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Description des lieux et explication de la centurie Ursus

MessagePosté: 10 Mars 2014, 19:50
par Otho
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Le ludus de Nomatus, autrefois utilisé à des fins plus joviales, s'est vu abandonné au profit d'autres bâtiments plus conséquents à l'avenir plus prometteurs. Des années sans occupants, sans pour autant être dégradé, il a finalement été saisi par l'armée à des fins particulières, sur la demande d'un dénommé Otho Helvetius, il y a quelques années de cela maintenant. Proche d'un des remparts imposants, c'est une zone entourée d'une enceinte de pierres lourdes d'environ 2m30 de haut sur presqu'un mètre d'épaisseur, construit par les hommes qui sont venus à l'occuper. A l'intérieur, deux parties, séparées par le bâtiment principal. Il n'y pas énormément de terrain autour. Cet endroit n'est autre que le quartier général de la Centurie Ursus, dirigée par un Centurion plutôt brutal et intransigeant: Otho Helvetius, soldat de renom, à l'histoire aussi dure que l'homme. Cette Centurie a été séparée du reste de l'armée pour une bonne raison, que nous citerons dans la petite histoire de la Centurie. Tout d'abord commençons par les lieux.

GROS PLAN SUR LES LIEUX
Plan 3D du Ludus requisitionné et transformé
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Plan complémentaire
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Description des lieux
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E1: L'entrée. Elle est réservé aux militaires et invités. S'ils sont prévus, ils seront accompagnés par un soldat de garde au Centurion. S'ils ne sont pas prévus, ils devront attendre à la porte avec un Garde et le second ira prévenir le Centurion qui se déplacera. Il est interdit de faire entrer qui que ce soit sans avis signé d'un supérieur ou par le centurion lui même. Cette Centurie est une section particulière qui nécessite un minimum d'information par sécurité pour celui qui vient surtout. Des gardes sont toujours posté ici, ils tournent, nuit et jour, au nombre de deux. Ils ne sont pas posté à l'extérieur, mais à l'intérieur et la porte de bois à une fenêtre ouvrables pour permettre la discussion avec de possibles visiteurs.
1. Bien que le lieu soit un endroit réhabilité et bien entretenue, n'est pas de la Centurie Ursus qui veut. Rustre oblige, quoi de mieux pour mettre en bouche que de rentrer par les Ecuries (B). Ici entre 5 à 6 chevaux dont deux de traits, les 6 de bonne robustesse, pas de petit poney ou de chevaux de selle noble ici. Les chevaux sont à l'image des hommes qui y vivent. Odeur de crottin, sol humide, bêtes charmantes, même si les écuries sont faites souvent, cela reste un des endroits les moins accueillants. Les box sont larges et solides en fer et bois. Sur la droite au fond, vous trouvez l'entrée vers la Cour des autres utilités premières nécessaires à la vie dans cet endroit.
2. Cette zone regroupe 4 parties indispensables: La petit cour qui sert aussi de corridor à l'air libre vers le reste de la petite caserne particulière. Un bâtiment le long, bas et pas trés large, regroupant en son sein les pièces.
C - Le lavoir, dont les égouts sont communs écuries et passent sous le mur épais des deux zones. Ici , tout le linge est lavé et séché. Chaque soldat à deux tenues de tissus avec leurs initiales brodés dessus. Otho voit à ce que le plein soit régulièrement fait au cas où il y ait des problèmes lors des entrainements et missions, mais trop de destructions vaudra une sérieuse sanction. C'est aussi ici qu'on recoud et qu'on décrasse la vaisselle.
D- Les cuisines, toujours occupées et en activité. Ici , il n'y a pas d'heures de service, mais si on s'aperçoit qu'un soldat mange trop, il se fait dégommer, et on lui fait comprendre qu'il doit penser aux autres. Otho estime qu'un homme qui mange correctement est un homme efficace sur le terrain. Sachant que la plupart de ses hommes sont plus imposants que la normale, il fait en sorte qu'il soit suffisamment alimenté. Mais exit l'égoisme, tout le monde partage.
E- La réserve. C'est un accès uniquement réservé à Otho et un homme désigné pour cuisiner pour la journée. Il est le seul à posséder la clef. Le premier qui force la porte se prend une raclée et une semaine de cellule aux fers.

3.Bâtiment principal de la centurie. En gros, le rez de chaussée + L'étage et le grenier sont aménagés en pièce de vie ou plutôt étage de vie. Tous presqu'identiques, grade et bleu se confondent et se côtoient et c'est volontaire. Hormis sur le champ de bataille, en mission ou dans les entrainements, la différence entre les hommes n'existent pas (exception pour Otho). Table massives en bois, bancs, tabourets, deux grosses cheminées, la réserve bois est dans le débarras de la cour(A). C'est un peu le joyeux bordel de la Centurie, là où on voit les brutes dans toutes leurs splendeurs, cuites, repas et autres phénomènes typiques à cette section. L'ambiance est entre la taverne et la caserne militaire.
4.C'est la zone où ils ont trouvé le moyen d'installer une petite forge pour réparer leur matériel. C'est aussi là que toutes les armures sont entreposées. Rien de bien folichons, de bonnes armures usés et typiquement arrangées, qu'on ne trouve pas dans les autres centuries qui ont plus de moyen, mais ça tient , ça protège, le reste ils s'en foutent. Il y a un forgeron soldat ou deux qui s'occupent de cette zone. Avant une expédition, le forgeron est exempt d'entrainement forcé mais doit vérifier tout le matériel. Si un accident arrive à cause du matériel, il est sévèrement sanctionné par Otho lui-même. C'est aussi un corridor chargé d'armes blanches en tout genre, arc et arbalètes, et autres matériels de harnachements ou de tortures pour le terrain. Il mène directement aux appartements du Centurion, Otho, le bâtiment 5.
5.Ce bâtiment comprend trois zones. Le rez de chaussée de 3 pièces dont une officielle, où se trouve généralement le Centurion le soir, avec sa paperasse et la cheminée. C'est là qu'il reçoit les recrues, sanctionne, reçoit les visiteurs et autres officiels, et aussi ses hommes. Deux autres pièces sont privés, ce sont ses appartements, une grande pièce et une chambre, rien de très ostentatoire, il est très rustique en goût. Et il ne veut pas plus. Cet endroit est strictement interdit sauf sur autorisation.
Zone encore plus interdite sont le premier et le second étage (grenier). Le premier étage est la zone réservé aux invités ou aux employés exceptionnels. Il contient trois chambres simples et propres, adaptées à la demande, mais ne vous attendez pas au grand luxe non plus. C'est un niveau de vie moyen c'est tout. Le grenier lui est strictement interdit et fermé, il contient les archives de toute la section depuis sa création.
6.Le dortoir des soldats: Un endroit généralement calme. C'est un règle. Ceux qui veulent foutre le bordel dégage dans la zone de vie commune. Ici , ce sont les soldats qui veulent un temps seuls, dormir, lire ou autres occupations peu bruyantes. Pas vraiment d'intimité, ce n'est qu'une immense pièce dont on a fait sauté tous les murs non porteurs ou remplacés par des poutres énorme, et où tous les soldats se côtoient. Dans les casernes ordinaires, ce sont des chambres à plusieurs, ici , c'est non. En revanche, chaque lit a un nom pour éviter les bagarres inutiles.
7.Le bâtiment est accessible par les chambres ou directement par la cour, quand vous êtes trop crades et ne voulez pas tout dégueulasser. Le rez de chaussée abritent les latrines, et la zone de bain. C'est un immense bassin en bois, de 3 sur 3 , peu profond avec des seaux et de quoi se laver. L'eau est chauffée par la cheminée principale aux rez de chaussée, dont l'air chaud alimente aussi le dispensaire au dessus. Au premier étage, nous avons donc la moitié pour un dispensaire de fortune, pas de manie ici. On se blesse on assume. La seconde partie abrite trois cellules avec les fers.

A.C'est un petit abri qui abrite un puis avec une pompe pour tirer l'eau , et une zone d'entassement de bois pour le feu. Sachez qu'ici, le feu est constamment entretenu.

L'arène d'entrainement.Cette zone est réservé pour les affrontements des hommes et l'enseignement du combat de manière plus poussé, jusqu'à faire des combats réels, avec un arrêt si blessures trop importantes. On ne fait pas dans la demi mesure. Trois rangées de gradins en bois , un état bien entretenu, et un sol en terre battu si le peu de sable qu'il y a s'envole. L'accés direct du bâtiment de l'armurerie vers l'arène a été condamné.
La zone autour , le reste de la cour, est utilisé pour tout type d'entrainement ou exercice. Otho a aussi décidé d'utiliser le pourtour du ludus , entre les bâtiments et le mur qu'ils ont construits comme terrain d'endurance, pour pousser plus loin ses gars. Les deux marques "J" en violet sont des murs qui barrent l'accès à la zone militaire. La zone en bleue étant utilisé pour les récoltes civiles, il a tenu à fermer tout accès avec cette endroit. Mais les zones J ne mesurent que 2 mètres de haut. L'exercice est simple. Quand c'est l'exercice du jour, les soldats se tapent tout le tour du bloc en courant et doivent passer les deux murs, ils se démerdent , traversent la zone civile, ressaute l'autre mur, et se retrouve face à une zone d'environ 100 mètres de boue profonde d'à peu près un mètre en moyenne qu'ils doivent traverser etc etc, jusqu'à ce qu'Otho estime que l'entrainement a été suffisant.
E2. L'entrée de la partie du domaine utilisé pour les récoltes. Certains androïdes amènent régulièrement les récoltes en trop dans cet endroit, qui bénéficie d'une cave , faite de couloirs et pièces, où sont garder certains huiles et vins. En haut dans la zone semi abritée, sont généralement entreposé des tonneaux de grains et autres bottes de céréales utilisés pour les animaux ou pour la boulangerie. L'accès est aussi gardé par des gardes de la Centurie Ursus. Cet accord a été négocié avec les supérieurs. En retour, personne ne vient fouiner dans la zone réservé à la Centurie et les récoltes sont bien gardées, surtout en cas de famine.
F, G, H, I sont les zones qui concernent les récoltes. L'accès E2 est totalement fermé la nuit. Aucune excuse ne peut être donné pour pénétrer dans cet endroit.


LA CENTURIE URSUS

UN PEU D'HISTOIRE
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Il y a un peu plus de sept ans, Otho Helvetius, un centurion de qualité, à la renommée rude et brutale, mais juste à sa manière posa son regard sur une des centuries de Rome, réputé être la poubelle de l'armée. Cette centurie était géré par un vieux centurion qui ne voulait pas raccrocher et qui par de bons rapports avec le Sénat avait réussi à garder sa place. Le problème fut que cette Centurie était non seulement souvent désertée, mais abritait aussi un peu tout et n'importe quoi, surtout ceux posant des problèmes, et ils ne faisaient qu'en créer davantage vu qu'on ne les envoyait pas en mission, car non fiables. Le vieux Centurion pendant ce temps se graissait la patte en faisant silence sur cette histoire. Cette centurie était toujours mélée aux autres, donc personne ne se posait de question ou du moins préférait rester aveugle. Sauf qu'un Otho, ça ne sait pas être aveugle. Il avait repéré cette centurie depuis un moment et quand vint le moment de solliciter son supérieur pour une promotion, au vu de sa carrière quoi qu'un peu brute mais excellente en résultat, il demanda à prendre la relève de la fameuse Centurie, dont il fut le seul à retenir le nombre. Au vu de la vieillesse non gérable du centurion en place, on lui céda la place et on remercia le vieux centurion pour une retraite bien méritée (ou pas).

Otho arriva donc dans cette centurie comme nouveau responsable. Mais responsable de qui ou plutôt de quoi... Des soldats alcooliques, des bagarreurs compulsifs, des criminels de premier degré réhabilités, d'anciens gladiateurs convertis à l'armée romaine, des violents ou menteurs pathologiques et pervers ou déglingués du bocal. La rumeur était fondé, cette centurie n'était qu'un ramassis de pas aidés et hommes dangereux comme on en faisait peu, mais à Rome comme on ne jette rien et que ça ne le fait pas de blinder la prison d'une centaine de soldats d'un coup, on garde une zone de seau plein de purin, cette centurie, en cachant ça avec des fleurs. Otho, bien décidé à foutre les pieds dans le plat dut marier le glaive aux mots et quand trois ou quatre passèrent l'arme à gauche pour avoir voulu aller trop loin avec lui, les autres commencèrent à le craindre. Otho leur expliqua alors sa manière de penser, ce qui allait se passer et si les hommes voulaient troquer cette centurie contre la gladiature ou la prison, ils pouvaient. Sur la centaine, seuls une cinquantaine restèrent. La mort accueillit une dizaine d'inconscients, une quinzaine finit en cellule et l'autre soit muté dans une centurie plus clémente avec promesse de rentrer dans les clous, sous dans les arènes. Les cinquante restants commencèrent une remise à niveau difficile et périlleuse où ils en chièrent chaque jour un peu plus. Un chef intransigeant, calme, qui les guidait certes sans pincettes mais qui avait des principes et était incorruptible. Certains esprits fraternels et guerriers commencèrent à renaitre. Les corps se reforgèrent une force, une endurance, une puissance. Et avec ce changement, les hommes commencèrent à se faire remarquer. Plus lourds et sans limite sur le champ de bataille: Restez debout et luttez. Ne pas se plaire, avancez et fermer sa gueule, parce que le courage n'est pas dans celui qui obéit mais dans celui qui a tout au fond de lui la conviction de réussir, de gagner, de faire plier l'ennemi et de le voir crever regard à regard, corps à corps, comme une promesse de le rejoindre plus tard. "Bats-toi ou crève".

Avec ce changement et les réussites aux missions, les supérieurs militaires et sénateurs furent bien obligés d'admettre que la Centurie d'Otho avait sa place, surtout pour aller là où il ne voulait pas gaspiller d'hommes. Mais ils étaient néanmoins toujours trop perturbés, brutaux, pervers ou encore mal élevés pour rester au sein de l'armée. Ils en entachaient l'image et l'ordre. On lui tendit alors un piège. S'il ne trouvait un lieu pour loger ses hommes dans un délai déterminé, la centurie serait dissoute. Ils avaient aussi décidés de couper de moitié les financements de la Centurie. Les Sénateurs se firent des films et déchantèrent quand Otho se ramena avec un papier qui attestait du transfert de la Centurie dans un ancien Ludus réhabilité. Il avait gagné. Il transféra donc tous ses hommes dans le nouveau lieu, fixa leurs règles, et leur réputation ne fut à refaire.

C'est aujourd'hui la Centurie de la dernière chance. Certains gladiateurs peuvent demander à y entrer sur sélection, ainsi que certains hommes qui ont commis des crimes de moyenne importance maximum, aux yeux de Otho, comme les hommes emprisonnés pour larcins, adultères ou autres crimes non gravissimes. Ils sont eux même soumis à des règles bien définies. Pour information, et même si le reste de l'armée et les sénateurs ne sont pas au courant , Otho n'a pas de politique anti-androides. Pour lui, ce n'est pas qu'on est qui compte mais ses actes sur le terrain et sa force de conviction. Tous les hommes présents dans cette centurie Ursus, sont des hommes robustes aux mœurs définies par une vraie justice, une violence de conviction et le besoin du juste. Otho a déjà refusé que ses hommes fassent certains missions, qu'il jugeait immorales. Ce sont en définitif plus des mercenaires au service unique de l'armée romaine, mais pas pour les sénateurs... ils sont au service du peuple et ça, rien ne changera pour Otho
.

Croyance: Minerve en groupe. D'autres dieux sont autorisés de manière personnelle.
Prière scandée en groupe avant l'affrontement:
" Ô Toi, Déesse Minerve,
Nous t'offrons notre foi,
Nous t'offrons notre amour,
Nous t'offrons notre âme et notre souffle,
Sois notre force, sois notre fougue,
Brandis notre lame comme un chant au ciel,
Terrasse l'injustice, le traitre, le déserteur,
Détruis notre ennemi avec fureur,
Allie nos convictions et nos puissances,
tel une montagne contre l'offense.
Ô toi Minerve, Nous sommes soldats,
Père, fils, ou seuls, la lame au bras,
Sois notre force, sois notre foudre,
Et porte-nous encore un jour."

Nombres de soldats actuellement présents dans la Centurie: 57. Le nombre varie, il y a souvent des pertes en missions. Autres faits : les recrutements, les condamnations, les morts par règlement de compte inexpliqué, les désertions (plus rares), les maladies, les transferts d'autres centuries, les réhabilitations après une courte peine.
Le recrutement est trés sélectif. Seuls ceux rentrant dans les catégories au dessus, peuvent y accéder ou après un passage d'examen plus qu'éprouvant. Aucun petit jeune sans expérience n'est accepté. Tous les hommes ont plus de 27 ans ici.

TENUE VESTIMENTAIRE, ARMES ET UNIFORME
Contrairement à l'armée classique qui exige un uniforme impeccable, similaires aux autres soldats, et tissus réglementaires, vous êtes autorisés à modifier vos tenues pour alléger les dépenses de la Centurie. Les armures fournies sont soit celles que vous possédiez déjà avant d'intégrer la Centurie Ursus, soit une basique à l'armée romaine, fournie pour votre intégration. A cela s'ajoute, les tuniques classiques sous armures, et autres vêtements. Pantalons interdits. Sandales et "protège tibia métalliques" obligatoires, Ceintures, kilt de cuir basique romain, sangles de torse pour les moins fortunés, armures pectorales, de bras , d'épaules, au choix, du moment que vous l'adaptez à votre technique de combat. Casque obligatoire sans fioritures. Les couteaux et dagues sont aussi obligatoires sur l'armure et ne sont vos armures principales. Vous avez une forge personnelle dans le bâtiment de l'armurerie et un soldat-forgeron pour vous aider, donc vous devait réparer votre armure, jusqu'à ce qu'elle ne tienne plus, l'améliorer ou l'adapter et Otho contrôlera la solidité et l'efficacité. Avant bras cuir et métal, gants ou sangles entre les doigts pour ne pas laisser déraper vos armes. Protège-cou cuir renforcé ou semi métal et si vous n'avez pas d'armure pectoral, l'assiette plate de métal sur le torse pour protéger les organes principaux vous sera fortement conseiller voir imposé. Protection de l'entrejambe très conseillé.
Armes: Vous avez tous le bouclier de l'armée romaine en plus ou moins bon état. Les armes de mains varie selon vos gouts. Vous devrez aussi réparé les armes.
Les couleurs doivent rester dans les tons Ocres, jaunes , brun , rouge.

Détail typique de la Centurie Ursus: La cape ocre tatoué d'une tête d'ours stylisé Rouge sang. Fixé par un aigle Romain sur l'épaule gauche.

RÈGLES A RESPECTER DANS LA CENTURIE URSUS
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1 - Le chef reste Otho quoi qu'il arrive. Vous ne devez pas obéir à quiconque autre. Même à un autre supérieur de l'armée.
2 - Il est interdit de parler de ce que l'on fait à la Centurie en dehors de la Centurie. De même qu'à un autre membre de l'armée ce qui s'y passe. Aucun autre officier de l'armée n'a le droit de vous menacer et de vous faire céder, ne vous faites pas piéger. S'il y a quelconque problème, cela passe toujours par en haut et c'est Otho qui se charge des décisions ou sanctions. Vous êtes tenu au secret dès lors que vous franchissez cette centurie.
3 - Il est interdit de soumettre ou soudoyer un autre membre de la centurie au sein du Ludus, et hors missions. En mission, seuls le grade autorisera cela. Aucun souffre douleur ne sera accepté. Otho se chargera lui même des fauteurs de troubles.
4 - Le lever est à 7h et le coucher, c'est vous qui voyez, mais à 7 h, l'appel est fait, vous avez plutôt intérêt d'être là, où la punition sera bien amère. Et cela autant de fois qu'il faut.
5 - Toutes les tâches usuelles du Ludus, hors les bâtiments de récolte sont à assumer par les soldats quand ils ne sont pas en entrainement ou quand ils ne sont pas en mission. Vous devez respecter ce qu'on vous donne à faire ou la sanction tombera selon la volonté d'Otho.
6 - Aucun visiteur civil n'est autorisé dans l'enceinte du Ludus, hormis ceux reçu par le chef, ou les employés spéciaux.
7 - Tout acte de violence aggravée, bagarre à répétition, meurtre, viol, et autres crimes seront sévèrement sanctionnées par une décision sans pitié du Centurion. Joueur, rappelez-vous où vous êtes. Vous ne pouvez pas commettre un crime avec votre perso, et refuser ensuite la sanction. Si ce refus se produit, votre perso sera supprimé de la Centurie, c'est de l'anti jeu et en entrant dans cette Centurie, vous devez comprendre que c'est bien plus strict que l'armée en punition.
8 - Tout acte criminel commis par un soldat de cette Centurie dépend d'Otho: Le linge sale se lave en famille. Si cela dépasse Otho et que le Tribunal se saisit de l'affaire, sachez que vous avez 90% de chance d'encourir la mort par décapitation ou ce genre de condamnation. Cette centurie était déjà votre dernière chance.
9 - La désertion est signe de mise à mort par Otho lui-même.
10 - Toute insubordination sera puni à hauteur de la faute.
11 - Toute entrée par effraction dans un lieu fermé à clef vous vaudra 2 jours de cellule.
12 - Il n'y pas de règles précises pour les repas, mais tout surpoids, flemmardise, ou acte d'égoisme, sans compter une inefficacité sportive, vous vaudra un mois avec un régime alimentaire minimale, avec presque que du pain et de l'eau.
13 - Le feu doit rester allumé, et fait parti des tâches usuelles, tout comme les choses suivantes: laver le linge, cuisiner, laver la vaisselle, laver et récurer les écuries, entretenir les quelques chevaux, nettoyer le dispensaire, les latrines, le bain collectif, l'arène, le reste de la zone d'entrainement, remplir la tranchée d'eau pour la boue à un niveau constant, faire son tour de garde aux deux entrées, ramener du bois (le couper éventuellement), entrainer les chevaux, nettoyer les sols, aider à l'armurerie, nettoyer le dortoir et vérifier les lits (moisissure etc..).
14 - aucun animal domestique n'est accepté, sauf ceux qui s'incruste sans maitre précis.
15. Entrainement militaire: Les soldats sont libres de s'entrainer comme ils le désirent, même la nuit si besoin. Otho contrôlent le physique, l'endurance, la force, la technique et l'évolution de chacun de ses soldats au moins une fois par semaine, en leur imposant des épreuves et des affrontements, où tous regardent et se perfectionnent, se mêlant volontiers au combat. S'il voit que vous dérogez au niveau physique requis, il va s'occuper personnellement de votre cas, et vous regretterez bien vite de trainer les pieds quand vous ne l'avez pas sur le dos.
16 - Les sorties sont autorisées, mais pas plus de 7 heures par semaine. Vous signez un registre en sortant et en rentrant. Otho vérifie , et si vous avez tenter de feinter, vous êtes assigné à Ludus pendant 8 semaines sans autorisation de sortie en dehors des missions et des tâches ingrates.
17 - L'alcool est autorisé dans l'enceinte, attention à ne pas en abuser. Si Otho vous grille soul et inapte à un entrainement quand vous devez le faire, c'est une semaine de cellule. A la cinquième récidive en moins de six mois, vous êtes radié de l'armée et envoyé aux gladiateurs.
18. Rajouté le 15/03/2014: Les permissions exceptionnelles sont autorisés, signé par le Centurion, sous condition d'une mission utilitaire en même temps que cette sortie. Exemple: Ramener le bois pour la semaine à son retour, ramener le grain nécessaire pour la cuisine de la semaine suivante, transmettre une missive de la part d'Otho, revenir avec de l'armement commandé etc...

Sachez que pour Otho, chaque homme a en lui une volonté propre, une force propre et des capacités particulières. Son objectif est de faire ressortir tout ça et que vous donniez le meilleur de vos tripes. Et pour ça, il ne fait pas dans la dentelle. En entrant ici, vous assumez le fait que votre personnage puisse en chier tôt ou tard.

Re: DESCRIPTION DES LIEUX ET EXPLICATION DE LA CENTURIE URSU

MessagePosté: 15 Mars 2014, 19:38
par Otho
18. Rajouté le 15/03/2014: Les permissions exceptionnelles sont autorisés, signé par le Centurion, sous condition d'une mission utilitaire en même temps que cette sortie. Exemple: Ramener le bois pour la semaine à son retour, ramener le grain nécessaire pour la cuisine de la semaine suivante, transmettre une missive de la part d'Otho, revenir avec de l'armement commandé etc..

Règle rajoutée pour élargir le jeu des soldats, qu'ils ne soient pas trop bloqué.