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Re: [E7]Rien n'est jamais simple à dire [Nox]

MessagePosté: 15 Décembre 2013, 21:43
par Caecilius
Elle s'amuse avec moi et je le sais très bien. Quand elle me demande sur quoi mon frère n'a pas su poser les mots, elle sait parfaitement que cette question allait me mettre mal à l'aise, d'autant qu'elle sait sans doute très bien que si mon frère a trouvé les mots pour parler de quelque chose, c'est bien de la façon dont son corps se cambre. Est-ce que j'ai vraiment le droit de parler de ça avec elle ? Après tout elle sait parfaitement que mon frère et moi n'avions pas beaucoup de secrets, surtout la concernant. Et puis même elle, ne restait pas si secrète que cela avec moi, elle me disait ce qu'elle pensait, ce qu'elle ressentait et comme mon frère elle détestait que je me rabaisse. Ce réflexe je l'avais parce que c'est ce que mes parents ont toujours fait, ce n'est pas facile d'entendre toujours qu'on est incapable, c'est éprouvant, épuisant et un jour on finit par y croire quand on passe une autre nuit seule alors que son frère est avec une femme dont l'indécence ne semble trouver d'égal que la beauté.

- Non Nox, sur ça il a parfaitement su trouver les mots. Ce qu'il était incapable de me décrire c'est ce que tu lui faisais ressentir. La façon dont il te trouvait belle, les sentiments qu'il éprouvait à ton contact, les émotions qui l'habitaient quand il était avec toi.

Mais pour ce qui est de la façon dont son corps se cambre sous le plaisir, je voulais pouvoir le tester et l'éprouver de moi-même, lui offrir un orgasme à la pointe de la langue, mes mains sur son ventre et sa poitrine pour sentir la façon dont elle se cambre. Si cela est aussi magnifique spectacle que mon frère me l'a laissé entendre alors il faut que je le découvre et que je vois comme je sais le voir. Cependant pour l'heure, alors que je la découvre dans la plus pure indécence de son corps nu, je la sens qui se dérobe après une question, elle disparaît de cette façon qu'est la sienne, sans un bruit, cette façon que je déteste parce que je ne peux savoir où elle est. Je ne la vois plus de cette façon dont je sais voir, ni de mes yeux qui n'ont jamais rien vu. Aussi, je la cherche, je joue son jeu qui ne m'amuse que pendant un temps car finalement je sais ce qu'elle veut entendre, je sais quels sont ces mots que j'aurais dû dire il y a longtemps. J'ai aimé Nox depuis longtemps, même lorsque mon frère et elle vivaient cet amour magnifique qu'était le leurs, déjà je sentais ces sentiments. A l'époque il n'avait pas leur place et aujourd'hui … Cela fait un mois que j'ai perdu Clio mais le seul contact de Nox, sa simple présence me fait revivre ce ressenti si particulier, si agréable. Alors je me lance, j'ose le lui dire même si c'est d'une petite voix encore intimidée. Elle répond d'un baiser, elle entame une phrase sans la terminer et je sens quelque chose que je n'avais jamais sentis chez elle. Elle doute, elle n'est pas à l'aise. Jamais je n'avais sentis Nox ainsi désarçonnée. Elle dit ne plus vouloir jouer et j'entends ses larmes, elle se blottit contre moi, sa tête contre mon torse, avec douceur je la prends dans mes bras, la portant, une main dans son dos, l'autre derrière ses genoux. Tendrement je cherche ses lèvres, trouvant le bout de son nez d'abord et puis ses lèvres pour un doux et tendre baiser alors que je l'emmène dans la chambre.

« Alors ne jouons plus, Nox. »

En douceur je la pose sur le sol, glissant dans son dos comme elle aime d'habitude le faire. Mes mains caressent doucement ses hanches, se posent sur son ventre, l'attirant contre mon corps. Doucement je murmure à son oreille.

« Tu m'as un jour dit que tu voudrais voir comme je vois, mon frère est arrivé alors et plus jamais depuis il n'en a été question. Si tu le souhaites toujours, alors je vais t'apprendre. D'abord j'aimerai te voir comme toi tu vois. »

Je désigne devant elle le miroir et je me permets d'utiliser mon pouvoir pour la voir. Nue, moi dans son dos, la tenant contre moi. J'embrasse doucement son coup, admirant ses formes, sa poitrine délicieuse et tout ce corps si attirant, son visage qui marque sa façon d'être perdue.

« Tu es belle, Nox. Je comprends pourquoi mon frère n'a jamais eu les mots pour me décrire ta beauté. Maintenant nous allons nous regarder tous les deux, comme je vois moi. Tu vas voir, ce n'est pas difficile. »

Je la quitte juste deux secondes pour prendre un petit bout de tissu doux. Profitant de voir ce que je fais grâce au miroir qu'elle regarde, je bande ses yeux, pouvant m'assurer du succès lorsque même avec mon pouvoir je ne vois plus. Je prends alors sa main.

« Fais-moi confiance. »

Je la guide vers le le lit et bientôt je suis aussi nu qu'elle, allongé sur le dos, elle au-dessus de mon corps. Je guide ses mains sur mon torse alors que la mienne touche son visage avec douceur.

« Laisse courir tes mains. Laisse-les s'attarder sur chaque détail, chaque muscle, chaque plus petite cicatrice. Imagine-toi ce que tes doigts touchent. »

Re: [E7]Rien n'est jamais simple à dire [Nox]

MessagePosté: 22 Décembre 2013, 14:38
par Nox

Re: [E7]Rien n'est jamais simple à dire [Nox]

MessagePosté: 22 Décembre 2013, 20:21
par Caecilius
Sait-elle seulement être vraiment sérieuse sans jamais s'amuser pendant une journée ? Jamais je n'ai entendu mon frère me dire que sa bien-aimée avait été sage pendant toute la journée. Je crois au contraire que c'est sa façon d'être, sa façon de vivre, Nox est joueuse parce qu'elle aime être chatte jouant d'une innocente souris. Je suis entre ses griffes, je suis sa proie et je le sais, elle joue avec moi, elle joue de moi, elle se joue de moi et elle adore cela. Je suis livré entre ses mains mais une partie de moi ne peut pas s'empêcher d'adorer cela parce que j'aime ce qui arrive entre elle et moi. Pourtant quand elle parle, je regrette le passé, je repense à notre rencontre, c'était tellement étrange ce jour-là mais je n'oublierai certainement pas. C'était un jour de marché, il y avait un homme qui jouait d'un instrument dont le nom m'échappe, en fait même l'air qu'il pouvait jouer m'échappe, tout ce dont je me souviens c'est de m'être arrêté pour écouter. J'ai alors dis à mon ami qui m'accompagnait que je danserai bien si j'avais une femme avec qui danser. Il m'a mis au défi d'oser le faire avec le "joli petit lot" juste un peu plus loin. Je n'ai jamais été un grand danseur, je n'ai jamais vraiment aimé danser, pas en tout cas quand il y a du monde et sûrement pas seul, j'aime danser avec une femme mais seul à seule car quand il y a du monde autour, il m'est difficile de mener et d'éviter les personnes. Or dans la société romaine, il est bien compliqué pour un homme de ne pas diriger une danse.

« J'ai encore du mal à croire que tu aies accepté ma proposition. Une danse contre un bouquet. »

La suite, elle l'ignore encore ça je le sais parfaitement, je ne lui ai jamais dis, ni mon frère. J'ai souvenir de cette danse, de la façon dont elle se plaisait à se lover contre mon corps, elle me disait que les gens autour de nous étaient en train de nous regarder, sa petite voix était mutine et joueuse, cela l'amusait. Je sentais son odeur, une odeur que je n'oublierai plus jamais, je me souviens qu'elle portait une tenue laissant sa hanche nue parce que mes doigts caressaient et savouraient la douceur de sa peau, je me souviens de sa main chaude et douceur qui tenait la mienne qui transpirait légèrement. Ensuite et bien je l'avais invitée à me retrouver le lendemain dans ma boutique où je l'ai attendue avec un bouquet de fleurs très simples que j'avais choisis pour leur odeur qui je l'espérais devait lui plaire. C'est là que mon frère la vit alors qu'elle quittait la boutique, c'est ce jour-là, lorsqu'elle s'est penchée vers moi pour prendre le bouquet, posant ses lèvres sur les miennes pour murmurer un "merci" avant de partir que j'ai commencé à l'aimer. C'est en sortant de la boutique qu'elle a ravis le cœur de mon frère d'un sourire charmeur. C'est là que j'ai commencé à m'effacer parce qu'il l'aimait et que jamais je ne l'avais sentis ainsi emballé et heureux rien qu'à penser à une inconnue. Ensuite il a su gagner le cœur de la belle et moi d'être toujours là, toujours plus envoûté par la tentatrice. Je reviens au moment présent par sa question, répondant en murmurant doucement :

« Certainement pas difficile pour quelqu'un comme toi. »

Ca je n'en doute pas une seconde, il faudrait qu'elle fasse exprès et puis ses doigts sont agiles et habiles. Je souris à sa nouvelle remarque, me méfier des panthères comme elle, elles aiment désobéir, ça je le sais et je n'en doute pas une seconde.

« Si tu parles là de faire tes griffes sur mon torse ou mon dos, j'accepte de me laisser faire avec plaisir. »

La suite de son jeu est plaisant, j'aime être livrée à elle de la sorte, sentir sa main curieuse mais pas assez pour me faire plaisir véritablement, ce mélange de plaisir et de frustration est tentant, donne envie de plus sans donner envie de trop, j'aime cet équilibre fragile. Je me tourne doucement vers elle et puis dans un geste plus assuré, je la fais s'allonger, je m'installe au-dessus d'elle, je prends ses mains, je les noue d'un bandeau, sans doute comme elle pensait le faire avec moi. Ses mains sont solidement nouées, mais le bandeau est doux, fait de soie délicate, je la nargue en frottant mon nez contre le sien.

« J'apprends, Nox. A me méfier de toi, de la panthère que tu es. »

Doucement je l'embrasse d'un baiser qui pourtant partage ma passion.

« Tu as raison toutefois, je me suis effacé pour mon frère bien trop longtemps. Je veux à présent vivre pour moi, pour mes envies et mes désirs. »

Un nouveau baiser tout aussi passionné que le présent vient s'échanger.

« Je veux le faire avec toi, à tes côtés, te découvrir en vivant un quotidien en ta présence et pas simplement de façon ponctuelle. »

Un troisième baiser, sans plus aucune chasteté, je suis maladroit dans mes baisers mais mon envie s'y ressent aisément.

« J'ai toujours regretté ce jour à la boutique de ne pas avoir eu plus confiance en moi pour oser poser mes lèvres sur les tiennes plutôt que de les poser sur ta joue. »

Je dépose mes lèvres sur sa joue puis celles-ci glissent sur ses lèvres.

« Je crois que je suis prêt à vivre pour moi désormais. Si tu le fais à mes côtés. »

Je libère ses yeux du bandeau et puis avec douceur je libère ses mains, gardant simplement une main dans la mienne alors que je me lève et que je reviens à notre première rencontre quand je demande :

« Pardonnez-moi de vous importuner ainsi, mademoiselle, je me demandais si vous vouliez danser ? Je vous en remercierai d'un … d'une nuit brulante qui n'aura besoin d'aucun drap pour vous tenir chaud. »

Re: [E7]Rien n'est jamais simple à dire [Nox]

MessagePosté: 30 Décembre 2013, 23:47
par Nox

Re: [E7]Rien n'est jamais simple à dire [Nox]

MessagePosté: 31 Décembre 2013, 00:57
par Caecilius
Je ne manque pas de sourire en entendant ce que Nox vient de dire. Je me souviens de ce bouquet. Si seulement Nox pouvait savoir l'histoire qui allait avec ce bouquet, peut-être bien qu'elle méritait de l'entendre d'ailleurs, après tout c'était quelque part notre histoire.

« Si tu savais, Nox. Ce bouquet, ma mère voulait que je le fasse, mes parents me destinaient à une jeune femme "bien", je devais donc lui offrir, à celle qui devait être ma promise. »

Je souris en entendant ce que Nox me dit alors, le fait qu'elle s'inquiétait de ne pas me plaire. Elle, ne pas me plaire ! Comment cela pourrait être possible qu'elle ne plaise pas à un homme puisqu'elle est la plus belle que je connaisse ? Elle parle d'un mauvais caractère et provoque un petit rire amusé, je serai bien capable de le faire, je serai capable de tout pour elle. Et elle termine en revenant à la boutique, à ce bouquet que j'avais offert, elle veut savoir, ça s'entend.

« Je pourrai supporter ton caractère, n'importe quoi pour toi. Pour être avec toi. Et pour me plaire … Nox tu as été une obsession toutes ces années, ce bouquet que je devais offrir à ma promise, je ne pouvais plus te l'offrir qu'à toi et à personne d'autres. Je … J'espérais que mon frère comprendrait ce que ça voulait dire te donner ce bouquet mais malheureusement il n'a jamais été perspicace qu'au combat. Sache, que tu me plaisais déjà alors et que tu n'as fait que me plaire plus chaque jour depuis. »

Je la libère, forcément je la libère, je ne veux pas d'elle soumise, je veux qu'elle soit libre, je veux qu'elle me touche, me caresse, qu'elle se joue de moi et de mes réactions comme elle sait le faire. Je la sais experte pour rendre les hommes dingues et j'espère que je saurai parfois réussir à la rendre folle de plaisir en retour. Revenant alors aux temps passés, je reviens à notre première rencontre dans ma demande, si ce n'est que ce n'est plus un bouquet que je propose mais toute autre chose. Elle accepte avec la timidité d'une jeune femme gênée, j'imagine qu'en cette seconde, à ma façon, j'arrive à la rendre vraiment folle et j'adore cela. Alors je prends sa main et je me lève, l'invitant à faire de même, à danser avec moi, contre moi. Je n'avais pas lové son corps ainsi contre le mien ce jour-là mais cette nuit est différente. Je veux danser comme au premier jour mais avec les sentiments que nous avons échangé en cette nuit précise. Alors je danse avec elle, le sourire aux lèvres, si mon frère me voyait il serait si fier et mes parents … déçus car elle ne prie pas Jupiter mais moi en cette seconde, je suis simplement heureux. Pourtant Nox change le jeu, change la donne, elle dit qu'elle a une sensation à me faire connaître que je ne connais pas encore, que je ne dois rien faire pour l'interrompre ou protester, je ne dois en somme que me laisser docilement faire. En toute confiance envers elle, tandis qu'elle m'assoit, je réponds :

« D'accord, Nox. J'ai toute confiance en toi. Fais-moi connaître cette sensation nouvelle. »

Installé au bord du lit, je me demande ce que compte faire Nox mais j'attends sagement, sans être curieux, sans rien dire pour protester quand je réalise qu'elle s'installe à genoux entre mes jambes. Je la laisse simplement faire sans protester bien que pas totalement d'accord à la savoir agenouillée devant moi. Un petit sursaut quand elle attrape mon sexe et le caresse. Elle soupire alors quelques mots, me laisse aller, tout simplement. Elle croit que c'est vraiment si facile que ça ? Je suppose que bien des mâles n'auraient aucune difficulté à ça mais moi, je suis son égal, je n'aime pas la savoir à genoux et … un gémissement chasse toutes ces pensées alors que je ne réalise pas vraiment ce qu'elle est en train de faire. La sensation est chaude, agréable et j'ai du mal à l'identifier.

« Mais comment … Qu'est-ce que … »

La sensation est délicieuse, incomparable, il y a la chaleur de sa poitrine qui englobe totalement ma verge, sa langue sur mon gland. Elle vient parfois capturer plus mon sexe entre ses lèvres. Je gémis de plus en plus, je profite de cette saveur, me retenant de me laisser aller pour en profiter plus encore, mes doigts se perdent dans ses cheveux sans l'arrêter.

« NooOOOoxxxx … C'est déli … déli … dé … »

Ma jouissance vient alors que ses lèvres viennent de s'emparer de mon gland. C'est son prénom qui m'échappe dans un râle de plaisir, mes doigts figés dans ses cheveux alors que j'ai de la peine à reprendre mon souffle pour finir ma phrase.

« Délicieux »

Je m'agenouille alors pour être à son niveau et venir l'embrasser, je la fais s'allonger sur le sol, embrassant sa poitrine, caressant ses tétons de ma langue. Je m'arrête pourtant, revenant l'embrasser.

« Me laisseras-tu à présent te faire ressentir une sensation nouvelle pour toi sans m'interrompre et en ne faisant qu'apprécier ? »

Re: [E7]Rien n'est jamais simple à dire [Nox]

MessagePosté: 14 Janvier 2014, 12:04
par Nox

Re: [E7]Rien n'est jamais simple à dire [Nox]

MessagePosté: 22 Janvier 2014, 22:06
par Caecilius
« Je te l'ai dis, Nox. Je suis désolé et je le serai jusqu'à ce que je sois pardonné, qu'importe ce qu'il faudra que je fasse pour ça, je le ferai et je ne te laisserai plus jamais. »

J'ai agis comme mon coeur me le dictait, parce que je voyais Nox comme une créature parfaite et totalement hors d'atteinte pour un homme comme moi. Je suis loin d'être le plus musclé ou le plus bel homme de cette cité, quoi que pour juger de ça je ne sois pas le plus à même de le faire mais à en croire mon expérience personnelle et ma vie jusque là, je sais que je ne suis pas physiquement le premier choix des dames. Ma nouvelle musculature semble en revanche faire son petit effet sur la belle Nox et cela me plait, jamais je n'avais eu la chance de pouvoir poser ma main sur une si belle jeune femme, de pouvoir l'approcher avec tant de plaisir et de douceur. J'espère que ça se continuera, que je pourrai l'aimer tant que je l'aime. Je sais que Nox est joueuse, qu'elle me rendra complètement folle de plaisir mais aussi de la plus simple folie, elle aime s'amuser, de moi tout principalement et désormais je comprends qu'elle l'ait fait avec moi depuis si longtemps, parce qu'elle m'appréciait tellement. J'aurai dû m'en rendre compte avant et peut-être que si j'avais pu voir ses sourires, voir ses regards pour moi, les choses auraient été différentes mais un aveugle a souvent du mal à juger le regard des autres, même s'ils sont portés sur lui. Le fait est que désormais mes yeux sont grands ouverts, j'aime Nox et je compte bien faire en sorte que rien ne se passe de travers désormais. Cette relation naissance dont j'ai rêvé, enfin je la vis et je ne compte plus l'abandonner, je vais faire entrer Nox dans mon monde et entrer dans le sien, cela sera plaisant, sera amusant et je l'espère ne fera que nous faire nous rapprocher encore et encore. Et puis ... Je sais comment Nox aime rendre hommage à son Dieu, par ces plaisirs si délicieux que j'ai espéré connaitre en sa compagnie depuis ... honteusement je l'admets, pendant qu'elle a commencé à être avec mon frère.

Je sais que je vais découvrir avec elle des plaisirs que j'ignore, je sais qu'elle va me faire tourner la tête tant qu'elle le pourra avec ses savoirs de plaisir qui sont les siens, ces savoirs qu'elle a acquis pendant ces années et qui me sont inconnus pour l'heure. Je ne doute pas qu'elle partagera son savoir avec plaisir et pour mon plaisir également, je sais que je vais adorer découvrir ces savoirs interdits de plaisir mais aux côtés de Nox, j'espère vraiment prendre beaucoup de plaisir et lui en donner, si elle m'en laisse l'occasion, évidemment. Je me laisse faire quand elle décide de se mettre à genoux devant moi, je ne suis pas à l'aise face à cette position, ignorant ce qu'elle entend faire dans les secondes à venir, évidemment une idée me vient bien et elle est horriblement excitante mais pourtant à ma grande surprise, ce n'est pas la bouche de Nox que je sens prendre mon sexe tendu de désir et d'excitation. Plusieurs longues secondes sont nécessaires pour comprendre, imaginer sa position est aisée en temps normal mais quand une chaleur inhabituellement excitante réchauffe ma verge et qu'une langue habile se prête au jeu, je me perds un peu dans les sensations. Enfin je comprends, je réalise et par les Dieux, c'est excitant ! J'ignore comment Nox appelle cela, si jamais ça doit avoir un nom mais définitivement je ne l'oublierai pas ! Je ne tarde guère à gémir sous les assauts délicieux de la jeune femme, sa poitrine et ses lèvres font un travail magnifique sur ma virilité, sa langue ne me laisse guère en reste et je m'abandonne vite à l'idée de résister pour profiter plus longuement de ce traitement délicieux. Toute résistance est vaine et même si je le voulais, je ne me pense pas capable de lutter quand le plaisir monte et que Nox soutient son jeu, le rend plus intense et je finis par me laisser aller au plaisir qui m'envahit, qu'elle me procure avec cette adresse joueuse et perverse. Je ne tarde pas, à peine mes esprits retrouvés ou pas encore totalement, à m'agenouiller pour l'embrasser, que son jeu était plaisant ! Je récompense sa bouche d'un baiser passionné, ses seins d'attentions délicates et je lui propose de découvrir de nouvelles sensations, quelque chose que nul lui aura fait connaitre, la douceur subtile des caresses d'un aveugle. Elle accepte, je souris, l'embrasse, murmurant doucement à son invitation, caressant délicatement son intimité.


« Te laisser faire, Nox. »

Après tout, elle avait accepté de se livrer, n'est-ce pas ? Je l'installe alors sur le côté, venant me mettre dans son dos, collé contre elle. Entre ses cuisses, contre son sanctuaire sans s'y aventurer, se fait sentir ma verge, déjà à nouveau tendue, frottant contre cette intimité chaude, déjà prête à m'accueillir. Un bras sous sa nuque, comme un coussin, l'autre en revanche la caresse comme seul moi sais le fait, avec douceur, avec délicatesse, avec prévenance, dans des caresses si légères qu'elle peut douter de l'avoir même ressentie et pourtant dans le même temps, son corps sait qu'elle l'a eut. Je ne veux pas mettre ma belle au supplice insupportable de la frustration, je sais que cette douceur peut la faire jouir et je veux que ça soit le cas. Sa poitrine, son intimité découvrent désormais l'habileté de mes doigts à ce jeu du bout des doigts qui lui arrachent gémissements et soupirs indécents. Et puis elle se retrouve dans mes bras, portée dans le lit, allongée sur le dos alors qu'au-dessus d'elle ma bouche profite des points de ses seins, qu'une main caresse l'intérieur de ses cuisses tandis que l'autre joue de son intimité, sans jamais s'y aventurer. Je me demande si quelqu'un lui aura déjà donné un orgasme ainsi, rien que du bout des doigts car dans le cas contraire, je sens que je serai le premier et cela m'amuse de me dire que je fais découvrir un plaisir à l'Indécente.

Re: [E7]Rien n'est jamais simple à dire [Nox]

MessagePosté: 01 Février 2014, 00:48
par Nox

Re: [E7]Rien n'est jamais simple à dire [Nox]

MessagePosté: 05 Février 2014, 20:05
par Caecilius
Ce moment est étrange, partagé entre les envies indécentes que Nox peut savoir faire naitre chez un homme et dans le même temps toutes ces émotions, tous ces sentiments qui se mélangent et s'expriment pour la toute première fois. Depuis toujours j'avais eu des sentiments pour elle, il avait simplement été toujours plus facile de les cacher que des les affronter parce que je n'avais jamais appris à me faire confiance, à penser mériter de belles choses. Alors j'avais d'abord laissé mon frère s'approcher de Nox et lentement la faire sienne jusqu'à penser même demander sa main. Je me souviens quand il avait voulu lui faire un beau présent pour lui demander de l'épouser, il avait songé à un bijou, à un pendentif qui se « perdrait entre ses deux magnifiques seins ». Evidemment pour moi ça ne voulait pas dire grand chose mais je comprenais à sa voix que le corps de sa dulcinée était loin de le laisser indifférent, je comprendrai que ce pendentif auquel il pensait ne ferait pas que se perdre entre ses seins mais bien de les mettre en valeur. Il m'avait emmené dans la boutique pour que je puisse le conseiller et il avait finalement trouvé son idée. Il n'aura pourtant jamais eu la chance de l'acheter, ni même de l'offrir à la belle Nox ou même de lui demander sa main. Savait-elle qu'il songeait à lui demander de l'épouser ? Je n'en savais rien, il ne m'avait jamais dit s'il avait osé en parler déjà un peu avec elle ou s'il voulait lui en faire la surprise ? Le connaissant il devait vouloir lui garder la surprise mais pour le connaître aussi bien qu'un frère peut le faire, je savais qu'en la présence de Nox il était … transparent. Incapable de lui mentir et lui cacher des choses.

Aussi il m'est étrange aujourd'hui de e dire que je pourrai profiter de la belle et indécente jeune femme, de me dire qu'en un sens horriblement possessif, elle est mienne. Sommes-nous en train de former un couple déjà ? Cette idée me transporte de joie et d'excitation, j'en ai rêvé depuis cette danse dans la rue mais sans jamais oser m'y risquer, m'y aventurer, après tout elle est belle, elle est intelligente, elle est forte, elle est … parfaite. Comment pourrait-elle ne faire qu'avoir des yeux pour moi ? Non c'est tellement improbable, tellement invraisemblable, je ne peux pas croire qu'elle puisse s'intéresser à moi, qu'elle puisse me désirer et pourtant … Pourtant elle est bien là, agenouillée devant moi, s'amusant de mon inexpérience pour me faire connaître de nouvelles sensations, jamais je n'avais imaginé qu'il puisse être si agréable de sentir son sexe pris entre les seins d'une femme, de sentir une langue qui vient juste encore taquiner le gland de cette verge déjà prête à libérer son plaisir. Quand Nox m'offre en prime de jouir entre ses lèvres, cela m'est si étrange, comme un rêve qui deviendrait réalité que de me dire que je partage avec elle l'indécence d'un moment que je ne pensais jamais voir arriver ou s'accomplir un jour.

Alors que déjà elle vient contre mon corps, je la livre à mes mains, lui rappelant sa promesse que de se laisser faire tandis que mes doigts caressent à peine sa peau, juste du bout de mes dextres, je lui fais découvrir de nouvelles sensations, la légèreté de caresses précises, infinies, qui se mêlent et se multiplient de plus en plus. Nox a connu tant de plaisirs sans doute, elle aura vécu des aventures que je préfère ne jamais entendre et connaître, je suis si peu expérimenté à côté d'elle, je pèche là où elle excelle mais pourtant je la sens vibrer, je la sens frissonner, je l'entends gémir, soupirer, je l'entends se livrer totalement à mes attentions et s'y soumettre, c'est enivrant. Son orgasme finit par se faire sentir et entendre, c'est une satisfaction surprenante que je ressens alors, celle d'avoir pu donner tant de plaisir à cette belle jeune femme et ses mots, son baiser, tout est si bon, c'est exquis et voilà que déjà elle demande encore, qu'elle laisse comprendre qu'il va y avoir plus, je tremble doucement, cherchant ses lèvres, mes mains s'abandonnant dans son dos, elle dit qu'elle va se faire sadique et je m'interroge sur la façon dont elle va procéder. Elle m'attache, elle m'embrasse, elle frotte son intimité ruisselante contre mon sexe qui rapidement retrouver sa vigueur et son assurance et elle se lève, menaçant de me laisser seul, ainsi. Je cherche un bref instant les mots pour la faire rester mais finalement ce n'est pas de ma tête que viennent les mots qui franchisent les lèvres mais de mon cœur :


« Je t'aime ! »

Oh ma voix n'y trompe pas, ce n'est pas une déclaration faite pour la retenir par un quelconque chantage, c'est une vraie déclaration, qu'elle me laisse ici ainsi ou qu'elle revienne vers moi, cette déclaration est sincère, un gage de mon amour finalement exprimé et alors que je n'entends pas ses pas, ne sachant si elle est encore là ou déjà partie :

« Apprends-moi, Nox. Montre-moi comment je peux te faire l'amour, te donner du plaisir, soumets-moi à ton plaisir et laisse-moi essayer de te soumettre à mes désirs. »

Re: [E7]Rien n'est jamais simple à dire [Nox]

MessagePosté: 16 Février 2014, 02:02
par Nox