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Re: [E7]En vente.

Messagepar Kellya le 01 Novembre 2013, 22:31

Me voilà pour la première fois allongée de la sorte, mon maître paradoxalement à mon service. Ma main caresse doucement ses cheveux, alors que sa langue explore mon fruit intime. Je ne dis rien, allongée sur le canapé, la bouche entrouverte, laissant résonner mon puissant souffle, plein d'excitation. Un petit jeu s'installe alors entre mon maître et moi, je fixe le plafond, alors qu'il tente de me faire atteindre mes limites, de me faire crier de plaisir. Je ne cède pas à cette ordre indirecte, mais je prend plaisir à le contredire, faisant durer longuement ce moment si intense que mon maître m'offre. Je souris tout en laissant s'échapper un petit cri de plaisir, continuant de me concentrer sur cette intense sensation. Mon corps se crispe légèrement alors que je viens m'accrocher aux draps, les griffant légèrement, tout en fermant les yeux, poussant un long et audible gémissement. Chacune des sensations que m'apportaient mon maître était presque nouvelle, j'étais pour la première fois traiter avec un tel égard, je ressentais dans ses actions une telle douceur, un tel désir de me faire du bien. Soudainement prise par une vague de plaisir, mon dos se cambre et un cri s'échappe de ma bouche. Je sers les dents pour ne pas m'abandonner trop vite, grimaçant de plaisir. Je me redresse, m'accoudant contre le lit tout en regardant mon maître faire, la respiration encore saccadée par le plaisir. Son souffle chaud, sa peau aussi, je suppose qu'il a remarqué au combien, j'étais "enthousiaste". Mon maître était doué, il avait su me faire découvrir mes sommets que je n'avais jamais découvert auparavant, il était clair que j'prenais mon pied'..
Je senti ma nanotechnologie s'agiter étrangement, le code-barre à mon poignet briller du extrême lumière, dans un état second, accablée par le plaisir, je me laisse aller, commençant alors à pousser de petits cris, tout en m'accrochant au lit. Une sensation d'envie que ça continue, d'aller jusqu'au bout, me forçant à me cambrer, chaque partielle de mon corps était sensible au toucher, je ne me contrôlais plus.

Après quelques secondes, mon maître s'arrêta, je le regardais dans les yeux tout en souriant, avant de me redresser, m'approchant de lui comme pour l'embrasser alors que mes mains vinrent caresser son torse musclé alors que je m'allongeais sur le ventre, les jambes levées vers le ciel, je vins toucher ses cuisses, avant de doucement laisser mes mains se glisser vers son membre intime, commençant alors à le caresser délicatement. J'observais son expression facial. Après quelques minutes, j'approchais alors mon visage de son membre continuant de le caresser du bout des doigts, déplaçant doucement la peau du membre tendu sur celui ci, caressant de mon autre main ses abdominaux. Doucement, glisser un léger coup de langue sur le sexe tout chaud de mon partenaire puis un léger baiser avant d'ouvrir grand ma bouche, laissant le membre se faufiler dans ma bouche. Je sentais mon souffle chaud s'écraser contre son corps. Tout en écoutant ses délicieux gémissements, je me mis à doucement, effectuer de légers mouvements, jetant de temps en temps un coup d'oeil vers mon maître, veillant à chacune de ses expressions faciales. La sensation est plutôt agréable, pour une fois, je ne suis pas forcée à le faire. Mes mains caressaient ses cuisses alors que ma bouche se délectait de son membre intime. Pendant plusieurs minutes, j'ai créée le plaisir chez mon maître, ajustant ma cadence en fonction de ses expressions. Mon maître respirait fortement, appuyé contre le lit, je retirais alors doucement le membre de ma bouche, il était trempé dans ma douce et épaisse salive. Nous étions prêts pour passer à l'étape supérieure de ce début de nuit, avec un peu d'appréhension, je sentais mon rythme cardiaque augmenté.
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Re: [E7]En vente.

Messagepar Caecilius le 01 Novembre 2013, 23:08

Je sens ma belle esclave se détendre de plus en plus. Visiblement c'est la toute première fois qu'une personne lui donne du plaisir de la sorte et visiblement elle adore cela. Soumise à mes caresses elle prend du plaisir et cela s'entend. Elle ne force pas les choses à aller vite, au contraire je la sens en train de résister et de lutter contre le plaisir qui l'envahit et c'est avec plaisir que je la sens en train de faire ça. Elle aime ce qui arrive et veut que ça dure encore et encore, ce qui ne me pose finalement aucun problème car j'aime sentir son plaisir grimper lentement mais sûrement. Elle me fait sourire alors que ma langue se perd entre ses cuisses dans son antre si chaude et accueillante. Qu'il serait bon de la prendre maintenant, c'est très tentant, je sens le plaisir qui l'envahit, je sens son intimité prête à m'accueillir mais je ne peux pas m'y résoudre, je veux qu'elle ait un orgasme ainsi. Jamais elle n'a dû connaître cela, je suis persuadé que jamais elle n'a pris autant de plaisir qu'en cet instant et donc que la douceur de cet instant ne peut que la séduire et j'adore ce qui arrive. Elle s'ouvre lentement, se laisser aller au plaisir qui l'envahit, son souffle accélère, son corps se réchauffe de plus en plus, j'aime ce qu'elle ressent, j'aime avoir ce pouvoir sur elle et elle est attirante. J'ai aimé pouvoir la regarder à ma façon, sentir ses courbes sous mes mains, elle est délicieusement attirante, sa poitrine est des plus généreuses et attirantes, ses hanches délicieusement douces et ses fesses à croquer. Quand à sa façon de prendre du plaisir, de me le laisser entendre, petit à petit, très lentement d'une façon maitrisée, c'est extrêmement excitant. Et l'orgasme finit par la gagner d'une délicieuse façon. Elle y résiste encore un peu, je sens qu'elle veut prolonger le plaisir mais finalement celui-ci gagne le combat contre sa résistance. Elle me laisse entendre sa jouissance, son orgasme qui la fait se cambrer. Je ne résiste pas à poser mes mains sur sa poitrine qui se tend alors qu'elle cambre son dos, je joue de la rondeur de ses globes de chair alors qu'elle revient doucement du plaisir et qu'elle montre désormais son envie.

Je me laisse surprendre par ce qu'elle fait, j'aurai pensé qu'après ses mauvaises expériences, donner du plaisir serait la dernière chose qu'elle voudrait mais pourtant … sa main est douce, experte et quand en prime sa bouche se lie au jeu, je gémis de plaisir sans me retenir un tant soit peu. Je dois avouer que ce n'est que ma seconde fellation et si la première de Vita était experte, celle-là est carrément … indécente. Je ressens pleinement la chaleur de sa bouche, le jeu de sa langue, j'adore ce qu'elle me fait et le plaisir monte rapidement et intensément. J'aimerai que ça continue encore et encore, c'est un vrai supplice absolument délicieux, ses lèvres jouent de ma verge, sa langue de mon gland et je deviens dingue de plaisir alors que finalement elle arrête, visiblement prête pour la suite. Oui je l'avoue, j'adorerai la prendre et elle se retrouve sous mon corps, mon sexe venant frotter contre son intimité, j'ai envie de la prendre, juste un coup de rein mais je m'y refuse, me penchant sur elle, mon corps contre le sien, murmurant à son oreille.


- Aujourd'hui c'est toi qui domine.

J'inverse nos positions, tant d'années elle a été dominée, soumise à son maître, je me souviens ce qu'elle a dit, bloquée sous son corps, prise sans avoir à consentir, dans la douleur d'un bras bloqué … ce soir elle allait pouvoir dominer la position. Posant mes mains sur ses hanches pour la guider à s'installer au-dessus de moi, à califourchon, je la mène vers mon sexe pour qu'elle s'y empale et lorsque je sens son intimité qui vient accueillir ma verge. Mes mains glissent vers sa poitrine, jouant avec eux, les caressant, agaçant les pointes en les pinçant légèrement. Elle se soulève et s'empale sur mon sexe alors que je me redresse en position assise pour pouvoir poser mes mains sur ses fesses et poser mes lèvres sur sa poitrine. Je suçote ses tétons avec délectation, mes mains écartent doucement ses fesses, les massent, les malaxent, guident et accompagnent ses mouvements pour les rendre parfois plus intenses, parfois moins intenses.

- Est-ce que tu aimes cela ?
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Re: [E7]En vente.

Messagepar Kellya le 02 Novembre 2013, 21:51

Mon maître semble excité à un haut point, je sens son membre me caresser, prêt à sensuellement me faire connaître le plaisir.

L'ivresse du désir emballe de nos corps, nos mouvements alors que nos positions s'inversent. Me voilà désormais à califourchon sur mon maître, alors que ses douces mains effleurent mes hanches. Je continue de le fixer, prête à l'accueillir en moi, cette sensation est des plus agréable, partager un moment d'intimité, ça ne m'était jamais arrivée précédemment et je dois avouer que ça me plaît. Je me laisse alors doucement glisser sur son bâton de plaisir, fermant les yeux tout en poussant un long gémissement. Alors pleine d'excitation, je ressens son membre me caresser de l'intérieur alors que ses mains se glissent jusqu'à mes seins qu'il se met alors à caresser. Je m'enivre doucement, ressentant son sexe sur lequel je me hisse avec envie. Je le regarde dans les yeux alors que je me mets à penser à sa sensation. Il semble apprécié et ça me plaît : Cette première nuit doit être inoubliable, aussi bien pour moi que pour lui qui se donne tant de mal pour que je ressente au mieux ces nouvelles sensations. Je me mets alors à doucement jouer de mon bassin, continuant de doucement sautiller sur ses jambes. À ma grande surprise, mon maître s’assoit, s'approchant au plus près de ma poitrine qu'il commence à embrasser. Ses mains viennent à mon derrière qu'il commence à malaxer de ses mouvements si plaisant. Mes jambes encore de part et d'autre de son corps musclé, je me permet une accolade alors qu'il me pénètre. La tête sur son épaule, j'hume sa délicieuse odeur masculine, si sauvage, si excitante : je m'abandonne à mes sens et à mon plaisir.
Mes yeux fermés pour faire profiter, à la manière de mon maître, mes autres sens, je respire la délicieuse odeur de mon maître, profitant de son doux toucher alors que mes oreilles sont bercées par sa respiration, ses gémissements et le plaisant son de friction entre mon antre humide et son rude membre. Je suis là, à profiter de chacun de mes sens, et de mon maître. Me voilà, "reconnue" comme humaine dans un sens.
Alors que je songe à cette relation si intense, j'oublie de modérer mon corps qui soudainement s'emballe, ma respiration se fait plus intense, mon cœur bat plus vite, ma peau redevient sensible à chaque vibration dans l'air. Une nouvelle fois, je ressens les sensations de l'orgasme dans la soirée. Je viens alors doucement mordiller l'épaule de mon maître, étouffant maigrement mes cris. L'orgasme me semble interminable, alors que mon maître continue de me pénétrer délicatement, je lui souris doucement, continuant de ressentir ses plaisantes sensations. Je ralentis alors doucement, me redressant peu à peu avant de passer ma main dans mes cheveux.


- Est-ce que tu aimes cela ?


Le dialogue semble établi, inconsciemment, j'avais répondu d'un naturel, d'une voix forte et assuré, n'oubliant pas d'amener à mes paroles un léger et fin sourire.

- Oui Maître', j'apprécie votre façon de faire, ça me plaît beaucoup..

Je me défais doucement de la délicieuse emprise de mon maître, me laissant faire face à son choix de position. Il me semblait normal de lui accorder ça après l'effort qu'il a fait pour me faire plaisir.
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Re: [E7]En vente.

Messagepar Caecilius le 02 Novembre 2013, 23:36

Plus je la prends et plus je me rends compte que Kellya est un véritable appel à luxure. Son corps entier semble fait pour combler les désirs, sa poitrine est affolante, absolument généreuse, ses fesses sont fermes, rebondies, rondes absolument parfaites, son visage est doux et son sourire s'entend dans ses mots, dans ses gémissements, dans ses cris étouffés. J'aime l'entendre qui prendre du plaisir, surtout après avoir entendu le sort que lui réservait son ancien Maître, je réalise combien elle a dû être frustrée et humiliée de ne faire jamais que donner du plaisir sans en prendre un petit peu ne serait-ce que quelques instants. Aussi ce premier orgasme que je lui ai offert à de quoi me faire sourire, quand à sa fellation, elle était des plus indécentes et j'en serai presque frustré qu'elle ne soit pas allée au bout de cette douceur si plaisante. Pourtant ce qui arrive en cette seconde est encore meilleur, je sens son corps chaud et brûlant juste à quelques centimètres du mien, assis je peux jouer de mes lèvres sur sa poitrine, de mes mains sur ses fesses et quels délices cela peut être pour un homme ! Elle est un véritable délice de la nature, j'ai eu de la chance de tomber sur elle, de pouvoir l'acheter, de la chance qu'en échange d'une vie plus agréable qu'ailleurs, elle accepte de se soumettre et jouer des jeux sexuels. D'autant qu'elle y prend plaisir peut-être pour la première fois, sera-t-elle assez gourmande pour m'en redemander dans le futur ? J'adorerai cela, qu'elle vienne me trouver, ou simplement qu'elle se décide à m'exciter, ça serait vraiment délicieux, j'espère vraiment que ça arrivera. Quoi de plus agréable que d'être réveillé par la douceur des lèvres d'une femme perdues sur votre sexe ? Ne rêvons pas trop non plus, pour l'heure, je profite déjà et je tâche de m'assurer qu'il en soit de même pour ma belle androïde. Celle-ci ne tarde pas à me répondre de gémissements, de cris qu'elle tente d'étouffer, elle mordille mon épaule, elle jouit et son orgasme provoque le mien, sa façon de se cambrer comme si elle voulait m'offrir plus encore sa poitrine, la façon dont son sanctuaire se contracte sur ma verge, cette façon qu'ont ses fesses de se raffermir soudainement, comment résister ? Je ne résiste pas et rapidement après les mots de Kellya, je réalise sa gourmandise, son envie que cela continue, peut-être pour me faire plaisir, peut-être pour prendre encore un peu de ce plaisir nouveau qu'elle découvre en cette nuit.

Tandis qu'elle se glisse hors de cette position, je viens l'embrasser, partageant avec elle un baiser passionné, quelle position adoptée désormais ? Evidemment le missionnaire et la levrette me viennent à l'esprit mais la seconde me semble la remettre dans une position de soumission ou en tout cas une situation où je la dominerai, ce que je ne veux pas pour cette nuit. Ainsi donc, je la fais s'allonger sous mon corps, mon sexe qui déjà retrouve de la vigueur frotte contre son être sans la pénétrer, je l'embrasse passionnément comme une façon de lui indiquer la suite car lorsque le baiser prend fin, je la prends finalement. Mes mouvements gagnent rapidement en profondeur, en vitesse et pourtant je réponds aux demandes de son corps. Peut-être m'est-il plus simple qu'à un voyant de ressentir l'appel de son corps mais je comprends ce qu'elle souhaite ou du moins ce que son corps veut pour prendre plus de plaisir. Mes mouvements varient, plus ou moins vite selon ce que son corps me dicte, lentement, sûrement je la guide vers un autre orgasme mais alors que celui-ci semble approcher, je ralentis, je la prive de ce petit coup de rein, je joue à cela une fois, puis une seconde et une autre encore, ce n'est qu'à la sixième fois alors que son corps est prêt à exploser de plaisir que je lui accorde cela, par jeu c'est vrai mais surtout parce que son orgasme en est plus violent. Elle ne retient pas son cri de plaisir tandis que je continue de la prendre avec vigueur, prolongeant encore sa jouissance jusqu'à finalement sentir mes muscles m'abandonner. Le crétin qui a dit que rien ne valait l'entrainement physique n'a jamais pensé que cela, la dépense en chambre, était encore bien plus efficace. Alors que je m'effondre à côté de Kellya que je ne manque pas de prendre dans mes bras, frustré encore de cette fellation non aboutie au tout début et à présent de n'avoir jouis, mais m'inquiétant plus de son plaisir à elle que du mien, je la sers contre mon corps.


- Je crois … que j'ai besoin d'une petite pause.

Et c'est finalement assez peu dire que petite pause. Je l'embrasse, mes mains la serrent doucement contre moi, je veille à ce qu'elle soit à l'aise et je remarque qu'elle prend ses aises, sans doute pour chercher une position pour dormir. Ma virilité a du mal à s'apaiser mais je ne dis rien, si Kellya en a encore envie ou si simplement elle veut me "soulager", j'imagine qu'elle saura y faire, mais pour ce soir, je n'ose rien demander, même si dans l'immédiat un ordre me taraude durement l'esprit … enfin si l'esprit se situe entre les jambes chez l'homme comme certaines le croient.
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Re: [E7]En vente.

Messagepar Kellya le 04 Novembre 2013, 22:21

Mon maître prend un instant pour se choisir une position, il me caresse de sa main, je l'observe souriante, ne manquant d'apprécier à mon aise son corps musclé qui me fait tant d'effet. Je m'approche alors de lui, venant l'embrasser, échangeant à nouveau un baiser, il me fait basculer, me faisant m'allonger alors que je sens son sexe tendu contre mon entrejambe. Je gémis à l'idée qu'il puisse d'un simple coup de hanche, me pénétrer comme il l'a fait précédemment. Mes mains baladeuses viennent alors caresser son torse gonflé par l'entraînement de nouveau alors que son membre se frotte avec envie et désir contre mon corps prête à l'accueillir de nouveau. Aucune parole ne dévoile notre envie, mais nos souffles trahissent ce besoin. Il m'embrasse une dernière fois, ma main vient caresser ses cheveux, et alors que le baiser prend fin, il laisse son pénis rejoindre mon intimité. Ses mouvements gagnent en profondeur et en vitesse, il ne tarde pas à occuper l'espace que je lui offre, alors que je me noie sous mon plaisir. Une nouvelle fois, je ressens l'efficacité de son coup de rein, et alors que je sens l'orgasme approché, il s'arrête soudainement, ralentissant grandement ses mouvements. Je le sens au bord, tous mes sens sont en éveil, j'en veux plus mais mon maître se montre joueur. Sa main caresse ma poitrine alors qu'un léger frisson parcourt mon corps au contact de sa peau. Son mouvement si plaisant recommence alors, éveillant la sensibilité de mon entrejambe encore frémissante. Me pénétrant toujours plus profondément, je m'agrippe à lui, cambrant mon dos tout en venant embrasser son cou alors qu'il me donne du plaisir. Stoppant à nouveau mon plaisir au bord de l'explosion, je gémis, venant me cambrer d'autant plus par la frustration. Mes mains encore prisent dans l'orgasme naissant griffent son dos, y laissant de longues marques rouges.

C'est alors à la sixième fois qu'il me laisse atteindre mon orgasme, un violent orgasme, né de privation et d'une envie des plus débordante. Un long et fort cri s'échappe de ma bouche, alors que je sens mon corps se dérober sous le relâchement. Mon maître continue une intense pénétration lorsque son corps l'abandonne, je vois ses muscles tremblant le maintenant pendant quelques secondes avant qu'il ne vienne se coucher près de moi, me prenant alors dans ses bras . Je sens son souffle dans ma nuque, son pénis encore prêt, me montre qu'il n'a pas réussi à calmer sa virilité.


- Je crois … que j'ai besoin d'une petite pause.


Alors qu'il me serre dans ses bras, je comprend qu'il n'a pas complètement terminé sa "besogne". Je me tourne vers lui dans ses bras, remontant doucement le drap sur lui pour le préparer à son repos, je me dérobe sous cette couette, m'approchant alors dans l'obscurité naissante de son intimité. Je caresse doucement son membre encore humide de mon fluide d'amour, venant d'une autre main malaxer délicatement le gland encore tremblant de plaisir de mon maître. De longs et généreux mouvements verticaux commencent alors que j'écoute mon maître gémir délicatement. Baignant lentement dans les bruits de friction, je m'approche de son pénis, les yeux fermés, venant y déposer un fin coup de langue qui parcourt longuement la verge de haut en bas. Je me plais à sentir entre mes mains le sexe de mon maître, une nouvelle fois, je me sens humaine, libre, pleine de droits. Je viens alors engouffrer dans ma bouche le long sexe, mes lèvres le parcourent longuement alors que ma langue vient doucement en titiller la partie la plus sensible. Je l'entends frémir de mon plaisir, son frisson me parcourt également, ne sachant pas à quoi m'attendre, j'agis prudemment. Mes mouvements sont pour l'instant l'un et très langoureux. Mais soudainement prise par un besoin inexplicable d'exciter, je tête doucement son membre, caressant avec délicatesse ses cuisses du bout de mes doigts. C'est alors que je me prend à des jeux plus intenses, venant enfoncer légèrement plus profondément son sexe dans ma bouche. Je le trouvais déjà imposant à l’œil mais le sentant dans ma bouche, j'ai l'impression de ne pas pouvoir l'accueillir. Je continue toute de même, ma plaisante besogne, jouant de mes mains sur ses testicules, alors que ma bouche chaude et humide accueille généreusement le bâton de plaisir. Me redressant légèrement, je viens effectuer un mouvement vertical de la tête, engouffrant de plus en plus le pénis. Mes mouvements de têtes et de langue continueront pendant de longues minutes, attendant que mon maître finisse par relâcher sa virilité. J'étais prête à accueillir ses semences là, où il le souhaitait, je ne l'avais jamais fait avant, pour tout dire : Ça m'effrayait un peu mais ça allait sûrement faire plaisir. Sa semence relâché, je pris le temps de m'en débarrasser, l'avalant ou la recrachant dehors suivant les ordres de mon maître avant de venir me bercer dans ses bras pour atteindre le sommeil, me reposant de ces premiers orgasmes.

Je songeais alors dans ses bras, à cet avenir qui s'annonçait des plus radieux pour mes sens, et ma liberté.
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Re: [E7]En vente.

Messagepar Caecilius le 06 Novembre 2013, 21:07

Le sexe n'avait jamais fait parti intégrante de ma vie, en tout cas ce n'était pas pour moi une raison de vivre, ni même un divertissement, c'était arrivé plus par hasard que vraiment par une volonté de prendre du plaisir. La première fois fut avec une androïde pour le moins enthousiaste à l'idée de trouver un partenaire, ça avait été beaucoup plus sur son initiative que sur la mienne, ce qui n'avait pas empêché que cela fut vraiment délicieux et que j'y ai pris un plaisir dont je ne me cacherai certainement pas. Ensuite il y eut Nox, enfin il y a failli avoir Nox mais au dernier moment j'avais décidé que cela n'arriverait pas, aujourd'hui encore je m'en veux parce que j'avais heurté les sentiments de la jeune femme beaucoup plus que je ne l'avais réalisé et que me faire pardonner, promettait d'être un long et périlleux chemin à arpenter. Il n'y avait jamais eu Clio et pour cause nous avions décidé que cela arriverait au lendemain de notre mariage mais ma belle fiancée m'a quittée avant que cela n'arrive, quelques jours avant le mariage. Ce soir il y avait donc Kellya mais je ne crois pas que ce fut pour les bonnes raisons. C'est parce qu'elle est attirante, en soit une excellente raison, qu'elle a un corps qui donnerait des envies à un homosexuel, qu'elle a une poitrine qui changerait une femme en lesbienne dans la seconde. Tout ça semblait de bonne raison mais c'était finalement parce que j'avais acheté Kellya que ça arrivait, même si sa situation serait meilleure chez moi qu'ailleurs et qu'elle y prenait du plaisir. Je ne crois pas vraiment que mes motivations étaient bonnes parce qu'elles venaient surtout d'une envie de sexe, tout simplement et que je n'en suis pas forcément très fier.

Je ne cacherai pourtant pas tout le plaisir que je prends à ce qui arrive, comme j'ai adoré découvrir sous mes doigts le corps de la jeune femme, comme j'adore pouvoir la prendre comme je le fais. Posséder son corps est délicieux, elle me fait sentir par son corps, sa respiration et sa voix, toute l'étendue du plaisir qu'elle prend et c'est avec le sourire que je tâche de lui rendre ce moment agréable. Le premier apparemment où elle est dans une position sexuelle et prend du plaisir, je tenais donc à faire en sorte que ça soit mémorable pour elle, je ne me crois toujours pas amant particulièrement doué mais j'ai souvenir de quelques petites choses que mon frère m'avait raconté. J'expérimentais donc, sentant les résultats sur ma belle partenaire et esclave qui de plus en plus approchait d'un orgasme que je n'avais de cesse de lui interdire. Oui c'était un jeu et même si Nox ne laissait fatalement plus le choix à mon frère, Kellya se soumettait entièrement à mon jeu pervers de frustration. Je la sentais toujours plus proche de la jouissance, entre chaque montée de plaisir je faisais moins d'efforts pour la ramener aux portes de la délivrance et quand finalement vient ce coup de rein qui lui faisait défaut, son orgasme est des plus brûlants. Sa voix qui laisse entendre un cri de plaisir, son corps qui se cambre, se plaquant contre le mien, je ne peux la voir mais je la sens offrir un spectacle mémorable, parfois mes yeux me font défaut, cette fois en est une autre occasion. Alors que je m'allonge, invitant la jeune femme contre moi, je n'ose pas demander une fellation pour "terminer le travail", je ne veux pas briser cet instant par un ordre qu'elle pourrait mal prendre.

Pourtant elle disparaît sous la couette et me fait d'abord sentir ses mains sur mon sexe d'une façon délicieusement agréable. Ca ne vaut pas son corps ou sa bouche mais ses mains sont chaudes et adroites, d'autant que je jurerai qu'elle prend plaisir à pouvoir ainsi jouer de mon plaisir. Je gémis doucement mais quand sa bouche vient s'emparer de ma verge c'est un gémissement bien plus intense et audible qui m'échappe suivis d'un soupir de contentement tout aussi intense. C'est une délicieuse torture qu'elle me fait vivre, elle s'amuse de toute évidence avec mes sensations et elle sait les multiplier. Si je mets plusieurs minutes à jouir, ce n'est pas que sa torture n'est pas des plus jouissives mais simplement que je me retiens autant que je le peux pour savourer plus longuement encore ce traitement. Seulement c'est un combat perdu d'avance et entre mes soupirs et mes gémissements, ma main vient se perdre dans ses cheveux, je ne lui impose pas de rythme ou de prendre plus ma verge dans sa bouche, je perds simplement mes doigts dans ses cheveux … Enfin jusqu'à ce que je finisse par jouir. Ma main se fait plus présente, pas énormément mais assez pour qu'elle garde en bouche mon sexe qui se vide de mon plaisir, elle n'a pas vraiment d'autre choix dans sa situation que d'avaler ma semence, je n'en suis pas particulièrement fier mais à sa façon de venir laper mon sexe pour le nettoyer, je devine une certaine gourmandise. Elle revient se blottir contre moi et je l'enserre doucement, déposant un baiser dans ses cheveux.


- C'était délicieux, Kellya. J'espère que ça t'a plu également.

Un nouveau baiser dans ses cheveux tandis que je la serre un peu plus, m'assurant qu'elle soit bien couverte, une main sous sa nuque comme un oreiller et l'autre glissant sur sa hanche pour se poser sur ses fesses, ses délicieuses et appétissantes fesses. Doucement je murmure, persuadé qu'elle n'a jamais eu de compliments et espérant la mettre un peu mal à l'aise ainsi :

- Tu es vraiment une femme désirable. Tu as un corps de rêve, une délicieuse poitrine, des fesses à croquer. En plus de ça, tu as un visage somptueux et un sourire magnifique. Je voulais que ça soit bon pour toi, j'espère que ça a été le cas ? Et que je suis au moins un petit peu à ton goût.

Je lui souris, joueur, même si cela risquait de me mettre un coup si elle me disait que je n'étais pas du tout son genre et que je ne lui plaisais pas. Tout en la gardant contre moi, ma main caresse ses fesses d'une façon nonchalante alors que je la berce doucement entre mes bras. Elle a l'air épuisée … elle n'est pas la seule, cette nuit risque d'être reposante de toute évidence et demain … Demain il faudra s'occuper de son installation ici.
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