mes envies. Même si je crains quelque peu sa réaction si il vient à l'apprendre. Et pour une première, je ne peux que me féliciter de ne pas m'être laissée impressionnée par un humain détestant les miens. Une discussion mal commencée qui avait dérivée sur un moment des plus plaisants. Ce dont je ne plains absolument pas. Installée sur l'herbe, la tête sur les jambes de Caecilius, je l'écoute tout en profitant de ses caresses. J'ai beau savoir que je me dois de rentrer, je ne peux me résoudre à le quitter. Je constate qu'il n'a pas retenu le nom de mon maître. Ce qui me fait sourire, amusée qu'il ai oublié un tel détail. Comme quoi ma plastique ne laisser personne indifférent.

J'appartiens au Consul Maximus Proteus, forgeron de son état.

Pour ma part, je ne suis pas inquiète si je suis en retard. Je peux toujours trouver une bonne raison pour le justifier. Mais ce risque, j'ignore si je peux le prendre sans jeter le trouble concernant l'inactivité de mon plot. Je gémis doucement, les caresses de Caecilius se faisant de plus en plus pressantes sur mes fesses. Je décide de remettre ma réflexion à plus tard, me cambrant d'envie loin d'être chaste. Et visiblement, je ne suis pas la seule à qui cela plaise. Je ne bouge pas, me laissant faire, mon corps se réveillant lentement sous les attentions qui lui sont prodiguées. Ses doigts se font de plus en plus précis, s'invitant à l'entrée de mes reins, sans pour autant y pénétrer. Il me semblait avoir dit que nous devions songer à prendre le chemin du retour... Je ne suis pas la seule à ne pas en avoir vraiment envie. De longues minutes passent, augmentant mes envies, mon désir. Jusqu'à ce que Caecilius se décide à passer à la vitesse supérieure. Lentement, mes reins s'ouvrent pour laisser passer son doigt avec lequel il m'entreprend tout en douceur. Je me retiens de lui demander d’accélérer, mon corps le réclamant pourtant en ondulant de plus en plus ouvertement. Sa possession se fait de plus en plus évidente, plus rapide aussi, me faisant gémir à mon corps défendant. Mes reins se font de plus en plus accueillants au fur et à mesure que son doigt me travaille. Je gémis de frustration en le sentant se retirer avant qu'une claque ne s'abatte sur ma croupe. Je le déteste ! Enfin pas vraiment mais mon excitation fait que le sentir s'arrêter me laisse sur ma faim. Je me redresse sur les avant-bras, le regardant intensément. Avant de baisser la tête, déchirée entre mes obligations envers mon maître et mon désir. Être raisonnable ou suivre son envie... Un choix à faire mais que je ne devrais même pas avoir à faire en tant qu'androïde.

La raison voudrait que nous prenions le chemin du retour mais... mon corps ne semble pas du même avis...

Je me réinstalle tranquillement sur ses jambes. Après tout, rien ne presse. J'ai même ma petite idée sur l'excuse que je fournirai à mon maître. Un sourire amusé se dessine sur mon visage. Il a bien parlé d'argument. Voyons voir ce que j'ai en stock. Je bouge à peine la tête, juste assez pour pouvoir déposer des baisers sur ses cuisses, me gardant bien remonter trop haut tout de même. Il a voulu me piéger et jouer. Nous allons être deux alors. Je pivote doucement, me retrouvant sur le ventre sans cesser ce que j'ai commencé. Ma bouche effleure sa peau, tournant autour de sa virilité sans jamais se poser dessus. Je la vois se dresser, un brin vindicative que j'ose la snober. Amusée, je poursuis, remontant sur son torse toujours aussi lentement, mes seins venant se coller contre son ventre. Quelque chose me dit que je vais le regretter rapidement quand je sens ses mains se poser sur mon corps. Provocatrice en diable, j'accentue la cambrure de mes reins, histoire de lui donner la direction à prendre. Je relève la tête, le fixant.

Cet argument vous convient ou un autre vous tenterait plus ?

Et oui, quitte à être en retard, et vu qu'il est tout de même responsable de mon état actuel, il ne va pas me laisser tout faire et se laisser porter par le moment. Un peu d'initiative va lui faire le plus grand bien surtout que ma bouche redescend sur son ventre, s'obstinant à ne pas trouver le chemin de sa verge.
Avatar du romain
Vita Proteus
Décédé
 
Messages: 79
Inscription: 09 Août 2012, 14:10
Prénom: Vita
Nom de famille: Proteus
Surnom: Carnalis
Compte principal: Lucretia
Compte secondaire: Oui

PrécédenteSuivante

Retourner vers Épisode Trois : Le corps expéditionnaire



Qui est à Rome ?

Romains parcourant ce forum: Aucun romain en ville et 2 touristes

cron